|
|
Anonyme
2/10/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
C'est la première fois que je lis du Larivière dans le texte et j'ai été quelque peu désorienté, perdu au fond de quelque chose dont je ne voyais pas le jour. Je me suis accroché, lu et relu ce texte que je qualifierai de"dodécaphonique",ou d' "atonal" avec des phrases si longues... Puis je me suis dit qu'il devait y avoir une autre façon d'aborder ce texte. Se laisser aller au gré des mots, des images, des sensations, des atmosphères... Et là on découvre un texte d'une grande richesse.
|
Pat
19/12/2007
|
|
Anonyme
11/8/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
|
Ah, c'est dans la rubrique prose ? Pourquoi pas ? j'aurais hésité entre prose et poésie.
Premier fragment que je lis sur les 28 existant. Aurais-je raté un talent si longtemps ? Bien obligée de reconnaitre que oui. Ici je rencontre : Tous les éléments : air, eau, terre, feu. Toutes les formes de vie : minérale, végétale, animale Une palette d'émotions, de perceptions, qui se promène de la douleur à l'aspiration au bien-être ( pas au bonheur, hein, tout de même ), de la sensualité à l'étouffement, en passant par l'angoisse, et j'en passe. Une palette de réflexions qui semble tourner autour de notre condition d'être pensants. On s'en sortira donc jamais ? Ben non ! J'ai vu aussi pour le plaisir de mes oreilles de belles assonances, allitérations, savamment mélangées au fond du propos. Et le final " Là encore ... " ( Revient-il dans tous les fragments ? ) Laisse bien présager que non, on ne s'en sortira pas. Merci pour cette lecture. Je découvre larivière ! EDIT : oups, il y en a bien plus que 28 |
Anonyme
5/3/2009
|
Un petit coup de mou et hop un saut dans Larivière.
J'aime ça, ouvrir les pages au hasard, tomber sur des mots lumineux ou sombres, refermer le livre. Une bouffée de rêve. En attendant d'avoir chez moi ce recueil fragmentaire et d'en humer les pages. (Désolée d'être aussi peu constructive dans mes critiques. Je fais ce que je peux.) |
Anonyme
5/3/2009
|
Toujours pas. Mais il y a des choses -disons plus abordables pour mettre tout le monde d'accord - et je vais y vouar de plus près.
L'"auteur" comme on dit sur ce site m'est fort sympathique. A bientôt Bébert le gars qui pourrait aimer la poésie moderne mais bon |
jaimme
21/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Il m'arrive souvent d'écouter sans écouter les paroles. Il m'est arrivé exactement la même chose ici en lisant.
Le thème, je le connais maintenant, la symphonie trouve ici un de ses meilleurs morceaux. Tiens, un instant de percussions: "tarasques berbères et tarentules". Tiens, j'ai envie de remettre le CD! Beau? Non, ce n'est pas ce qui est recherché ici. Passionnant et musical, oui. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
25/4/2009
Faut jamais rationaliser les hululements dans le creux de la nuit... (WizZzZz) J'aime même si ça me parle de fatalité (ou de fatalisme) j'aime pas ça la fatalité quelle que soit sa forme... mais même comme ça j'aime. - Chappe de plomb standardisée sur nos envies (Dieu que c'est vrai, Dieu que c'est bien dit mais Dieu que l'émotion là derrière est sombre)... - Les marées prennent l'ascendant sur nos décisions... => je trouve ça zoli tout plein. Oui, ce qui se cache derrière l'ombre, ce que l'on ne voit pas et qui finit par se montrer au grand jour, la sensation d'étouffer, la crainte, le besoin de comprendre... oui. Et la fin...: perte de saveur... là encore. Eternel recommencement, éternelle attente de ce qui ne vient pas, de ce qui ne vient plus... de ce qui n'est qu'éphémère en espérant être durable, et fatalité... Lari... merci et pas merci parce que moi je ne crois pas à la fatalité (enfin si, mais je l'aime pas alors je lui parle pas trop...) mais c'est toujours beau dans les images, dans les émotions, dans le ressenti que la lecture procure. Es |