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Robot
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Une belle variation sur l'humeur des jours dans laquelle la poésie est présente en images et métaphores.
J'ai un peu tiqué sur "fleurs deplat'bande" pas trés harmonieux mais globalement l'écriture de cette chanson est réussie et littérairement plaisante. EDIT: Pour "plat'bande" je propose "fleur" de bordure" Merci ami Leni pour cette chanson que j'ai commenté en lecture anonyme. |
Geigei
1/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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"Pour narguer rien qui vaille une rose a fleuri" Je note en lisant, pour ne pas oublier. Ce texte commence bien.
Des "roses" encore, 5 vers après. Dommage. "Y a des jours chante triste où le passé rallume /Sur mon écran de veille comme un diaporama" Bien trouvé. "Je revis mes amours mes ptit’ bonheurs posthumes / Je réponds à comment mais jamais à pourquoi" Trop lourd. Le "Je" pèse des tonnes ici. "noces en papier" pour évoquer un amour naissant. Expression qui résonne avec "plaisirs mansardés". Bien vu. |
jeanphi
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Il y a quelque chose de feng shui, chante triste, chante gai, vous enchaînez des visions poétiques à cet incipit minimaliste. Le rythme est apaisant, de quoi relativiser la (l'in)quiétude.
J'ai l'impression que vous auriez pu faire varier les refrains, mais la berceuse aurait perdu de son ronron. De ce simple constat de disparité dans les humeurs journalières, vous faites voyager simplement dans la palette des petites joies et des petits malheurs dont nous sommes acteurs. Aucun jour n'est monochrome, aucun n'est fait d'indifférence. |
Eskisse
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Léni,
De la bile noire à l'amour en passant par la gaïîé, nos humeurs sont déclinées avec une légèreté de ton qui amène à les prendre en compte avec distance . J'ai beaucoup aimé les images, le saule qui pleure sous le ciel gris, "l'amour connivence" et "ses plaisirs mansardés" ainsi que le "diaporama " de la nostalgie. Hippocrate aurait sûrement aimé lire une telle chanson ! |
Corto
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour leni.
Chez Charles Trenet les "reflets changeants" avaient pour complice "La Mer". Ici ce sont "Les sept jours qui s’enchaînent", expression tout aussi immense, capturant l'envolée imaginaire du lecteur. Car "Y a des jours" chante sans fin, tour à tour triste ou gai. C'est "l’humeur du temps" qui mène la danse. Inutile de demander "pourquoi", tout au plus on nous répondra "comment". "Connivence d’un verseau avec une balance" frappe carrément au cœur de la cible. Cette chanson pleine de sentiments est fort bien construite, on a envie de lui donner un petit air, ni nostalgique ni triste. Plutôt espiègle, du style 'j'en ai déjà trop dit'... Bravo. |
papipoete
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Leni
" Y a des jours chante triste, et des jours chante gai " qui chamboulent la nature ( à faire pleurer les saules, à fendre le coeur des hommes ) NB ainsi va la vie, quand l'alternance entre beau et triste se succèdent, joliment souligné dans le refrain. Mais parfois, il fait gris tout le temps, même si le ciel est bleu ( Haïti, par exemple... ) Mais pour apprécier le gai, il faut avoir goûté au triste, pour le savourer ! Une fois encore notre artiste de Charleroi, nous touche avec ses lignes talentueuses qu'il put déclamer Place du Tertre... J'aime bien l'ensemble |
Provencao
14/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour leni,
J'ai bien aimé ces sept jours qui à la limite de l'espieglerie, nous offre une belle poésie. Vous avez fort bien manié l' heritage des sonorités , des sensations, des caprices aux humeurs du temps et autres. Là où les reflets changent à propos du ciel gris et des petits bonheurs, s'ouvre cette chanson dans le plaisir simple qui fait un bien fou....en ces périodes moroses. Au plaisir de vous lire Cordialement |
senglar
16/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Salut leni,
… faire « pleurer les saules », jolie trouvaille, j'aime beaucoup ainsi que la rose qui nargue. « chante gai » « chante triste » aussi, la deuxième strophe me fait penser aux deux Paul : Fort et Verlaine ; «posthumes» est ici d'une douce nostalgie. Je ne savais pas ce que sont les noces en/de papier, 37 ans entre un verseau et une balance... « Les sept jours qui s'enchaînent A la petite semaine Ont des reflets changeants selon l'humeur du temps » On ne voit pas passer le temps, au fond c'est ça l'amour, cela devrait toujours s'écrire avec un ''a'' minuscule alors seulement cela a un accent de vérité. La balance n'a-t-elle pas le sens de l'équilibre et le verseau celui de l'égalité, gages d'un amour qui dure tandis que les jours s'enchaînent et se déchaînent. Belle leçon ! A méditer... Merci à toi :) |
Vincent
17/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Je suis particulièrement touché par ton texte
et je ne sis quoi ajouter |