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xuanvincent
23/9/2008
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Ce texte m’a paru un peu difficile à comprendre et plutôt sombre, cependant il m’a intéressée.
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Anonyme
23/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pensées poétiques, presque philosophiques. On n'entre pas chez Larivière, comme ça. On se présente d'abord : Bonjour, je ne viens pas lire un texte commercial, je peux... ? Après on s'accroche aux mots, on cherche le sens, on s'insinue dans un crépuscule. Non la lecture des écrits de cet auteur n'est jamais évidente. On en ressort plus grand(e). Le tout étant de saisir le sens, quand c'est possible, ou pas. De toute façon, ce n'est pas le texte courant, c'est signé, marqué. Un texte de Larivière se reconnait.
"Une réconciliation..." "Le repos comme rêve d'un fou arlequin ambitieux ?..." Je me permettrais de dire que ce texte est, d'un point de vue cérébral, jouissif. |
Anonyme
24/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Une treille, comme énergie émancipatrice. Un coucher de soleil comme lie de nos larmes séchées"
Comme d'Hab du pur jus cérébral... et des visions qui remplissent l'espace du lecteur. |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un coucher de soleil comme lie de nos larmes séchées
Très beau cela. Le reste aussi. On retrouve le ton mystagogique des fragments de l'orpailleur. Mystères jamais éclaircis, toujours priés sur l'autel du verbe. |
Pat
24/5/2009
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jaimme
14/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Connaissance et conscience du monde crèvent les yeux.". Oui, mais crève les yeux au sens propre: pas l'évidence mais bien l'horreur, le désespoir de la prise de conscience. C'est bien ce que tu dis ensuite.
"Quel type de pont tisser désormais, entre nous et le reste ?...": le rejet après la prise de conscience (oui, le mal de gorge jadis n'était pas absent), le plus souvent, et donc marcher les poches moins pleines. Tiens, j'ai cru sentir de l'espoir dans les dernières lignes... Beaucoup aimé ce fragment. jaimme |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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5/5/2009
D'abord et comme ça m'arrive parfois, j'ai trouvé deux sens à ce texte... Le premier évident, le second qui me semble une brèche plus personnelle...mais je me trompe surement, ou pas... J'aime et ça me conforte dans ma double interprétation : - Conscience gonflée des amygdales comme des herses, cette évidence étouffée pharaonique et faramineuse tutrice de vertige porteuse parfois d’espoir, présage chuchoté vertigineux de faire partie intégrante désintégrée d’un tout. =>là les contrastes me parlent comme partie intégrante désintégrée d'un tout... - C’est l’ébranlement des prises de consciences et des prises de vent… Sur la prise de terre, se greffent nos neurones… => ça me fait penser (va savoir pourquoi Charles) au pot de terre contre le pot de fer... - Un assemblage infini et mobile de dunes et de poitrines s’échafaudent à perpétuité, battant son chantier de flamme au gré des marées humaines et des parcours qui se déposent comme des algues en ébullition, brûlures imprévisibles qui tatouent nos vies et marquent nos visages de furieuses couleurs. => ça me parle beaucoup... j'aime les brulures imprévisibles... - Quel type de pont tisser désormais, entre nous et le reste ?... =>un rien de Cabrel, je l'aime à mourir... enfin, moi ça me correspond à ça... (double interprétation vous dis-je, universalité du langage Larivière... surement) - Le repos, comme rêve d’un fou arlequin ambitieux ?... => la trève pour un guerrier coloré et cabriolant ambitieux, j'aime l'image, je vois l'image... - Soupirs des faits et de l’infini apprivoisé. Une réconciliation… Frémissement tranquille des fins de jours et des débuts d’escales sur des explosions d’azurs et de tisons. => la fin est magnifique... toute en douceurs, douceurs piquantes faites d'explosions, toujours les contrastes, toujours les oppositions fortes... J'ai une fois de plus senti une véritable musicalité dans ce fragment... j'aime beaucoup ce que je ressens à la lecture... la conscience (et je crois que ça se rapproche d'un des premiers fragments dans le sens et la forme...)et l'acceptation de quelque chose qu'en fait on a pas d'autre choix que d'accepter... Une grande tristesse, et de l'incompréhension mais teintée de lucidité...et qui dit lucidité dit concessions, et qui dit concessions dit frustration, qui dit frustration dit besoin, qui dit besoin dit envie, et envie à l'envi sans que l'on puisse s'étancher entièrement, donc conscience du manque... Et voilà, je vais aller dormir (l'est 2h aux states) la tête pleine de ces images qui vont me pousser à la réflexion songeuse... Morphée va pas être content... :-o Force et vulnérabilité... comme la lune, sur un ciel sombre qui n'attend de personne qu'on lui demande des conseils... et : pas de fonte programmée parce que la fusion n'est pas déstructurante... rien que cette phrase mérite la note que je vais te mettre... sissi... Larivierette un jours, j'aime décidément beaucoup ce que vous faites, jeune homme... beaucoup Estelle PS: une petite interrogation sur : Orang outang de lianes en lianes crapahutent dans les méninges. (ou bien manque un s à orang outang ou bien y a un ent en trop à crapahutent??? ou c'est moi qui lis en biais...?) PS2 : Horreur, enfer et damnation, j'en suis au fragment 40, je les lis plus vite que tu ne les écris... viiiite monsieur le poète, encore d'autres fragments, encore... encore!!!! |