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Myo
21/9/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Cosmique et philosophique .... pourtant j'ai cette impression que ça ne vole pas très haut.
Un écrit un peu fourre-tout, sans réelle trajectoire ou, au contraire, trop de directions. On passe des Esprits de lumière ( de qui parle-t-on ? ), au grain de sable dans l'œil avant de se retrouver dans la tombe ( bourillon ... ce n'est vraiment pas poétique ). Un petit retour dans les étoiles avant de ramasser quelques crachats puis un petit coup de balai à la va vite et nous voilà repartis vers l'infini ... et l'au-delà... Désolée, je n'arrive pas à vous suivre. Par contre, je pense que la forme est tout à fait correcte. Un sonnet italien en décasyllabes. En EL Myo |
Miguel
24/9/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Les tercets me semblent un peu obscurs. Les vers ne respectent tous pas la métrique du décasyllabe : rythme 4/6 (classique) ou 5/5 (romantique), et il ne faut pas mêler les eux (comme ici vers1 et 2) car ils ne s'harmonisent pas. D'autres vers ne présentent aucun de ces deux rythmes.
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papipoete
4/10/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour
la poussière est partout, mais sans l'aide du cosmos et d'Eole, elle ne ferait que passer plutôt que de tout recouvrir... On peut ne pas le voir, la poussant sous la carpette, ou la souffler dans la main, comme on lâche un envol de colombes... NB je trouve ce poème tout-à-fait parlant, ( à part " bourillon " ) que je découvre ; chaque strophe " philosophie " sur son message, mais la réflexion reste à la portée du commun des mortels... comme moi ! le vers sur le " bourillon " est bien gentil pour évoquer ce " moment " de la vie ! le premier tercet n'y va pas par trente-six chemins, mais sa réalité n'est pas contestable ! le dernier vers que l'on pourrait taxer de " doux rêveur ", n'est-t-il pas réconfortant ? les décasyllabes ne sont pas courants, et font bien le poids face aux alexandrins, pour agrémenter ce joli sonnet ! |
Ioledane
4/10/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir,
Je peine à trouver un rythme à ces décasyllabes, la césure étant très baladeuse voire inexistante. Intriguée par les "bourillons", j'ai découvert que cela désignait couramment le nombril, en Suisse. D'accord, je comprends mieux ce passage. La poussière répand le fiel des crachats, là, j'ai moins bien saisi. La "carpette, en catimini" apporte une touche amusante à cet écrit très sombre, mais je ne suis pas sûre que cela s'intègre très bien. Les deux derniers vers tombent assez bien, hormis à nouveau ce problème de rythme qui a malheureusement beaucoup entravé mon plaisir de lecture. |
ferrandeix
23/11/2020
a aimé ce texte
Bien
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Une gageure que d'écrire un poème sur la poussière et de lui donner une dimension cosmique, voire mystique. De l'aspect prosaïque de la poussière (le 2ème quatrain) jusqu'à l'aspect stellaire (le 1er tercet) et enfin la finale qui relie les deux. Est-ce une fantaisie, ce poème ou un poème sérieux? Les deux sans doute. L'atome rejoint la constellation. Point négatif pour moi: le dernier vers, sauf s'il a un sens que je n'ai pas compris. j'aurai voulu tout de même une finale qui comporte un effet et explique le pourquoi du poème. On reste un peu sur sa faim (poétique).
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Donaldo75
22/11/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Lebarde,
Je n’avais pas commenté ce poème lors de ce concours ; je ne suis même pas certain de l’avoir lu car il y en avait tellement mais ce n’est pas une excuse pour rester dans ma posture de flemmard. Maintenant que je l’ai lu, je peux dire que j’ai raté quelque chose ; le thème tel que je m’en souviens – car moi aussi j’avais concouru en poésie – n’était pas forcément des plus simples en poésie et je trouve que dans le cas présent c’est franchement réussi. Je lis dans les commentaires que ça ne vole pas très haut ou que ce n’est pas très clair ; ce n’est pas mon impression de lecture, loin de là. Le sens vient ou ne vient pas et de ça découle la portée, la profondeur du message. Moi, je trouve au contraire que ce poème aborde par touches – un peu comme un tableau de William Turner – le sujet et qu’il mixe vision consciente et inconscient. D’ailleurs, l’exergue et la mention à Descartes en bas de page aurait du me mettre la puce à l’oreille. Ce qui me fait bizarre, c’est qu’écrit en néoclassique, il ressemble quand même à de la forme libre. Comme quoi, il y a peut-être là un signe pour tenter de nouvelles expériences d’écriture. |