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Vincent
5/2/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Ex Bpol , mon léni, quel plaisir de te retrouver ici tu me manquais vraiment
Et toujours avec une superbe imagination EH oui les fous ne sont pas pas fous!!!, j'en sais quelque chose Les différents comme toi sont dans l'imaginaire et heureusement que ça ne se soigne pas Je suppose que comme moi tu as eu du mal a trouver un musicien ... Bravo et merci |
Corto
5/2/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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La classe Leni ! Après nous avoir fait tant languir, ouvrir le rideau de l'absence avec ce beau poème-chanson plein de vigueur et de trouvailles poétiques.
Manifestement "l'imaginaire" a bossé sérieusement ces derniers temps et aujourd'hui nous régale. C'est d'accord pour "On m’appellerait le Grand Manitou" et avec ou sans "le cabernet venu de Gironde" pas de problème "Pour marquer le temps de mon millésime". Belle idée pour "mon méd’cin, j’don’rais dix centimes, C’est le prix qu’je paie pour un bras d’honneur" mais je crains "J’f’rais sauter les puces des ordinateurs"...car comment je fais, moi, pour aller sur Oniris ? Bravo encore pour la dernière strophe. Oui elle est trop belle cette "Sagesse des fous". Une chanson qui sent l'énergie, la créativité, l'humour et le sérieux. J'en redemande... |
Anonyme
5/2/2023
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Bonjour
Un retour attendu mais sans la musique et c'est un peu dommage même si le texte se suffit à lui-même. Et oui, lorsque l'imagination voyage elle va loin, très loin. Un bon texte avec beaucoup de belles tournures comme ces lauriers qui redeviennent roses ou ce Benjamin. Retour gagnant. Un beaucoup comme appréciation. |
papipoete
5/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour leni
Nous les " anciens " avons en tête ces paroles, qu'Eric Lenoir nous chanta en 2017, et cette chanson est comme orpheline sans ces accents, qu'on peut trouver " imaginaires " aujourd'hui... Notre ami de Charleroi nous revient, et la mélancolie traîne ses guètres par ici... Je pourrais renouveler les compliments, que je fis lors de cette parution, avec cette fameuse inspiration qui courait au fil de ce texte : rêver comme dans la seconde strophe, où je pourrais dire Madeleine Cinquin re-devient Soeur Emmanuelle...vraiment un " cap sur l'imaginaire " La 4e strophe me plut, et elle me plaît toujours particulièrement. |
Provencao
5/2/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Leni,
"Sur le mur d’en face tout près de chez vous J’ai souvent tagué c’que j’avais à dire Mon tout dernier tag est un oiseau-lyre Et mon dernier mot Sagesse des fous Je garde le cap sur l’imaginaire, Et je m’en vais loin." J'aime beaucoup quand les mots portent au langage des visions de la réalité et de l'imaginaire qui ne trouvent pas à se conter dans un langage ordinaire: " mon tout dernier tag est un oiseau-lyre et mon dernier mot Sagesse des fous". J'aime "ce voir comme"...sur la force de création du langage, en lien avec cet ancrage le plus originaire, Au plaisir de vous lire Cordialement |
senglar
5/2/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Salut l'Ami Leni !
Quel beau cap que celui de l'imaginaire capable à lui seul et le seul capable de tromper l'angoisse tapie aux tournants et aux tourments de la vie. Chaque strophe est ici plus efficace que la précédente. On y trouve un humour triste, une dérision inhérente, une prise de distance amère et mélancolique, une révolte sous-entendue. - ''baladin'' on l'est tous même si souvent l'on n'est que son propre baladin solitaire, à gamberger. On a beau faire on n'est que son propre peuplement. - Voir les lauriers comme des éléphants, cela permet de relativiser. Alors Benjamin s'illumine ! - ''… refaire le monde Avec (ses) amis et (ses) illusions'' Tiens voilà Jojo et les copains d'abord. Quant à Hergé il est au coin du ''Grand Manitou'' et puis, là encore, on est tous de Grands Architectes mais on le cache comme on cache aux autres que ce sont eux les fous. - Les légions que l'on décerne sont des bras d'honneur aux coucous suisses de la vie et de la mort et les médecins sont des corbillards déguisés en ambulances déguisées en carrosses déguisés en citrouilles (Devos n'est pas loin) Tu as raison tout cela ne vaut pas plus de dix centimes c'est-à-dire peau de balle. Belle dénonciation de cette escroquerie qu'est la valeur de la vie, circulaire sur la piste où tournent les aiguilles et sautent les puces et savantes et trop ordonnées pour être honnêtes. - Les murs aujourd'hui racontent nos histoires (auparavant il les cachaient) l'oiseau-lyre sur un mur efface la prison, faut-il être fou pour être sage, quelle est la part de nous qui écrit les messages (faux sage ? Vrai fou?) les fous en sont la clef et l'envol, les seuls à pouvoir les lire, la sagesse ultime. Mais pour cela il faut partir loin, très loin, sur un tag tapi-s- volant : CAP SUR L'IMAGINAIRE ! Leni au meilleur de lui-même. Merci l'Ami Senglar:))) ))) ))) |
Pouet
5/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Slt,
tout d'abord je ne m'attendais pas à ce "retour", que je salue, de l'auteur. Une bonne surprise donc. J'aime souvent cette franche sincérité qui se dégage des textes de leni, cette forme un peu brut de décoffrage qui ne s'encombre pas de fioritures sans laisser de côté l'émotion. Un peu texte de chanson façon cabaret aux effluves de marins en quêtes dérisoires, un petit air gouailleur, du désespoir aux yeux rieurs, de l'ironie larvée. J'ai retrouvé cela ici. Un propos touchant et une mise en mots agréable. Oui, sûrement que la "névrose" se soigne en mettant le cap sur l'imaginaire, il n'y a guère d'autres alternatives. Au plaisir |
pieralun
7/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Leni
Quel plaisir !!!! Un brin de nostalgie effacée par votre retour. Un beau soleil sur Oniris ce matin. Toujours la même verve, cadencée au rythme de la musique…à venir. Toujours ces textes empreints de clins d’œil poétiques: « et le cabernet venu de Gironde, mon tout dernier tag est un oiseau lyre…………… » Ah si tous les fous pouvaient concrétiser leur folie comme votre personnage, le monde s’en porterait beaucoup mieux. Merci d’être là Leni |
Curwwod
7/2/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Léni
Mon imaginaire se plaisait à parler de votre retour. Et bien voila c'est faiit et de quelle belle manière : sans l'appoint de la musique souvent dominante en chanson toute la qualité poétique de votre texte se dévoile. On se laisse porter pour finir sur une superbe dernière strophe et ce merveilleux oiseau-lyre. Merci |
leni
10/2/2023
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leni
10/2/2023
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Modéré : Expression de l'auteur sous son texte (choisir d'ouvrir un sujet dans "Discussions sur les récits").
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