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Ora
23/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Votre écrit est fidèle au thème de la nostalgie et dépeint bien la solitude qui l'accompagne. Il y a de magnifiques images dans votre poème, indéniablement la poésie y règne :
"mêlant au blanc de ma salive l'éphémère poussière du carmin répudié." "Et personne ne remarque le sillon qu'a tracé son regard d'homme à hauteur de mes larmes." Il me semble toutefois que la première strophe n'est pas à la hauteur des autres: "par les mêmes pas, dans la même écriture" ne laisse perplexe. Dans l'ensemble, je trouve votre poème de qualité, merci pour ce partage. |
Anonyme
18/11/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir Letho
Ce texte ne m'a pas séduit malgré plusieurs lectures. J'ai trouvé les images un peu artificielles, grandiloquentes, manquant de sens précis, à mon avis. A vous lire une prochaine fois. |
Ramana
18/11/2016
a aimé ce texte
Pas
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Ce texte aurait pu être écrit en prose tant le fractionnement en vers n'apporte rien de convaincant. On n'y trouve pas la fulgurance, ou tout au moins le rythme des mots savamment distillés et assénés qu'on est en droit d'attendre d'une poésie libre, et qui suscitent l'élan et l'émotion du lecteur.
Dommage, quelques bonnes idées auraient mérité plus bel écrin. Certains de vos textes m'avaient pourtant laissés meilleure impression, j'attends donc les prochains. |
Anonyme
18/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Parce que ce poème est celui de quelqu’un qui parle vrai.
Parce qu’il raconte la solitude et son tourment, et murmure un espoir de rencontre qui ne se fait pas. Parce que la nostalgie est bien ceci : de voir ce qui ne sera peut-être plus, et de toute façon jamais autant possible que du temps de la jeunesse, celui de tous les possibles. Parce qu’il y a des images fortes. Bien que le découpage ne me convienne pas vraiment, et, à mon humble avis, coupe un peu le souffle de l’auteur, parce que tout cela se dit d’un trait, d’un souffle, comme doit s’écrire ce que l’on crie, mais il est vrai qu’avec le temps on ne crie plus de la même façon qu’à vingt ans…et peut-être même qu’alors on ne criait pas. À cause de cela, et malgré le découpage, j’aime beaucoup ce texte, pour la raison qu’il n’y a pas de petits oiseaux qui chantent une consolation, qu’il n’y a que le feu de la solitude… et la cendre de ces lèvres qui ont renoncé au maquillage, tout comme la voix qui parle ici a renoncé au subterfuge… et sonne vrai. À vous relire |
Pouet
19/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
De bien belles images dans ce poème qu'on ressent très personnel et sincère, j'ai beaucoup aimé vous lire. Je trouve notamment superbe ce passage mais il y en a d'autres: " (...) oublie mes lèvres qui craquent et se dessèchent, mêlant au blanc de ma salive l'éphémère poussière du carmin répudié." Un poème "qui ne se laisse pas faire", on doit le presser entre nos yeux pour en faire sortir l'essence et les sens. Au plaisir |
Anonyme
19/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Le thème de la nostalgie est bien évoqué, les vers sont fluides et les images ont une portée poétique indéniable. J'ai particulièrement apprécié les vers suivants : "par les mêmes pas dans la même écriture" Bien à vous, Wall-E |
Lulu
19/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour letho,
J'ai beaucoup aimé parcourir ce poème qui porte en lui une belle tonalité. J'ai notamment aimé son côté épuré. Vous allez à l'essentiel pour dire assez simplement un sentiment complexe que beaucoup connaissent : la nostalgie entremêlée de solitude. Au-delà du thème, j'ai aimé la fluidité du texte, à l'exception des premiers vers, et pour être précise, des deux premiers, uniquement, lesquels m'ont un peu gênée. C'est une question de rythme, il me semble. Si tout le texte coule d'un seul tenant, on y entre un peu laborieusement à cause de ces deux vers, me semble-t-il... Cela dit, en relecture, c'est un moindre mal, c'est surtout à la première approche que je me suis demandée dans quoi vous nous embarquiez. La bouche, les larmes ; un portrait à peine esquissé, mais une écriture claire au final, notamment avec ce dernier mot "Solitude" qui met très bien le sentiment de nostalgie en relief. Au plaisir de vous relire. |
MissNeko
20/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J ai aimé la fluidité générale du poeme. La lecture "coule" comme la rivière dont vous parlez dans votre dernière strophe. Vous mêlez habilement les émotions du narrateur aux manifestations de la nature. Merci pour ce partage |
Lylah
20/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé la douceur et la sincérité de cette petite musique personnelle. C'est la troisième strophe qui m'a le plus touchée et particulièrement les trois premiers vers :
Quelle étrange auréole laisse le mois d'avril sur ma bouche étonnée J'y ai trouvé une musicalité très intéressante pour une image inédite... J'ai moins apprécié le "gras et vert/identique à ma peine", des deux premiers vers, un peu lourd comme attaque et de fait, le reste est beaucoup plus fluide... C'est donc un peu dommage. Mais ce n'est que mon ressenti et pour l'ensemble, voici un moment de lecture très agréable. |
hersen
20/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je n'ai pas "eu" le poème d'emblée, je dois avouer que "gras et vert" m'ont freinée. Même maintenant, je ne suis pas sûre.
Et je le regrette car j'aime assez cette nostalgie, en fait, je deviens nostalgique moi-même à la lecture des vos vers et, étonnamment, d'une manière qui n'est pas désagréable. Qui n'est pas triste. Est-ce parce que la poésie est une beauté perenne, et que des sentiments à priori néfastes sont magnifiés ? je ne sais pas ! je crois même que vous allez dire que je dis n'importe quoi. Mais non, Letho, je vous assure ! :) A vous relire, hersen. |
HadrienM
21/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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L'écriture est charmante et le sentiment élégiaque se ressent bien.
Le lecteur se défait de la violence du monde. Le temps passe, l'on se laisse prendre au jeu des mots qui désignent notre sacrée solitude. L'écriture est en fait élégante ; l'on se place à hauteur d'homme. Le poète se charge de la puissance du langage et fait son deuil. La mort rôde. Plaisante écriture. Bien à toi, |