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Anonyme
5/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Toujours ce choix surréaliste d'écriture qu'on peut croire automatique. Toujours un parfum de Lautréamont chez Larivière qui ne lâche pas ses maîtres d'écriture des yeux. Pour le sens, comme d'habitude, cliquer le texte c'est accepter de le lire et de ne pas tomber sous le sens. En revanche, lire Larivière c'est tomber sous les sens. Cette écriture est tout simplement jouissive.
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Anonyme
8/11/2008
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Difficile de qualifier ce texte. Il y a tellement de choses dites en si peu de ligne. Larivière est peut-être entrain de nous initier à un nouvel abord de l'écriture. On a déjà vu sa pour la sculpture "la compression"
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karminator
13/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Au début, quelques virgules, puis, rien. J'ai ADORER la première moitié de ce poème, qui me rappelais Miron, cette fausse volonté de tout vouloir dire en peu de mots, et ils se mêlent.
Cependant, la conclusion m'a un peu déçu, je m,attendais à plus. à partir de "S'en remettre au néant...", j'ai décrocher. Je vais continuer de te lire. |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien, mais je déteste la mise en page ! Ce n'est pas de ta faute, mais la lecture sur ordinateur m'est particulièrement pénible sans espaces pour reposer les yeux.
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Pat
24/5/2009
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Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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22/5/2009
Je trouve qu'il se dégage une grande sensualité de ce fragment. J'aime l'ouverture "Manger son fruit vivre sa chair,..." ce qui suit joue doucement entre allitérations, les assonances (je teste mon nouveau vocabulaire théorique de pouet...) c'est joliment rythmé. La violence du "qui se brise le placenta"...fracassée, cendres, folie, malaise en flot, persiflant, dissections, houles... je pourais m'arrêter à chaque mot qui fait mal. Associé à des mots plus doux, voire tendres entre le murmure et la candeur... De la douleur... des doutes... - Catharsis de la base au sommet trop lourd pour nos épaules atrophiées au rabot libéral. => je pense que ça résume bien le feeling... tu as mis le sans teint que tu avais évité dans le fragment précédent, auquel je trouve que celui-ci répond étrangement, ou le prolonge, l'explique... enfin je pense... à tort surement... Pour moi encore touché... mais c'est surement à cause de ce documentaire, Fatum, un truc polonais que je regarde avant d'aller dormir un peu... ou pas... voilà tout ça pour parler de fatalité avec humour... mais j'ai aimé ce fragment pour sa beauté sanglante. Merki mon tout bo... Es |