|
|
Curwwod
29/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J'aime bien, de la verve, une maîtrise de la langue argotique et de la langue tout court. Certaines expressions m'ont échappé mais l'ensemble constitue un portrait / scène, qui même dans son outrance humoristique prend pratiquement une dimension sociologique
|
Anonyme
1/5/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
|
Bonjour,
Cela ressemble fort à du LenineBosquet. Je n'aime toujours pas le vocabulaire argotique et ça ne me parle pas. Du reste, je n'y vois rien de poétique. Dommage car il faut tout de même avoir un bon niveau littéraire pour écrire cela. Employée (je parle de l'écriture) à d'autres fins (sous-entendu moins argotique), cela aurait pu donner autre chose... Vous devriez vous essayer à d'autres styles. J'attends ça avec impatience. Wall-E |
Pimpette
19/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Très chouette!
Surtout l'emploi d'une langue argotique de notre temps qui renouvelle nos vieilles habitudes! je suis entrée dans ce texte revigorant sans aucun mal...et pourtant je n'ai rien de commun avec le personnage, ni avec le vocabulaire...mais j'aime...ça me parle tout naturellement! "Il blablatait haut le beau barbeau, Le rabatteur des bars à gays, L'Ibère hâbleur des cabarets." belle attaque à laquelle je suis toujours sensible! Drôle de pseudo? mais pourquoi pas? |
Pouet
19/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Vraiment bien aimé.
Le jeu sur les sonorités notamment "L'Ibère hâbleur" puis "Libère l'ardeur" par exemple, très bien vu. Sinon très distrayant, fort sympatoche. Pour moi, un des meilleurs, voire le meilleur texte en mode argot que j'ai pu lire de vous. Bravo. |
Lulu
19/5/2016
|
Bonjour LenineBosquet,
je n'aime décidément vraiment pas l'argot. J'ai fait l'effort de lire et de relire, me disant qu'il y avait peut-être quelque chose dans ces mots qui pourrait me séduire, mais le résultat demeure le même. Finalement, je crois qu'il y a les adeptes et les autres. Cette langue en est une à part entière, mais elle m'échappe. Je ne maîtrise pas du tout son vocabulaire, ce qui m'empêche de tout saisir à la première lecture. Enfin, je vois bien que vous jouez avec les mots, que vous semblez apprécier cela "Il blablatait haut le beau barbeau". Puisqu'il y a des amateurs, il y a lieu de persévérer, mais vous ne pourrez pas me convaincre, car je n'aime vraiment pas ce genre de textes qui s'éloignent, pour moi, de l'expression poétique. |
Vincent
19/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
je ne vais pas être original
si je vous dis que je n'y comprends rien mais par contre je troue géniales les sonorités ça m'a bien plu |
Vincendix
19/5/2016
a aimé ce texte
Bien
|
Bel exercice dans la langue verte mais de nombreux mots d’argot présents dans ce texte sont devenus ringards, tout comme le sont Renaud et le boléro.
La véracité de l'argot réside dans son renouvellement continuel mais également dans un contexte précis, locuteur, lieu... (Quand Renaud utilise l'argot avec un accent faubourien "forcé", c'est "bidon") |
Robot
19/5/2016
a aimé ce texte
Bien
|
A parcourir comme un slam. Il y a du rythme et de la vivacité. Un argot inspiré je trouve.
|
Anonyme
19/5/2016
a aimé ce texte
Bien
|
Moi j'aime bien ce style. J'apprécie ces textes qui claquent, quand on les lis.
Et le rythme est régulier et soutenu. Je ne me suis pas ennuyé, du début à la fin. J'avais presque l'impression d'entendre du pierre Perret. J'espère que la comparaison ne vous vexera pas. En tous cas, j'ai passé un bon moment. Merci. |
Anonyme
19/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Pour avoir foulé pas mal de scènes de bal durant mon parcours de musicien je trouve que le tableau est fort bien rendu. Les beaufs qui se bourrent la gueule et cherchent la merde pour le plaisir de cogner.
" Aux bras d'boudins en Louboutin. " celle-ci est amusante " Un rien morbide, le coup d'surin " je pense que l'adjectif morbide est mal employé ici. |
Anonyme
19/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour,
L'argot segmente pas mal. Moi, je suis client. Plus généralement, le familier segmente. Je suis encore client. En revanche, je ne suis pas friand des élisions de bouts de mots ("On s'barrait dur, d'vrais bourrins" et autres), mais ça, c'est mon affaire et ceci passe plus facilement dans un texte qu'on pourrait considérer être celui d'une chanson. On pourrait vous reprocher le mot "tantouze", mais (j'ai eu récemment une discussion à ce sujet) je ne suis pas contre le non politiquement correct dès lors qu'il n'apparait pas comme une provocation ou un mépris gratuit. Ici, il s'agit clairement d'un mot du personnage et il s'intègre sans problème dans l'image que je m'en fais. Le neuvième vers accroche un peu trop. Un texte que j'aime pour son côté truculent, pour les éléments de langage que j'apprécie et pour le travail sur les sonorités. |
funambule
21/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Le titre m'aura attiré et...
Un texte qui pourrait facile, sans tenir compte de l'incipit, trouver son bonheur en chanson. Ok, c'est pas tout à fait accessible pour le commun des auditeurs mais il y a du son, du rythme et de l'accroche, ça claque et ça croque au bout de la langue. Bravo ! |
Raoul
23/5/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
J'aime bien le vocabulaire fleuri, le jeux des "ouze/ain" mais je trouve le reste un peu maigre.
Situation, et ref. trop en décalcomanies, trop évidentes, je ne suis pas fan. |
luciole
10/6/2016
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime bien ce travail sur les sonorités et puis j'ai toujours trouvé que l'argot était une langue éminemment poétique.
|