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Queribus
19/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Que dire devant une telle perfection d'écriture, une telle maitrise de la prosodie et de la rime, si rares de nos jours. Tout est si parfait dans votre écrit. Histoire de trouver quand même quelque chose, je dirai que les phrases me semblent un peu longues dans l'ensemble, de même que je trouve long l'ensemble du poème. À part ça, tout est parfait et pourrait servir de modèle à bien d'autres poètes. Bien à vous. |
Corto
21/2/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Un poème de grand art ! Ce n'est pas seulement de la poésie, c'est aussi la vie.
Le titre rend parfaitement honneur à la démarche tout à fait remarquable. Devant un tel texte, je ne commente pas, je relis. Merci. |
papipoete
11/3/2019
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour Lebarde
Quelle entrée en fanfare dans le monde onirien ! Choisir d'égrener tous les sens que la nature nous donna, comme les cailloux du Petit Poucet, n'en laisser aucun sur le bord du chemin ! Leur infinie disposition à voir, ouïr, humer, goûter, toucher avec plus ou moins d'aptitude chez moi chez vous...puis la longue pente, où peu à peu ces propriétés innées se fanent, et meurent . Il vous fallut bien 12 strophes, pour faire chanter tous ces fameux sens, et de visu l'on put passer sur votre poème, de crainte d'être lassé, que nenni ! Pour le lecteur il serait ardu de relever un vers en particulier ( ils rutilent tous ! ) j'essaie en vain...non, ce n'est pas possible ! Je jette un coup d'oeil à la prosodie qui ne fait pas défaut de " néo-classique " dans les 16 premiers vers ( je ne doute pas qu'au-delà, il en soit de même ! ) De la belle ouvrage ! |
senglar
19/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lebarde,
Chacun aura cueilli au passage ses bribes de bonheur ou de "malheur" dans ce poème peut-être un peu énumératif (pourquoi le mot herbier me vient-il à l'esprit ? On y aurait choisi ses fleurs :). ) ; j'ai trouvé très intéressant d'évoquer la femme aimée à la fin de certains sens, certaines strophes, pourquoi ne pas l'avoir fait pour tous les sens, toutes les strophes et ne pas avoir terminé avec elle en point d'orgue pour atténuer le constat du déclin de chacun de ces sens. De façon à donner du coeur à La Vue, L'Ouie, L'Odorat, Le Goût, Le Toucher, même vieillissants. De plus cela aurait tissé le poème, lui aurait ôté en quelque sorte... quelque peu de son arbitraire, fourni un fil rouge (passion). lol. J'ai réagi bien des fois, comme je l'imagine beaucoup de vos lecteurs, rieur ou attendri. Quelques exemples parmi d'autres : - le crottin de cheval (mais oui !) - le brin d'herbe qui échappe à la tondeuse (quel tondeur du dimanche ou du samedi d'ailleurs, ne faisons pas de jaloux, n'a pas connu ça. Oh ! L'effronté ! La canaille !) :D. Jubilatoire ! - l'odeur sensuelle des corps enlacés... le sel au creux du coup... le sein dévoilé... La Femme vous dis-je, la Femme ! Mais oui Vive la Femme ! Sinon à quoi nos sens serviraient-ils ? N'ont-ils pas été inventés pour Elle ? Senglar de Brabantie |
Anonyme
11/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Superbe ! Tant sur le fond que pour la forme.
Un hommage rendu à nos cinq sens. Un poème qui fait nous attarder sur l'importance qu'ils ont dans toute notre existence. De belles, belles images pour les glorifier. Un pettit + pour " La vue " et " L'ouïe ". " J’ai entendu, gorge serrée j’ai écouté Les violons langoureux dans les aigus monter, Les chœurs puissants remplir la salle et l’émouvoir, Forçant à sortir furtivement les mouchoirs, Les flûtes et hautbois se mettre à l’unisson. " Et l'on se sent si triste lorsque le temps les fait s'amoindrir... |
Davide
12/3/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lebarde,
J'ai beaucoup de mal avec les alexandrins où il n'y a pas la césure à l'hémistiche. Je n'arrive pas à trouver un rythme qui me permette d'apprécier la sonorités des rimes et les images suggérées... Même si nous sommes en contemporain, je trouve par exemple le premier vers maladroit, avec le hiatus "regardé et" et le "et puis" pas très poétique. J'ai trouvé le poème mignon tout plein. Mais, sans doute à cause de la rythmique "brisée", je n'arrive même pas à lui trouver une poésie, ni même à l'apprécier. Les seuls vers qui me touchent sont ceux où je ressens la césure : "J’ai perçu la chaleur et la forme des choses, Le piquant de l’ortie et l’épine des roses." Je repasserai peut-être plus tard, je le relirai. J'espère que mon ressenti changera. Je m'abstiens donc de donner une appréciation pour l'instant. Je vous remercie pour le partage, Davide EDIT : Je suis revenu lire ce poème en me laissant bercer par son rythme particulier et sans chercher le rythme en 6-6 syllabes qui m'a sans doute trop formaté. Et j'ai bien apprécié, je le trouve vraiment très bien écrit, malgré quelques passages où le rythme me gêne, mais juste un peu, notamment pour les diérèses/synérèses. Je suis content d'avoir réussi à dépasser mon "blocage" pour trouver la délicieuse poésie qui émane de ce texte. Toutefois, je trouve que les vers d'entame de chaque strophe sont un peu maladroits, trop enfantins, avec notamment la répétition du "j’ai" (et les hiatus, je l'ai déjà dit). Merci ! |
STEPHANIE90
12/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lebarde,
félicitation, votre poème est une ode à l'essence des sens... Mon ressenti : J'ai lu de mes yeux lu votre vaste tableaux J'ai entendu les mots chantés sous votre plume J'ai senti vos fumets charmants où dérangeants J'ai aussi savouré ces saveurs délicates J'ai même caressé sans vraiment y penser Il y a dans toutes vos strophes de très belles images poétiques, et il y en a tant qu'il me serait difficile de n'en citer que quelques unes... J'ai aimé l'ensemble. C'est un beau contemporain ayant un arrière goût de classique, et c'est très bien ainsi. Personnellement cela ne me dérange pas, le vrai classique bride trop les émotions, en tout cas pour moi. Pourquoi dans les 4 premiers vers des rimes embrassées alors que pour le reste de votre poème vous utilisez des rimes suivies ??? Un mauvais point peut-être pour les strophes sur le goût qui me laisse un arrière goût désagréable à la fin. Les images finales sont trop violentes "Pour tenter d’oublier le goût fade du sang Répandu partout dans ce monde agonisant." Je préférai l'hommage à la femme dans les autres strophes. J'aurai préféré finir par : "Ma langue aimant aussi le savoureux cachou A souvent trouvé le sel au creux de ton cou" Mais c'est la seule anicroche, alors, bravo et un grand merci pour la lecture, StéphaNIe |