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Pimpette
29/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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"Je sens mon cœur saigner quand, cochon, tu sommeilles
Tapi au fond de moi, allant d’un même élan Ta chanson préférée, aidée par les bouteilles, Me dit que je suis homme et cochon se mêlant." Excellente strophe mais les autres sont bonnes aussi! Bien écrit et marrant en plus Pimpette du Corps-Nichon |
Anonyme
7/9/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un plaidoyer assez drôle, quoiqu'un peu long, plutôt bien écrit (il n'y a rien qui choque à la lecture).
Mais tout de même j'aime trop les pieds du bestiau, ou une tartine de rillettes pour épargner celui-ci. Sympathique mais loin d'être inoubliable donc ! |
Miguel
8/9/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Cette ode parodique au cochon ne le détournera pas de mon assiette, mais ne manque pas de charme ni de sentiment. Quelques jolis effets, comme ce baume de boue crème du soir ; mais je ne comprends pas "allant d'un même élan ta chanson préférée", par exemple.
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brabant
25/9/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Lautre,
Il y a un savoir-faire certain dans cette pièce décalée tant dans l'humour que parfois dans la rime (mais on est dans le néo-classique) et la formulation (syntaxe). Certaines idées en deviennent forcément discutables, sans que ce soit un problème. - bâfrer/se bâfrer ? - pas sûr que le cochon comprenne. - "Abraham soumis à son travail" ? - strophe 3 : point de vue de l'auteur qui mêle considérations générales et partisanes... dans l'évolution du poème. - "de sombres repas" : point de vue du cochon ? - "nos torts" : point de vue de l'auteur. - "ta peau, si délicate,/ La soie de ton beau poil" : Allez donc caresser un cochon pour voir... lol. Ceci dit, j'ai vu l'humour très décalé. - strophe 6 : pas sûr que tout le monde reconnaisse sa part de cochon... :) - strophe 7 : Pourquoi le merle ? Quelle est ici la symbolique de cet oiseau ? les coquillages me semblent placés là pour se sortir du traquenard de la rime. - "Avec des cornichons" sauve le banal "l'art au lard". Les deux derniers vers qui devaient être un feu d'artifice manquent un peu de relief... semblent n'être que des reliefs (lol). Ce texte, plein de promesses, en annonce AMHA d'autres qui devraient être plus accomplis avec davantage d'exigence, y compris dans la "déconnade". :)) |
Anonyme
25/9/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Même si " copains comme cochons " n'a rien à voir avec l'animal, il faut reconnaître que celui-ci est assez proche de nous.
Comme dirait Lautre, le cochon est notre frère. D'ailleurs mes copines me disent souvent que je ressemble à un cochon. Attention, dans le sens que " Chez le cochon tout est bon " . Donc, affaire conclue et "cochon qui s'en dédit" . A la fin vous vous demandez si " c'est du l'art ou du cochon ". Pourquoi choisir ? Avoir écrit un si beau poème, n'est-ce pas un peu " donner de la confiture aux cochons " ? J'ai été un peu surpris de votre familiarité. A ce que je sache, " nous n'avons pas gardé les cochons ensemble " ? Et si je vous écoutais, devrais-je abandonner toute ma basse-cour : " Adieu, veau, vache, cochon, couvée" ? Vous dites : " La soie de ton beau poil, qu'il soit tout rose ou noir, " Je confirme. J'ai payé aux quelques filles que je drive, des pelisses de cochonne. Et bien je ne vous dis pas le nombre de cochons qui viennent renifler! Je ne suis pas allé vérifier vos références à " Yahvé, Elohim, Adonaï…" car apparemment elles sont si nombreuses que je vous crois sur parole. Avec vous je crie : Epargnons le cochon ! |
Labrisse
28/9/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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bon, politiquement je ne suis pas trop d'accord avec vous, mais je comprends quand même cette sorte d'assiette anglaise de la poésie... Comme je ne mélange pas humanisme et cochoneries, ce tribunal charcutallier me semble assez incorrect sur le fond et souffre de nombreuses imperfections sur la forme... Je peux accepter d'un cochon quelques cinq pattes mais d'un alexandrin... treize pieds? Non!
Sinon vous êtes très divertissant et cela mérite un commentaire d'encouragements. grô grô grôarf... Labrisse. |
Anonyme
7/2/2017
a aimé ce texte
Pas
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"Frère cochon", pourquoi "frère cheval", "frère bœuf", "frère lapin", à chacun son "frère" en ce domaine, mais là encore franchement je n'y trouve pas un grand intérêt.
Je vous ai lu et relu attentivement, et je n'ai lu que propos trop appuyés qui ne m'ont pas le moins du monde convaincu. Libre à vous de ne plus en consommer, pour ma part, je continuerai, la chose qui m'importe avant tout, c'est que l'animal quel qu'il soit, soit traité avec dignité et que l'on ne le fasse pas souffrir inutilement. Pour le reste c'est affaire de goût. |