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Anonyme
13/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Votre sonnet est une belle réussite. Le titre est top ! Vous nous transmettez avec force et brio ce qu'on peut ressentir lors d'un concert...quelle que soit la musique que l'on aime. Chacun peut s'approprier votre poème hormi celui qui n'aime pas la musique. Mais....ça n'existe pas ! Si ? ... :-) Enfin, moi si l'orgue n'est pas ma tasse de thé, j'ai succombé à la puissance de vos vers. Bravo. |
Anonyme
31/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une façon originale de dessiner ce point d'orgue avec toutes ces images très expressives.
" C’est l’écho triomphal de l’ultime harmonie, " . J'aime beaucoup la finesse du dernier tercet. |
Anonyme
31/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour LEO-P... Superbe sonnet où le point d'orgue est plusieurs fois matérialisé de belle manière... J'ai cherché la "petite bête" sans jamais la trouver, la prosodie est impeccable et tout coule de source. Un poème très musical comme j'aimerais en savourer plus souvent... Bravo et merci pour cet ultime classique de l'année !
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Anonyme
31/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
C'est un bon sonnet classique, c'est sûr, mais j'ai du mal ici à retrouver le point d'orgue avec toutes ces métaphores. Le premier vers d'accord mais le poète mortel sous le plafond de Dieu m'interpelle comme la lune suivante également. Par contre d'autres images sont particulièrement jolies : C’est le soleil couchant sous l’arceau de la nuit Sous le rameau courbé de l’arbre, c’est le fruit C’est l’œil qui resplendit à l’ombre du sourcil L'ultime vers bien que magnifique demande explications. Pour un auteur auquel je suis pratiquement habitué à mettre du passionnément en appréciation à chaque fois, c'est quand même une légère déception. Peut-être qu'une plus grande maîtrise des métaphores aurait été judicieux. |
Anonyme
31/12/2015
a aimé ce texte
Pas
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La répétition de "sous" six fois, me dérange beaucoup, de même les phrases qui se heurtent les unes aux autres, avec excès, c'est une belle démonstration poétique aux images bien orchestrées mais qui manque de l'essentiel, l'émotion, et cette petite touche de sensibilité plus marquée qui m'aurait convaincue.
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Anonyme
31/12/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bravo LEO-P pour ce joli "point d'orgue". Petit bémol toutefois pour la répétition de la préposition "sous", à cinq reprises (dont trois dans la même strophe) ainsi que pour la rime "mortel/ciel", tout juste suffisante.
Le tout reste quand même de très bonne facture. Bien à vous, Wall-E |
papipoete
1/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour LEO-P; le tableau dépeint par ce sonnet, évoque le son et les images, quelque part sur la terre. Or, je trouve que l'oeil est plus gâté que les oreilles, alors que les bruits sont infinis, même quand la nuit éteint les flambeaux du jour. Mais tel " c'est l'oeil qui resplendit à l'ombre du sourcil ", votre écriture nous étale un fort bel ouvrage.
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Vincendix
1/1/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Le son et les images nous indique l’incipit.
Si les images sont belles et bien dessinées, pour moi le son est inaudible, je ne suis pas bercé par la musique, je suis tenté de dire « point » d’orgue en effet. |
Pussicat
2/1/2016
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"Le son et les images"
Petit bémol : je vois les "images", les lueurs, les lumières, je n'entends pas le "son". "C’est l’écho triomphal de l’ultime harmonie," ouf ! et un petit "souffle", peut-être. Je suis déçue et flouée : le titre annonçait un "point d'orgue" et je lis une suite de vers déliés (exception faite dans les deux tercets), et une répétition de "sous" abusive. à bientôt de vous lire, |
jfmoods
3/1/2016
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Le jeu des présentatifs (« C'est » x 2, « C'est... qui » x 3, « c'est... / Dont ») met en relief les élément d'une thématique qui se déploie et que dicte le titre du sonnet. Antithèses (« ponctuel » / « infinie », « Dieu » / « mortel », « lune » / « arc-en-ciel », « front » / « cerveau », « lueur circulaire » / « noir tunnel », « flambeau chancelant » / « roc éternel », « souffle » / « agonie », « soleil » / « nuit ») et métonymies (« arbre » / « fruit », « œil » / « sourcil ») jalonnent le parcours de lecture, levant le voile sur une relation tour à tour douloureuse et joyeuse de l'être humain au monde qui l'environne. La fragilité de notre condition (diérèse : « ponctuel », préposition de lieu entêtante et oppressante : « sous » x 6) se trouve contrebalancée par l'image obstinée du Plaisir qui comble (titre : « Le point d'orgue », groupe verbal : « la chair s'abandonne », métaphore : « les regards de feu », paradoxe construit sur des verbes pronominaux à sens réciproque et illustrant l'entente tacite : « se parlent en silence ») et perpétue la vie.
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Methos
31/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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La vie vaut la peine d'être vécue juste pour le point d'orgue, lorsque le feu rédempteur guérit enfin l'intense lassitude propre à notre condition d'êtres éveillés.
Pour atteindre "la lueur circulaire", il faut aller "au fond du noir tunnel", là où se termine le chemin de croix. Une fois au bout de toutes les souffrances, au sommet du Mont du calvaire ou de la montagne du Destin, nous ressentons alors "le souffle vainqueur qui berce l’agonie". C'est alors la Résurrection ou le Retour du Roi, la victoire de l'A-mour (annulation de la mort, du mortel Ennui), le renouveau de l'âme. C'est la fin du conflit, de l'agitation bruyante, l’avènement de la paix où "les regards de feu se parlent en silence". Un grand merci pour ce voyage, il suffit de quelques mots "Sous le plafond de Dieu" pour vous remettre d'aplomb un cœur chancelant. |