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dom1
5/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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S'agit-il réellement de l'été ? Pourquoi l'été ? Je ne lis pas dans votre poème qui me plaît, par ailleurs, un lien direct avec une saison. Non, il est suffisamment porteurs de sensualité sans avoir besoin de le fixer dans le temps. Pourquoi mettre les saisons à toutes les sauces ?
Assumez sa fraîcheur ! |
MissNeko
14/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un jolie poème délicat avec un brin d érotisme.
Un agréable lecture où on sent le temps lentement s écouler. |
Anonyme
14/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le style est élégant, mais je n'ai pas perçu le sens exact de cette poésie dont certaines images me laissent perplexe " le poudroiement
des rires revenus," " le corps, né des livres et du tourment ". " Laissons le temps venir à nous qui lisons sous ses paupières " |
Johannes
15/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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On sent beaucoup de sensibilité et de délicatesse dans ce poème.
Mais j'avoue que le sens profond du texte m'échappe. Par exemple, la deuxième strophe commence par "la même floraison qu'hier" et semble donc impliquer une permanence dans le temps. Or, la suite de cette strophe parle de la surprise devant l'écoulement du temps provoquée par cette "même floraison". Cela me laisse perplexe, il y a sûrement quelque chose qui m'échappe. |
OiseauLyre
16/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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La mise en page me plaît, le poème "incarne" son sujet. Votre écriture est impeccable, les images se suivent de manière fluide.
Un thème déjà traité mais votre style le porte une nouvelle fois admirablement et simplement. Il y a quelque chose d'à la fois doux et nostalgique dans votre poème, une plainte silencieuse. Merci. |
Anonyme
18/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Parce qu’arrive une saison dans la vie où l’on sait que le temps de la vie la plus vive est derrière et pas devant, qu’on est entré dans notre automne…et que pourtant parfois il semble que survient ce qu’on pourrait nommer une réminiscence, d’envie, de vie, d’espérance puissante, allant jusqu’à le trouver indécent, cet élan…et donc réminiscence de l’été, car pour le printemps il est définitivement trop loin, et puis il y a eu la vie, les fruits, la récolte partielle.
Parce que la vie est exubérance quand elle se manifeste, avec son désir, sa volonté qu’on reconnaît parfois, farouche et riante, sauvage, loin des livres et de la raison…elle laisse vraiment l’essentiel de ce qui nous fait à nu. Voilà j’ai suivi votre poème mot à mot, et en y réfléchissant, j’ai trouvé tout bien pesé, et bien dit de ce renouveau tardif. De ce violent soubresaut du vouloir vivre et aimer. Bravo pour l'élan, la concision, la sincérité. C. |
Lylah
19/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai été happée par la première strophe que je trouve vraiment très belle, d'une grande concision poétique et nous amenant d'entrée dans le vif du sujet, "l'automne", inéluctable..
La seconde prend le relais avec une élégance rare et la troisième, avec ses "rires revenus" mais reconnus comme fragiles et éphémères, forcément éphémères m'a convaincue également. La suite m'a semblé plus obscure et j'aime assez peu les "points d'exclamation dans ce genre de texte (détail, certes, mais quand même) Le dernier vers vient tout de même sublimer l'ensemble, donc oui, j'ai vraiment, vraiment aimé ce poème... Merci pour ce partage subtil et touchant |
Alcyon
20/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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bonjour
ce poème m'attire mais plusieurs lectures s'imposent pour la compréhension totale des choses m'échappent mais c'est tant mieux il reste une part de mystère je pense qu'une absence de ponctuation le révèlerait davantage |