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bernalot
15/10/2007
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Comme j'aurais voté pour les deux, je me suis abstenue.
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Anonyme
15/10/2007
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Entre la peste et le choléra?
Comme d'habitude je me serais abstenu.. Mais le Diable est donné vainqueur selon les sondages sortis des urnes, non? |
clementine
16/10/2007
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Au risque de paraître très pessimiste ,je crois que ces élections ont eu lieu depuis bien bien longtemps et que le diable a gagné sans contestation possible .
A présent ,il ne nous reste plus que le coup d'état pour renverser la vapeur. Alors qu'attendons nous? |
Pat
19/12/2007
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strega
10/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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*c'est drôle, je m'étais contentée de rêver d'un débat houleux entre ces deux substances. Et dans toute ma modestie (ironie hein) j'en étais l'arbitre.
J'aime le décalage entre la déconstruction du premier vers (?) et le classique froid, scientifique voire autopsie journalistique des deux dernier. Mais quand même, moins poétique que d'habitude. |
jaimme
27/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Don't forget: le diable est une créature de Dieu.
Les élections sont truquées!!! Mort de rire par ce fragment de cauchemar. Ce fragment, franchement, n'appelle pas une note. J'en mets une pour l'humour. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'avais déjà commenté, puis à la lecture du com de Jaimme, je me suis dit... manque mon argument à moi sous ce fragent 32 que j'aime beaucoup...
Tu annonces la couleur dans les premiers mots...fragment étrange. Et puis le sens profond de ce rêve qui laisse une impression de latence, une certitude qui pèse. Ici, comme souvent, le sens réel est à chercher dans les non-dits. Utilisation de phrases mécaniques pour donner une émotion entre la panique et l'acceptation... entre le grotesque et l'effrayant. Une certitude. Un combat ancestral et infini entre le Bien et le Mal. Impossible de dire qui va gagner... personne ne gagne jamais... mais tout le monde y perd. Enfin, moi je vois d'autres mots derrière ceux que je lis là. J'y vois véritablement une métaphore (peut-être encore plus que dans les autres fragments), une sensation d'urgence, une résignation. J'aime l'utilisation de "quelque part", je pense choisi à dessein...oui c'est plus vif que nulle part, ailleurs, partout... j'aime la Consistance étrange d'une dépêche surgie des songes (ça me rappelle à la sensation de déjà-vu qu'on peut se prendre parfois)... Et oui, pour exprimer les choses il n'est pas besoin de beaucoup de mots. Juste qu'ils touchent. Justes. Moi j'y vois rien de drôle... mais j'ai pas d'humour, non plus. J'aime beaucoup tes courts, tu le sais, celui là je l'ai parmi mes fragments préférés... voilà. Merci. Estelle ps: la note est la note d'origine... rendre à César ce qui gnagnagna. |