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Anonyme
24/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Magnifique et très fort, fond et forme, j'entends. Entends qui reste mon seul regret. Une strophe en plus commençant par "Entends !" ne m'aurait vraiment pas dérangé. Mais que ce texte litanique est fort et fortiche.
Chapeau m'sieur Léo! |
Doumia
24/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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En effet une belle originalité et dans le fond et dans la forme pour ce texte qui se décale sur la droite avec des mots qui parlent d'eux-mêmes bien en adéquation et un questionnement compréhensible qui nous touche tous je pense.
J'aime beaucoup. Bravo. |
Anonyme
24/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Après le poème d'Isfranco , voici cette superbe litanie en forme de calligramme.
Les "pointures" se seraient-elles concertées pour n'apparaître qu'au dernier moment? J'avais déjà fait ma sélection. Tout est remis en question... |
David
25/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Leo,
Moins d'appui pour le lecteur que ce que donnerait un texte en style télégraphique, la suite de mots, un thésaurus : une liste de mots-clés autours du travail. Avec la mise en page et la couleur, le poème s'observe comme une peinture, une mécanique aussi, ce "robot" de la fin qui s'emballe, écrit soudain "boire", "sexe" ! puis supprime les espaces entre les mots, plus de respiration... "Générations" renvoit au vivant comme il est synonyme de productions aussi, travailler serait détruire, de toutes façons, avec l'angoisse de transformer ce travail, peut-être, comme s'attendait la prochaine récolte, ou comme s'appréhendent les conséquences écologiques, les équilibres économiques. |
mimich
13/11/2008
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Je vois bien l'intention de l'auteur dans cette énumération facile sur le thème de la condition ouvrière.
L'histoire des lois sociales(les premières ne datent que de la fin du XIXème siècle) nous apprend que le passé n'est pas aussi beau. L'apprenti, le compagnon, dans les corporations, même s'ils pouvaient recevoir des secours en cas de maladie, d'accident, de retraite, n'étaient pas si protégés que dans la société actuelle, c'étaient souvent des miséreux. Nous savons comment LouisXIV "indemnisait" les veuves des ouvriers victimes d'accidents mortels pendant la construction du Château de Versailles...Relisons les romans de Zola(Germinal), pensons à toutes les révoltes ouvrières... De grâce, ne simplifions pas, ne caricaturons pas tout. Documentons-nous un peu.Il n'y a pas de "Belle Epoque". Je n'ai pas lu dans la liste le mot"chômage"ni les expressions"variable d'ajustement" ou "plan social" et pourtant ! Ce texte n'en est pas un.c'est ce qu'on pourrait appeler un extrait d'un dictionnaire analogique subjectif. |
Leo
2/12/2008
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Un fil de discussion est ouvert sur ce texte en forum :
http://www.oniris.be/modules/newbb/viewtopic.php?post_id=54476#forumpost54476 |
Anonyme
30/12/2008
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Sincérement je n'ai pas compris. Mais au moins j'ai essayé, j'ai lu, je me suis intéressé.
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Anonyme
25/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Les mots semblent se suivre avec logique, mais ça reste plat, neutre.
à la dernière strophe il manque un mot pour comprendre le pourquoi de ce pétage de plomb: licenciement? Ou salaire de misère? Chaque chutes sous chaque strophes ajoute de la force au texte, mais malheureusement c'est seulement et grâce à ces tout derniers vers qui nous offrent une vision angoissante de l'avenir sous de différent contexte de manière percutante que ce texte est intéressant. Je n'ai rien contre la forme, mais je me répète seuls les derniers vers me parlent plus car plus émotionnels, je cite: "Des avenirs sans répit", " Un avenir sans repos", " Quel avenir? Plus de repas", ainsi que les répétitions de " casser" " détruire", je trouve qu'ils remontent le niveau du texte. |
Anonyme
16/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Innovation intéressante, comme la découverte de la différence de l'autre. J'aime aussi le côté calligramme de cette création.
çà me fait beaucoup penser à Manu Larcenet et son regard sur le monde ouvrier. Bravo ! |
Anonyme
17/4/2010
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour Leo. Tiens, un poème non-ponctué... (enfin si, un point d'interrogation "rouge")
Je l'avais déjà lu mais point commenté car je ne goûte guère à ce genre de forme "excentrique", je n'y vois pour ma part aucun intérêt. Quant aux lettres de différentes tailles et aux "couleurs", n'en parlons même pas... Cet enchaînement de vocables ne m'a pas convaincu non plus, je préfère les "phrases" en poésie; ce n'est que mon goût personnel s'entend. Désolé mais je n'adhère pas du tout à ce poème, qui n'en est pas un à mon avis. |
Anonyme
17/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Me
Suis Lissé Glisser Au Long De Ces Colonnes ----------Chute ! ------------------Suis ------------------Arrivé ------------------En ------------------Bas -------------------------Fond ? Amusante cette forme, intéressant le fond, véridique la progression. Mais il ne s'agit pas véritablement de poésie, plutôt de sociologie, et là, la forme convient parfaitement au propos. |
Anonyme
2/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Poésie ?? Que de mots pour raconter quoi, le monde du travail plus humain par le passé (lire ou relire Zola, Victor Hugo...) ?Difficile de penser que le sort ouvrier est pire ou meilleur. Les époques sont différentes, les valeurs sont différentes, les besoins ne sont pas les mêmes ( au temps de Zola, les grèves se soldaient par des morts, les ouvriers se battaient pour ne pas mourir de faim. Aujourd'hui, on se sent misérable quand on ne posséde pas le dernier écran plat HD, quand on ne part pas en vacances en Thaïlande ? Le fond , la forme, désolé, mais rien ne me va.
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Anonyme
26/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Structure de texte renvoyant à un movement pictural qui sert le dessin du poème. Il semble y a voir des renvois ligne à ligne ?
Pour de la ponctuation, ici il n'y en a pas ... : l'effet pictural et cathédrale y gagne. A regarder, autant, haut temps, au temps, qu'à lire.... |
Anonyme
19/5/2016
a aimé ce texte
Pas
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J'ai tout lu, les commentaires ainsi que la très longue explication donnée par l'auteur, j'aurais aimé que votre texte poétique soit aussi riche et intense que votre éclaircissement fourni.
Dans votre écrit, là ce sont des mots jetés en pâture qui nous sont donnés de lire, ce n'est pas plaisant, ni intéressant même si la forme se veut originale, elle ne relève pas du tout la platitude de l'écrit. Je ne me suis pas attardée plus que cela. Et pourtant le monde du travail ne peut laisser indifférent aucune génération, car il a évolué avec ces bons et ces mauvais côtés. |