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| David
25/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beaucoup de fantaisie dans la forme, un sonnet pour ses cauchemars ?
Le "Et" du début est peut être en trop dans ce vers : "Et toi semblable aoûtat - l’atout tout à fait laid -" Sans blabla, la toutou, c'est drôle, mais j'ai compté treize syllabes. |
| ANCELLY
25/10/2008
a aimé ce texte
Bien
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C'est le dernier vers qui me gène le plus : heptasyllabe plus pentasyllabe... Le compte est bon mais où est la césure, de rigueur en poésie classique ?
C'est sombre, ces pensées mais il ne peut pas toujours faire beau... |
| mimich
12/11/2008
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Je n'ai pas bien compris l'idée générale.
Je pense que ce texte n'a rien de "classique" ni dans le fond ni surtout dans la forme.La prosodie est à revoir et aussi la syntaxe. Comme j'ai pris la résolution de ne froisser personne, je m'abstiens de toute autre appéciation.Nous devons tous penser à nous améliorer par le travail. |
| Anonyme
5/2/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je n'arrive pas vraiment à me sentir à l'aise avec cet écrit. Elle me semble bien sombre "La geôle de mes pensées", mais bien sûr cela fait partie intégrante de la vie. Il est toujours plus difficile d'assimiler des pensées aussi troublantes.
Je ne trouve pas judicieux "la faucheuse fauchait". Le vocabulaire voulu est très marqué, et marquant. L'effet qu'il produit est déconcertant, déstabilisant. Le ton est donné. Dans ce poème, la forme doit être retravaillée, il y a des erreurs de versifications. |
