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Anonyme
1/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore! Un air Communards, mâtiné de 1936.
C'est lyrique sans être lourd, la fin sonne juste, les images rappellent TON léo (:-) Franchement réussi... |
Anonyme
1/10/2008
a aimé ce texte
Pas
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Pas d'accord avec le précédent commentaire... Moi j'ai pas aimé du tout. "Demain c'était hier", "les cerisiers fleurissent", "la mort est loin, l'amour est là", "ouvrez vos coeurs et vos esprits"... Et j'en passe, et j'en passe... Une accumulation de stéréotypes totalement indigestes. Le tout bien moralisateur et convenu. Et puis que dire du dernier vers?... Et de son ton messianique... Tout ce que je n'aime pas. Ha, bien sûr ce poème doit avoir du SENS, reste à savoir LEQUEL... Faisant partie du peuple, je ne répondrais pas à cet "appel".
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Doumia
1/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Hé bien moi oui ! J'adore carrément ! Ton poème est tout simplement époustouflant, c'est le mot qui me vient. Plein de fougue et de verve et ça me plait dans le fond et même dans la forme qui n'en est pas une pourtant.
Et puis, qu'est-ce que ce serait bien si on pouvait le faire ! Merci et bravo Léon. |
David
5/10/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Leon,
Pour le dernier vers, je l'ai pris au premier degrés, l'engouement ressemble à celui d'une toute nouvelle paternité, j'aime bien les vers longs qui permettent de poser les choses. |
Anonyme
28/1/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Je n'ai vraiment pas aimé tout ce "verbiage" rageur et déplacé par moment, cet "appel au peuple" prône une certaine violence, et rejoignent des exhortations entendues en période troublée.
De plus c'est abominable de lire de tels propos : " Défroquez les prêtres et mariez-leur les guenons des zoos. Déguisez les gendarmes en plombiers, en pompistes, en filles de joie Et faites des prisons des poulaillers où nous logerons tous nos ministres. " Tout votre texte est pratiquement "indigeste", je ne pense pas que pour arriver à la liesse que vous décrivez il faille en passer par ces extrêmes. Et là encore je m'interroge : " L’âme sœur est là et le bonheur aussi n’est plus une carotte qu’on agite à votre nez. L’âge d’or est là depuis longtemps et tant pis si vous ne le saviez pas. La mort est loin, l’amour est là et c’est tant mieux. La mort est là aussi et puis qu’est-ce que ça change ? " Vous manquez de cohérence, et de plus vous vociférez des propos intolérables qui m'est impossible de cautionner d'une manière ou d'une autre. A aucun moment je n'envisagerai de répondre à un tel appel. |