Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie contemporaine
Laurent-Paul : Déclaration
 Publié le 31/12/24  -  7 commentaires  -  388 caractères  -  116 lectures    Autres textes du même auteur

Comment présenter sa flamme en parlant de poissons.


Déclaration



Entre le bord et le fond
Nagent des rêves qui font
Croire que je peux penser
Que je pourrais t'embrasser

Mais les bars comme les lieux
Vont au bar ou d'autres lieux
Car le dépit des poissons
Mène aux débits de boissons

Toi ma sirène tu pars
Loin des Jacques des Bernard
Que leur coquille rend sourds
À ta beauté mon amour


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Eki   
13/12/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
Déclaration marine...évidemment, pour une sirène...c'est plus délicat qu'un cachalot...
Je cherche pour la deuxième strophe...? La subtilité des mots...excusez-moi.
La troisième strophe est amusante.

   Provencao   
31/12/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
Bonjour,

Une déclaration entre le bord et le fond où l’imagination n’est pas tant belle de l’entendement qu’elle n’est ce qui l’ouvre à des images et des possibles, grâce à ces rêves dont elle dispose.

J'ai bien aimé votre capacité d'écriture à imaginer à se promener dans ses images, rendant présence et réalité.

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   Ramana   
31/12/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
Il y a un côté Boby Lapointe quand il chante "La maman de poisson", mais là, je trouve les jeux de mots moins aboutis, c'est peu dire ! Le "dépit des poissons" rejoint ici celui du lecteur que je suis ...

   papipoete   
31/12/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
bonjour Laurent-Paul
Toi, ma petite ablette, je rêve hippocampe tel cheval-fou, te te prendre dans mes écailles me serrer près de ma bouche, et t'embrasser de mes ouïes...
NB de prime abord, votre texte semble farfelu, et à le regarder de plus près, je me trouve attendri par ses lignes délicates.
bien sûr, il y a cette gymnastique verbale qui fait sourire, mais surtout
comme moi
vous faites parler qui ne le peut !
et c'est tellement rare de ne point voir de sang, de pleurs, de bombes aveugles... que ces deux-là genre Roméo et Juliette halieutiques, me font les trouver si romantiques.
ces assonances font de petites vaguelettes, mignonnes comme tout, et la première strophe a ma préférence.

   Ioledane   
31/12/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
Un texte court et original, dont j'apprécie les jeux sur les mots et les sonorités, entre fonds et bas-fonds (peut-être).
Le décor est bien planté, jusqu'à la sirène qui donne son sens à ce qui précède. Un poème où l'on trinque sans gaieté.

   BlaseSaintLuc   
31/12/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
Oui, bien sûr, elle vaut peut-être bien que l'on y laisse un œil, mais ta sirène vaut peut-être plus, que des verres de table, pour pécher ce poisson, il faut des vers de fable.
Coquille de st jacques, ou bien d'huîtres de *Marraine , ta cendrillon, tu n'attraperas, qu'avec meilleur pâtissons.
La prochaine fois , soi Surcouf et aborde, tu verras si Circé coule ton *Beghin say (sucre)

   Yannblev   
31/12/2024
Bonjour Laurent-Paul,

Pour présenter sa flamme en parlant de poissons il me semble que du citron sur les mots serait bien indiqué. Acidulé et rafraîchissant, sans arête à l’hémistiche, car quel que soit le milieu, aquatique ou autre, il faut quand même qu’une déclaration coule doucement mais intensément et régulièrement.

Ici tant dans la mélodie que par le script elle évolue quand même en ricochets ou en faux rebonds qui désorientent le lecteur… forcément celle (ou celui) à qui elle s’adresse risque de rester fermé comme une huître, dommage.
Ça change quand même et c’est tant mieux de la classique inspiration poétique qui fait plutôt dans l’oiseau. Et comme le poisson est riche en phosphore, c’est plus stimulant cérébralement.

Merci pour cette touche d’iode.


Oniris Copyright © 2007-2025