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Anonyme
25/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dans ce texte-ci, on entrevoit l'idée directrice.
Mais la forme épurée (qui ne t'es pas habituelle, d'ailleurs) n'est peut-être pas la meilleure pour exprimer cette idée. Enfin c'est un texte frais, avec une étincelle à la fin, qui apporte son lot de réflexions et de beauté. |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'y vois deux haïkus, allez savoir pourquoi !
Un style qui ne te va pas particulièrement, mais j'aime assez la deuxième partie pour ses sonorités... |
Pat
24/5/2009
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Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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22/5/2009
Comme ça m'arrive parfois, j'ai du mal à commenter... Je trouve le choix des images particulièrement joli... j'aime le côté vague... le côté révolte... j'aime la poésie lavée de ses laques. la douleur en dessous, à la fin... Je me demande... dépose les sagaies... pas lance ou enfonce... dépose... perplexe, Estelle... mais c'est agréable à l'oreille. C'est court, c'est dense... ça sent la mer et voilà... je note pas... Edit, finalement je réfléchis, je relis, je réfléchis et je note quand même... Es |
jfmoods
3/8/2018
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Un poème n'a pas de sens préétabli. Avec sa sensibilité propre, chaque lecteur le redonne à lire, le réinvente.
Les champs lexicaux de la guerre ("l’insurrection", "plaies", "sagaies", "sang") et de l'eau ("Roulis", "tangue", "Lavée") structurent la progression d'un texte qui se présente comme une dichotomie, comme une réflexion d'ordre philosophique. D'un côté (vers 1 à 3), le fonds de notre nature (cadre spatio-temporel : "la nuit des temps", "nos terres natales"), instable, nous expose à une traversée tumultueuse de l'existence (mouvements alternatifs de l'avant vers l'arrière et de la gauche vers la droite : "Roulis", "tangue"), à la confrontation avec nos semblables ("l’insurrection", allitérations : t / d, r, assonances : en, i). D'un autre côté, l'accès à la culture (vers 4 à 7), à l'art, nous enrichit. La plume gorgée d'encre ("Poésie") possède l'efficacité d'une arme (métaphore : "ses sagaies de sang"). Par l'épure constante ("Lavée de ses laques"), elle soigne et guérit les blessures qui nous sont infligées ("Dépose sur nos plaies", glissement allitératif : s, z, glissement assonantique : é / è). Merci pour ce partage ! |