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Poésie en prose
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 30)
 Publié le 01/10/07  -  5 commentaires  -  570 caractères  -  102 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment


Fragment du crépuscule (morceau 30)



Une fourmi traçait les lignes. Du Péloponnèse à Gibraltar. Une fourmi poursuit. Et c’est l’étendue de ses quêtes qui…

S’ensuit des saveurs et des satrapes. Des espérances et des fameux. Mongols en serre-tête. Persans s’essuyant sans soucis en s’épongeant le front de mappemonde. Sublime sensation. Univers bariolé. La mer de la tranquillité, s’étire. S’en suit une infinie de parcours et de fête, de pleurs si noirs et de claquettes, de rires, de chants, de silhouettes…

Estrade bancale sur le toit des espérances humaines,

La vie…


 
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   Pat   
19/12/2007

   Anonyme   
23/1/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
La lisière supposée d'un espace infini
Cette empreinte de charnier
C'est le souffle de l'Homme
Suspendu à l'espoir

   FredericBruls   
3/5/2009
 a aimé ce texte 
Bien
J'ai aimé la muscicalité de ce fragment, son rythme aussi et ses rapprochements lexicaux hardis.

   jaimme   
21/10/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Oui, invasions en suivant les latitudes d'est en ouest. Et puis les mélanges des peuples, les fêtes.
La vie...

Un peu court par rapport au sujet,un peu dommage.

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
26/4/2009


c'est rigolo on dirait une variation sur le ssss du serpent...doit être lu à voix haute ce texte... vraiment ça sonne comme une sorte de chant serpentin hypnotique j'aime vraiment beaucoup la sonorité des phrases.

J'ai aimé la fourmi par opposition à l'étendue...

J'aime l'image de s'éponger le front de mappemonde.

Ici ce qui me plait c'est l'association de couleurs vives, d'espaces infinis, de saveurs (me manquent que les odeurs mon ptit mossieur, suis une olfactive Moâ), du sublime du bariolé et des larmes, de la tranquillité, ...

J'aime l'estrade bancale... beaucoup... l'image est parfaite pour finir la poésie... je m'interroge sur la vie à la fin, je crois que moi je l'aurais pas mis. Enfin, c'est pas moi qui l'écris... mais si j'avais pu je n’aurais pas mis La vie...
Es


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