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Gabrielle
9/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une danse macabre qui donne froid dans le dos...
Une perception assez morbide de la réalité.. La danse se fait chant morbide. Merci pour ce partage. |
Anonyme
10/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Je n'ai pas trop compris l'exergue et attends donc la publication(éventuelle) pour en connaître le sens donné par l'auteur. Un énième poème sur l'approche de la mort. Cependant intéressant car assez original, tout à fait soigné pour la forme. Pas un brin de lamentation romantique mais un traitement moderne dans une forme classique. Un petit bémol pour le premier vers, moins musical et harmonieux que l'ensemble. J'ai bien aimé, merci du partage, Éclaircie |
Queribus
10/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un grand bravo tout d'abord pour le respect des règles néo-classiques qui élève ce style de poésie à la hauteur du"classique" et lui donne ses lettres de noblesse. Pour ce qui est du fonds, même si ce dernier n'est pas très gai, il est traité de façon très habile avec un progression adroitement menée. Un défaut peut-être, un langage très recherché parfois à la limite de la préciosité mais le tout laisse une impression de rigueur, de recherche. Enfin globalement, du bon boulot. Bien à vous. |
Anje
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème sans o en pleine canicule, ce n'est pas prudent....
L'irrégularité des césures affecte le rythme et la fluidité du texte. Elle peut entrainer un effet de saccade à la lecture. Peut-être désirée, la rime interne en elle des premiers vers de chaque quatrain est à éviter et peut surprendre. Elle ne m'a pas gêné mais s'entend parfaitement. Invertir à plusieurs reprises dans le même tercet le sujet et son verbe n'est pas très agréable à la lecture. Ceci dit, sans o, je dis brav... à l'auteur car j'ai pris plaisir à suivre ses Macabres arrangements même si le titre ne m'attirait pas. |
Cristale
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah ! Eh!
ni hi ! ni ho ! mais un nu s'est glissé tout petit dans la "peau" du lipogramme. Le dodécasyllabe cousin pauvre de l'alexandrin met l'accent sur les "e" muets bruyants" de certains hémistiches. Les rimes des vers 1 et 4 des quatrains étaient presque équilibrées mais le pluriel de l'une d'elles vient troubler mon regard pareillement à celles des 2 premiers vers de chaque tercets. Perso, pour obtenir un ensemble plus net, même en néo, j'aurai essayé des accords identiques, singulier ou pluriel : "et fane mes pensées" par exemple, s'accordait avec "chassées". Les inversions donnent un ton auto-dérisoire solennel, la poésie n'est pas le langage ordinaire parlé (sinon autant écrire un article de journal dans la rubrique nécrologique :)...) donc ça colle parfaitement au style et au propos. C'est bien de préparer sa future demeure, laisser ce soin aux survivants est un manque de savoir mourir :) Une approche humoristique et grinçante de la mort pour laquelle je sonne le glas avec plaisir. C'est bien d'avoir osé cet exercice difficile. Bravo ! (la flèche vers le sol c'est à cause du U...) Cristale faucheuse de u Edit : revenue compléter mon commentaire, rongée par le remord d'une telle pénalité, j'ai mis la flèche à l'horizontal en raison du travail énorme qu'a demandé cette mise en forme. |
hersen
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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ah ah ah ah, eh eh eh
très bel exercice, même si un "u" malin s'est subrepticement glissé dans la peau de ce poème, sans compter que du coup, le son "o" apparaît à mes oreilles, et c'est bien dommage ! car la tonalité du poème a un "son" pastel très agréable. j'ai bien une suggestion , ( le derme lézardé) mais l'auteur va sans doute se creuser plus la tête. Sinon, je pardonne haut la main les inversions, vu la difficulté de l'exercice, et elles donnent un côté précieux à la défection de certaines aptitudes, la fin approchant. Bref, je salue bien bas l'exercice ! |
papipoete
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Lebarde
Je rêve à ma sortie de la vie, et imagine ce que mon corps deviendra... NB :Nous ne sommes pas au gibet de Montfaucon, mais tournons une page des Fleurs du Mal , à celle de " Charogne " où tout un chacun, à moins de partir " en fumée ", finira par se faner ! Le tercet final a ma préférence poétiquement parlant, mais techniquement, j'avoue que les nombreuses inversions me gênent un peu ! ( on me l'a souvent reproché, pour une ou deux... ) la forme néo-classique est sans faute ! |
Provencao
28/7/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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"De l’alphabet, des lettres le vent a chassées.
Le temps me blesse l’âme et fane ma pensée, La bête m’agresse, me dévaste et m’entrave." Peu importe la préciosité rencontrée, l'essentiel se trouve à mon sens dans la connivence et dans l'alliance . Belle sensibilité poétique.. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Davide
28/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lebarde,
Ecrire un lipogramme n'est certainement pas un exercice facile, d'autant plus si l'on s'interdit certaines voyelles, comme ici, le "i" et le "o". En revanche, l'absence des lettres "k", "q", "w" et "y" ne m'a pas surpris plus que ça. Moi aussi, une fois, j'ai écrit un sonnet sans "w". Pas en anglais, non, en français ! ... Ces "macabres arrangements" promettent une lecture humoristique sur la mort : le narrateur se décompose, se morcelle : sa peau "se lézarde", sa "pensée" se fane, ses "errements" s'allègent... Si le premier vers du dernier tercet achève cette "danse macabre", avec cette "crécelle" servant de glas funèbre, la suite est autrement plus déroutante. L'écriture en dodécasyllabes me semble bien maîtrisée, les rimes sont "sonnantes" et variées, malgré le peu de voyelles à disposition. Cependant, l'absence des sons [o], [i], [ou] et [oi] se fait sentir dans un certain manque de fluidité d'ensemble (mais c'est un parti pris !) De plus, j'ai trouvé les inversions dans les tercets désagréables à l'oreille, au vers 9 particulièrement, ainsi que dans le dernier tercet, du fait qu'elles se suivent toutes les trois. Même si l'on sent - un peu trop - les difficultés que génèrent cette contrainte rhétorique, je reconnais là un beau travail, que je salue bien bas ! Merci Lebarde, Davide |
Anonyme
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'exergue s'en prend-t-il à cette " peau " qui vient glisser l'intrUs ?
Une façon singulière d'appréhender la mort. " De l’alphabet, des lettres le vent a chassées. Le temps me blesse l’âme et fane ma pensée, La bête m’agresse, me dévaste et m’entrave." Le narrateur fait peut-être allusion, ici, à cette maladie qui détruit la mémoire... " Déjà ma cervelle régale les rapaces ". Appréhender la mort, mais sans la redouter " J’entends la crécelle, vers le néant je penche. Le grand chêne j’abats et prépare des planches, Avant le départ ma dalle en marbre je grave. " Une lecture intéressante. |
senglar
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lebarde,
Que voilà un narrateur qui se lâche ! C'est fou ! fou ! fou ! Il m'a lâché en route. Je relis... pour tenter de reconstituer le parcours... trou après trou... même si je crains le trou final, me demandant s'il est normand ou terrassier. Que dalle j'ai la dalle ! C'est parti ! Oui... Cela parle de Grand Départ... mais sans s'appesantir. tant que l'on taille le marbre c'est qu'on est encore vivant et une gravure est un gage d'immortalité. Le narrateur est une pièce. Vais chercher mon détecteur de métaux. A défaut de César c'est peut-être un Néron. "Qualis artifex pereo !" je prends :))) Edition : je viens de prendre connaissance des autres com., ça n'est pas un Néron mais bel et bien un César. "Tu quoque mi fili !" Je prends aussi et avec d'autant plus d'enthousiasme :))) Senglar |
ours
28/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Lebarde
Merci pour cette démonstration ! Mêler exercice de style à une forme classique sur un thème qui ne l'est pas moins, je vous salue bien bas ! Sur le fond par contre, même après plusieurs relectures, j'avoue ne pas avoir trouver l'arrangement évoqué dans le titre, serait-ce le sacrifice des ces trois voyelles qui laisse un peu de temps au narrateur / auteur pour écrire ces quelques vers ? Bien à vous |
Pouet
29/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bjr,
concernant la forme, on regrettera peut-être ce "peau" qui vient un peu tout déranger avec son "u" et son son "o"... A moins que ce ne soit volontaire? Il m'a semblé que parfois c'était un peu heurté, le dernier vers étant tout particulièrement compliqué à la diction. Mais j'ai aimé le ton acerbe et sans concession, ironiquement méchant, cruellement réaliste. Je salue l'exercice. |
natile
4/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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le thème de la mort approché sans pathos mais au contraire dans un affrontement pour gagner la dernière bataille a attiré mon attention. les mots sont posés comme il faut, directs et francs dans l'intention à donner.
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natile
2/8/2019
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Modéré : Commentaire hors charte (Se référer au point 6 de la charte).
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archibald
12/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour m'être moi-même risqué sur ce site aux acrobaties oulipiennes, je ne puis que me réjouir de trouver un comparse, ils sont trop peu nombreux à mon goût sur Oniris.
L'exercice n'est pas simple et la gageure est relevée efficacement. Qu'il me soit permis néanmoins de regretter l'absence de réels alexandrins (exceptés les vers 7, 10 et 13) ainsi que quelques inversions un peu lourdes : « De l'alphabet, des lettres le vent a chassé », « vers le néant je penche », « Le grand chêne j'abats », « ma dalle en marbre je grave ». Passons sur l'inadvertance de « peau », facilement rectifiable, mais le premier quatrain reste pour moi assez obscur... Un principe oulipien demande qu'un texte écrit sous une contrainte doit parler de cette contrainte, le vers 9 satisfait à cette exigence. Au plaisir de te relire dans ce type d'écrits. |
BernardG
24/10/2019
a aimé ce texte
Un peu
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L'idée qui sous tend le poème est originale mais l'ensemble ne m'a pas séduit pour les raisons suivantes :
10 fois « je » et 12 fois « mes », « ma », « me », « m' » nuisent à la fluidité de l'ensemble et donnent (à tort peut-être) une satisfaction de soi qui se remarque et empêche d'apprécier totalement le travail de l'auteur.... « De l'alphabet, des lettres le vent a chassées » L'inversion rend ce vers pénible à lire « Et sans prétexte le chant des enfants m'agace ! » Peut-être souhaitiez-vous réussir la rime avec « espace » mais la présence de ce vers dans le quatrain m'a paru étrange du fait que dans le vers précédent, vous rêviez de danse et « de spectacles charmants »....Un peu paradoxal pour moi ! A mon sens, ce poème gagnerait à être re travaillé; les images évoquées sont bonnes mais il faudrait - à mon sens - supprimer les 3/4 des "Je" Bernard G |
Donaldo75
25/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Lebarde,
Autant dire que ce poème ne m’a pas donné envie de danser la gigue ; pourtant, j’avais mis sur la platine le célèbre « last night a DJ saved my life » d’Indeep mais bizarrement son charme funky est parti dans l’espace. Je reviens au poème. Côté forme, la rime des quatrains donne bien la tonalité sombre et sourde. Et celle des tercets enterre le lecteur. L’agencement des mots dans les vers confère un petit côté cubiste à l’ensemble et ne parait pas forcé, du moins pas trop. J’aime bien le cubisme. Les images tapent juste et dans ce cubisme elles prennent de l’ampleur. Un poème réussi. Bravo ! |