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Anonyme
30/9/2007
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Suis facinée, sais pas comment tu fais pour écrire des trucs comme ça, comprends pas tout (à cause de l'heure tardive sans doute, ce qui explique aussi l'absence de sujet dans les phrases...)
sais pas vraiment dire le pourquoi du comment mais trouve ça amusant, interessant, et pas trop chiant (oups !! ça m'a échappé !) |
Anonyme
10/8/2008
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Fragment de fragments
"Parasol de l'ennui Sous un ciel de fonte Triste scène évidée de toute fantaisie De l'or du temps Le désert en 'est' rempli. Le crépuscule devient aurore, L'Abyssine amertume coule dans les bouches. Fascinés et aveuglés par les promesses brûlantes des oracles, Brusques revers du vent sur nos poignets moisis, S’étend 'sur lui' de toute part 'la' flamme glacée 'Des' bastions imprenables ceinturant nos déserts. Le jardin d’éden est loin et doit être surveillé comme un nid de vipères. Ce sont les menaces tenaces des jours qui se lèvent sur l’absence 'Qui' endort les vigilances. Les hymens se décollent comme tombent les feuilles de l’automne, Sous les applaudissements des hyènes dont les rires effrayants résonnent, Étincelle du continu interrompu. Temps de démons, où le diable a perdu Dans les yeux de l’homme, les rêves des titans" Bientôt l'aurore |
Anonyme
11/10/2007
a aimé ce texte
Bien
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Un voyage comme un flash, mais trop saccadé (c'est voulu). Une succession d'images, mais n'est pas trop écriture automatique ?
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Pat
19/12/2007
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jaimme
21/10/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Pourquoi des "oreillers d'orties"? Référence à l'histoire et au devenir de ce magnifique pays si malmené? Ou référence au lieu qui prête aux introspections douloureuses.
Un texte atypique au milieu des fragments et il m'a beaucoup plu, car j'étais dans ce coin de désert rocheux, à contempler, à m'ennuyer. Magnifique. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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26/4/2009
Le futile vs le sacré... contre le sacré... toujours ces images qui me parlent de choses que la lecture inattentive ne livrent pas... - Projection scintillante ouvre une voie aérienne dans la poussière, mais ne prévoit pas la chute à l’intersection du multiple et du moderne. => oui, ça me parle... de ce facteur imprévisible qui vient dévier le prévu, le prévisible...un facteur X et son contraire... - mélanger les planètes comme on mélange les cartes, sacrifier le merveilleux sur l’autel funeste de la monnaie et de l’éphémère, mais comme un passager accessoire et clandestin dans les soutes des rêves en rose, l’imprégnation prurigineuse des carrefours humains s’insinue là où on l’attend le moins... => le doute, l'envie, le définitif, l'éphémère... et puis... bon j'adore tout simplement ce passage. Et la dernière phrase termine comme une évidence... merci Lari, juste avant d'aller au dodo j'aime lire tes fragments... Estelle2L |