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Anonyme
22/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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On peut aussi
Rester couché Au fond de son lit Attendre résigné Que la fièvre baisse Que la mer se retire Que le mur s'affaisse Que le temps s'étire Comme un nuage gris Que l'évier [se] débouche Vers le vers ami Au bord de la bouche Trop ouverte. Dégout Des mots catastrophes Défaire ses goûts En faire une strophe Laisser la rivière Sereine couler Comme une prière Doucement roucouler. |
Ama
22/9/2007
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Génial Larivière : D Surtout au moment où c'est l'énoncé des choses qu'on fait. Au début, le défaut serait à mon avis d'aller trop souvent à la ligne. Que ça soit moins coupé et puis qu'on soit embarqué ensuite dans le rythme de la deuxième partie.
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Pat
22/9/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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J'aime beaucoup ce poème : son rythme surprenant au début qui met un arrêt là où on s'y attend le moins... qui nous balade finalement... Et on se laisse entraîner avec plaisir... dans ces images souvent belles, étonnantes qui font naître en nous des émotions contradictoires... J'ai l'impression de me laisser embarquer dans ta fantaisie, dans ton univers.. sans avoir à y faire quelque chose... Et c'est bien agréable... Merci pour la promenade...
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jensairien
19/10/2007
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j'aime bien ce genre de poème dont les mots et les idées
dégringolent jusqu'à la chute finale particulièrement apprécié les deux vers "Acheter un chameau Et le remplir de sable" une bien belle image |
daphlanote
20/12/2007
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"Rester allongé nu
Sur un muret en or En crachant vers le ciel Sous une pluie de bombes Se tatouer les yeux Nager dans un bain d’encre En larguant les amarres … Ramasser ses godasses Et sourire bêtement … Jongler avec des enclumes En courant sur un lac Où l’eau aurait gelé … Se pendre à petits feux" -Une gradation dans la lecture, agréable, entraînant. Entre irritation un peu dérision et nostalgie momentanée. (Enfin, juste mes impressions.) J'ai aimé. |
clementine
9/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comment ai-je pu passer à coté?
J'adore cette suite de vers très ( très,très) courts, percutants, fous ( mais qu' un peu). Un instant, j'ai cru entendre Brel nous "cracher" à la tête ses révoltes, ses vérités, sa fougue, son talent, ses tripes. |
Togna
9/1/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Merci à Clémentine d'avoir remonté cette merveille à la surface.
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Anonyme
11/1/2008
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Très bon! J'aime beaucoup: "Avec toutes ces rime de commis épicier", "Elever des chenilles dans un chenil d'argent", "Acheter un chameau et le remplir de sable", "Se pendre à petits feux avec 365 cravates"... Non sérieux c'est du très bon. Bravo!
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strega
7/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et bien... Voilà un poème qui le détours, le long détours, un peu trop long peut-être... Mais bon... Détail.
Expliquer la fantaisie c'est dur quand même. En voilà un magnifique exemple, simple, direct et percutant. Bravo et encore merci. |
Anonyme
24/2/2009
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Un harlequin. J'entends la clochette du Fou du Roi.
Une danse, des pirouettes, un cri pour la Vie. Aimer Vivre. Etre fou. Et jouir de cette folie. Merci |
Anonyme
17/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quand ça vient pas trop le sommeil, on tombe parfois sur de petites merveilles qui rendent les nuits belles...
Magique petit grain de folie, de fantaisie. Un texte très ludique, j'adore ce surréalisme là, plus beau que toutes les réalités... A ce prix, je veux bien ne pas dormir encore quelques fois... |
Anonyme
9/4/2010
a aimé ce texte
Pas ↑
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Et bien difficile pour moi d'adhèrer encore une fois à quelque chose que je trouve trop facile.
Un texte de plus sur la peur de la page blanche? Pourquoi pas. Traité par l'humour fantaisiste version Champagne d'Higelin pourquoi pas non plus. Ou alors proche de Fantaise Militaire ou d'une quelconque oeuvre proche d'un cadavre exquis. Mais c'est justement le défaut majeur de ce texte, avoir voulu trop jouer sur le registre de l'absurde, futile, drôle. Ca aurait pu être bien meilleur avec un brin de désespoir que je ne ressens qu'à peine dans les deux derniers vers, avec toujours cette oxymore trop classique du chaud et du froid. C'est dommage d'avoir une plume comme celle là et de ne pas se compliquer un peu plus la vie. Bon sang! C'est terrible la page blanche, comme un sourire de clown, et j'aurai aimé trouver dans ce texte ce souci du sourire de clown, à la fois grotesque et effrayant. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comme tu me connais un peu et que tu sais ce que ça peut vouloir dire...:
J'avais envie de rhinocéros, et je me suis retrouvée à peindre mes propres Dalis... les lignes se sont dessinnées d'elles-mêmes et j'ai pu ouvrir les tirroirs des giraffes. Et puis cette sensation un peu fugace au début mais qui s'intensifie de : Je l'ai sur le bout de la langue... oui. J'aime les mots et les images... comme toujours serais-je tentée de dire... et j'aime avoir eu de si jolies correspondances. Merci Es |
Anonyme
27/7/2014
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6 commentaires anonymes sur 13, allant du plus positif au moins enthousiaste.
Texte réjouissant ou ulcérant. Les deux à la fois. Audacieux et intelligent souvent, ado et impertinent. A lire ? Pourquoi ne pas ouvrir un forum sur le "catalogue" d'Oniris ? Avec ses nouveaux lecteurs appréciant des auteurs "dont certains disparus" (pas celui-ci!) ou des beaux textes "oubliés" ? |