|
|
Miguel
20/3/2021
a aimé ce texte
Bien
|
Dommage que le premier vers du dernier quatrain soit mal rythmé. Cette vie résumée en une journée révèle la fugacité du temps et la brièveté de nos existences, dont on prend conscience à un certain âge, en constatant combien hier est loin.
|
Capry
28/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Intéressante l'idée de réduire à une journée les étapes d'une vie. Les images sont là jusqu'à la dernière ligne.
28/03 Original l'analogie avec un dromadaire noble pour parler de l'espèce humaine. Le terme blanc-seing reste énigmatique pour moi. Votre poème est bien structuré et imagé. Les sonorités sont présentes et la lecture agréable. |
Anonyme
28/3/2021
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour
Dommage que ce poème débute par un vers aléatoire : la Vie n'arrive pas qu'à l'aurore naissante, heureusement, mais toute la journée et la nuit. J'aime bien les 2 vers qui suivent mais pas la foule angoissante. Si j'aime bien les lèvres qui oublient l'aréole, je ne suis pas fan des sons du grec et du latin. Je ne vois pas non plus ce que la méharée vient faire spécifiquement ici. Bon, vous l'aurez compris, un poème qui, selon moi, alterne le bon et l'approximatif ou le moins bon. |
Anonyme
28/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Lebarde
La vie, une illusion, rien de plus ! Preuve qu’elle ne mène à rien, sauf à la mort. Ces deux vers que je trouve très beaux en témoignent : « Le mandat s’achève à l’heure de la vêprée » « Il sera le blanc-seing d’une autre méharée ». Avec sa « méharée », on reconnaît bien là l’éternel voyageur : Lebarde, randonneur un jour, randonneur toujours… Merci ! pour cette belle poésie dominicale. dream |
Provencao
28/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
"Après vagissements et babils du matin,
Les lèvres à regret oublient les aréoles, S’enrichissent de mots qui deviennent paroles Et prononcent les sons du grec et du latin." J'aime bien cette vie un jour sous la lumiere de l'illusion qui semble venir de ce que l'esprit croit découvrir.... pour transmettre au monde entier. Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
28/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
bonjour Lebarde
Quelle originalité que le thème de ce texte, la vision d'une vie entière en accéléré ! Des premiers mots que parent, on dit un peu gaga " dodo, menotte, bobo... " pour bien vite changer face à l'ado, quand il faut répéter, crier... et plus tard la vie se charge de sa destinée ! NB le deuxième quatrain l'emporte pour moi, avec son second vers si attendrissant ! J'aime bien cette variété de langages, qui prend ses gammes au fur et à mesure du cheminement d'une vie. Techniquement, vous optez pour la lecture en diérèse ; au 12e vers, ( marié se dit " ma/ri/é ", mais je ne trouve pas le mot " marienne " L'auteur me comprendra, mais je lui dis qu'il a de la chance... d'être publié ! |
Corto
28/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Je la trouve bien peu réjouissante cette vie. Tout est réglé d'avance, au point de se soumettre aux rythmes religieux avec "none "et "vêprée"...
Les étapes de la vie sont du ressort de la contrainte, "rejoindre une foule angoissante"; "Les lèvres à regret oublient les aréoles" etc. Heureusement "la pause marienne" ouvre un espace de plaisir au "cœur palpitant". Ce résumé fulgurant donne un ton austère, voire monacal à la vie qui vient d'éclore. Quel manque d'enthousiasme ! Sur le plan technique d'autres donneront leur avis. Vous aurez compris que ma réserve s'adresse à la philosophie émanant de ce poème. |
Damy
28/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une vie qui s’écoule au fil d’une seule journée, c’est dire l’impermanence du temps qui passe parfois trop vite.
J’aime le 2° quatrain avec « Les lèvres à regret oublient les aréoles » pour apprendre à l’école « le grec et le latin », passage douloureux, délicat et laborieux. Le passage à l’adolescence est particulièrement bien imagé avec « la pause marienne ». Je ne comprends pas, je m’en excuse, au quatrain suivant, l’expression « Avant none ». Enfin, quand l’heure fatale a sonné, elle laisse un « blanc-seing d’une autre méharée », voyage nomade vers des cieux incertains. l’image est très belle. Je regrette, moi aussi, le faux rythme du 1° vers du dernier quatrain. J’ai pris plaisir à ma lecture. Merci Lebarde. |
Anonyme
29/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonsoir Lebarde,
Toute une existence résumée en une seule petite journée, preuve que le temps passe trop vite, et qu'on a à peine le temps de dire "ouf" que le jour laisse trop rapidement sa place à l'obscurité Une idée originale ma foi. Je ne comprends pas le dernier vers : Il sera le blanc-seing d’une autre méharée. Dommage que la césure au premier vers du dernier quatrain ne soit pas correcte. Par contre, j'ai bien aimé découvrir "none"et" vêprée" dont j'avoue être allée chercher la signification. |
Quidonc
31/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
La banalité est banale aurait dit la Palice. MAis encore faut-il savoir l'exprimer joliment. Vous avez relever la gageure avec simplicité et élégance.
Un texte agréable à libre pour se dire à la fin; Dieu que la journée a passé vite. Merci pour ce partage |
Donaldo75
1/4/2021
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime bien ce poème que je trouve soigné, travaillé, et dont la narration coule tranquillement à la lecture. La rime chou/boutchou assorti à l'image du cocon - tellement imprimée dans notre culture populaire - donne au premier quatrain un côté accessible. La suite s'enrichit au fur et à mesure du déroulement du temps et là encore c'est bien vu car cette progression dans le champ lexical va de pair avec l'âge que l'on prend et dont on apprend des choses qu'on n'appréhendait pas forcément au départ.
|
Cristale
1/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
J'arrive avec bien du retard sur ce déroulement de vie en cinq quatrains, de la naissance à l'enfance puis à la jeunesse et la maturité avant que finisse le chemin.
Pas facile de décrire une vie en quelques vers mais le narrateur semble avoir assez de talent pour relever le challenge avec brio. Il m'a fallu chercher ce "avant none" et j'ai compris : "Office de la neuvième heure (vers 15 h).", ensuite il est logique d'entendre l'office du soir, "la vêprée" dans la strophe finale. Tout cela se tient bien sur l'horloge du poète. J'aurais pu entendre l'Angélus lors du premier quatrain :) Dommage pour le vers surnuméraire...mais nul n'est à l'abris d'une erreur, quand même, c'est dommage. Une écriture souple, une lecture aisée et beaucoup de progrès sous cette plume. Merci Lebarde. Cristale |
solo974
29/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Bonjour Lebarde,
J'ai bien aimé votre poème avec ses cinq étapes annoncées : "La Vie arrive", "Après vagissements", "Au mi-temps du parcours", "Avant none" et "Le mandat s’achève". J'apprécie aussi que le lecteur puisse se retrouver dans chacun de ces cinq âges de la vie, avec leurs particularités respectives. Dans la dernière strophe, le mot "mandat" a - pour moi - une consonance presque tragique qui m'a émue. Merci pour ce partage et à vous relire ! |