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papipoete
22/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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contemporain
Le citadin fuyant le bruit de la rue, se réfugie à la campagne paisible, mais au matin point de coq ni bruit de cloches ; des quads, des tronçonneuses ! cruelle désillusion ! NB votre poème fait songer au film " nous irons tous au paradis ", et je serais tenté d'en rire, mais cette situation peut virer au cauchemar ! Votre récit est pourtant cocasse à l'image du 11e vers ! techniquement, je vois beaucoup trop d'inversions ( urbains bruits, au doux son ) Sinon, tourner ces mésaventures sous forme de sonnet me plaît bien ! ( singuliers/pluriels , hiatus étant permis en néo-classique ) ne me semblent pas faire obstacle à la forme " néo-classique " . papipoète |
Anonyme
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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En substance, Jules Renard disait qu'il faudrait construire les villes à la campagne.
Bien écrit, votre poème m'a amusé. 'La tondeuse thermique arrache à son sommeil', c'est forcement du vécu, ainsi que le dimanche matin. Pour autant je n'aime toujours pas la ville. Merci. |
luciole
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ayant revu dernièrement "nous irons tous au paradis" j'ai pensé moi aussi à cette scène mythique dans laquelle on voit nos quatre amis jouer au tennis casque sur les oreilles...
Au premier vers " urbains bruits" n'est pas facile à dire. Pourquoi ne pas inverser ? Le poème est plaisant dans l'ensemble malgré un dernier vers sans grande surprise. Vivant à la campagne, je peux faire le même constat. Il y a neuf fois sur dix un troupeau de quads à mes trousses quand je me décide pour une promenade. |
Anonyme
4/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime bien ce texte moulé pour les amoureux de la Nature. Et oui, le débordement des villes atteint maintenant la campagne la plus reculée. Il faut s'y faire quand on sait que l'être humain se déplace avec ses ordures et ses problèmes. J'aurais mis : fuyant les bruits urbains, l'inversion n'apporte rien. Le néo-rural pâle et frêle me convient bien ainsi que les tronços. |
Ramana
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Vivant à la campagne, je retrouve dans votre texte une part de vérité. Il faut s'éloigner des villes, mais aussi des villages pour goûter un air de "sous-préfet aux champs". Et il est vrai que les citadins ont quelquefois une vision fantasmée de la campagne.
Ce que je reprocherais à votre sonnet, c'est que vos vers ne se terminent que par des noms, alors qu'il est d'usage de diversifier autant que possible les noms - verbes - adjectifs, afin d'alléger le texte et de le rendre plus vivant. Et certaines phrases me paraissent maladroites comme : "Qu'il pensait plein d'oiseaux, non point de quatre-quatre…" Ou bien : "Noir de fer et d'acier" (le fer et l'acier, c'est "kif-kif bourricot !). |
Anonyme
4/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Votre écrit m'a fait sourire, nul part point de répit.
Il faut aller dans des campagnes très profondes pour trouver le calme absolu, mais là surgit un autre problème, l'ennui ... Votre sonnet est de bonne aloi, tout à fait bien mené, fluide, rythmé, un très bon moment de lecture, de plus distrayant. Mon enthousiasme est sans réserve, et je me suis plu a vous lire et vous relire, c'est tellement savoureux. |
Anonyme
4/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Difficile de trouver à notre époque un coin de campagne sans bruit.
Même l'Amazonie commence (?) à subir les affres de " l'ivre mécanique". Un sonnet amusant mais hélas une réalité maussade. |
boutros
10/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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GRand plaisir de lire ce poëme, moi qu vit ces jours au milieu d'une ville immense -- ça me console de ma campagne perdue!
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Anonyme
17/11/2017
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J'avoue que je suis un peu déçu par la chute de votre sonnet que j'aurais voulue plus éloquente, ou spirituelle, ou véritablement amusante ; déçu car tout ce qui précède est très justement observé, et pas mal évoqué. Nous en connaissons tous, de ces citadins idéalistes qui ont fantasmé une campagne qui n'existe pas : votre sonnet le dit avec exactitude.
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LenineBosquet
18/11/2017
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