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Anonyme
9/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut LEVENARD ! Bel exercice qu'Audiart n'aurait pas renié !
Beaucoup de gouaille qui fait penser plutôt à l'après-guerre qu'à notre époque... quant au vocabulaire. A mon avis, dans les deux vers qui suivent :"Toi tu cesseras les passes Moi j'arrêterai les casses", les Toi et Moi sont en trop car ils cassent le rythme... Cela dit, il fallait le faire ! Ca change de l'alexandrin... Bonne soirée. Alex |
wancyrs
10/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bon ! un chant sans refrain ! pas mal du tout. les frasques de gamins, rêvant de la dolce vita.
Reste à pouvoir le scander et le mettre sur disque. bonne continuation |
Meleagre
10/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème dénote avec le reste de mes lectures oniriennes. Le rythme des hexasyllabes est assez entraînant ; peut-être faudrait-il mieux marquer les e muets anormaux par des apostrophes ("Pour t'emm'ner à Venise", "Mais prendr' le dur à l'oeil", "D'aller chez tant' Denise" : les exemples sont nombreux).
Le travail sur le vocabulaire, familier, imagé et assez rude, m'a fait parfois penser à du Céline. Oui, il ressemble à la langue verte de l'après-guerre. J'aime bien le sujet : chercher une planque, profiter "de vraies vacances / Avant que n'recommence / Pour nous cette foutue vie". On sent bien l'opposition entre le milieu populaire, miséreux, dont sont issus les deux personnages, et le milieu bourgeois, plus favorisé, dont ils rêvent, avec "chauffeur et limousine... perlouzes...". Le contraste est savoureux dans cette bouche gouailleuse. Quelques beaux passages, notamment la dernier strophe. L'ensemble est de bonne tenue. Merci Levenard. |
Lapsus
11/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le texte permet l'intrusion dans un univers où le bonheur projeté semble futile et dérisoire.
La défectuosité (autant dire la misère), sensible dans le registre du vocabulaire et le phrasé, l'est tout autant dans les perspectives évoquées. Le poème est construit en strophes de neuf vers, selon le schéma général AABCCDEE, concourant à l'impression de refrain et à une musicalité certaine de l'ensemble. |
David
12/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Levenard,
Des passages mémorables, j'aime beaucoup les deux dernières strophes, ça en jette et je suis sortis de là comme d'un bon manège de fête foraine. Je ne comprend pas le sens de "dur" ici : "Mais prendre le dur à l'œil Jusqu'à la Port'd'Auteuil" J'imagine que c'est le train de banlieue, le bus ou le métro, je ne connaissais pas l'expression. Des vers moins coulant que d'autres à mon goût : "Ça a foiré encor'" L'apostrophe finale est inutile il me semble en fin de vers, mais c'est le "ça a... " surtout qui me fait le citer, un p'tit défaut cette succession de deux A, même dans un registre comme celui du poème je trouve. "Et à la nuit venue" Moins flagrant ici, mais quand même, ce "Et à... " du début est un mauvais hiatus pour moi. "Paraît qu'el' cach'd'la thune" Le "cach'd'la" est très limite de l'abus d'apostrophes, il me semble que ça pourrait s'améliorer, en restant dans le ton. |
Anonyme
13/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Complainte argotique mêlant cynisme et misère sociale.
C'est bon aussi, parfois, de ne pas verser abusivement dans l'angélisme quand on évoque ce genre de personnages : l'humilité ne va pas forcément de pair avec la bonté ; être pauvre, ce n'est pas forcément être respectable et émouvant. Fi de cette perception chrétienne, souvent tronquée. Ici les populo' sont assez antipathiques. Ils sont "vrais", dans toute leur petitesse (strophe deuxième). On les croirait sortis d' "Affreux, sales et méchants" d'Ettore Scola(lol) Outre les petits problèmes soulevés par le précédent commentateur, je relève la nécessité de recourir oralement à certaines élisions oubliées ; par exemple ici : "Pour t'emm'ner à Venise Mais prendre l' dur à l'œil" |
ceriz
13/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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salut!
j'ai beaucoup aimé ce texte, le style m'a fait penser a du Renaud, j'aime l'utilisation du vocabulaire populaire. Tu lui propose du reve a la Gigi et je crois qu'elle aurait tort de ne pas te suivre! |
liryc
16/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour LEVENARD. Le premier texte que je découvre de toi. Un texte taillé dans du bois brut sans rugosité polissé : direct, inspiré et avec un contenu vrai qui frappe l'esprit et l'imagination par son souffle d'authenticité. Je ne dirai rien sur la qualité des rimes puisque je suis le plus souvent du côté des nouvelles. J'ai bien fait de passé par ici.
Est-il nécessaire de dire que j'ai beaucoup apprécié? Bravo donc. Et bonne continuation. Liryc. |
Anonyme
17/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette chanson je l'imagine sur trois temps, en valse rapide ...
J'en apprécie la gouaille incisive et joviale, autant de termes et expressions familiers ici manipulés avec beaucoup d'à-propos et de musicalité. Je ne partage pas l'avis de précédents commentateurs sur les "e" muets à marquer davantage : pour moi ils le sont déjà trop, le rythme de cet écrit me paraît couler de source, j'ai aimé m'y laisser porter. Souhaitons bonne chance à Gigi et son Jules ! :-) |
Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un sourire aigre-doux à la lecture de ces vers.
Un message agréable à lire, ludique. Bien aimé moi. |
Anonyme
24/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Excellentissime. L'esprit d'une sorte de Johan Rictus moderne.
Tout s'enchaîne bien : la lecture est aisée, ça coule quoi. Et pis moi j'ai jamais craché sur la vraie poésie populaire des Boudard, San-A et j'aime jaspiner le jars : une vraie langue poétique. J'adore ! |
ANIMAL
24/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup aimé ! Je me suis trouvée tiraillée entre le Paris des apaches, cher au Fantômas de Souvestre et Allain,... et Les Valseuses
Ces deux filous délurés vont profiter des largesses de tante Denise en son absence avec une espèce de naïveté charmante. Rien à redire ni sur le fond ni sur la forme. Voilà un texte réussi, plein de gouaille et d'humour (si on n'est pas la tata Denise qui risque de ne pas apprécier) |
Anonyme
7/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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La gouaille de ce texte me plaît, il est coloré, décalé, et surtout très vivant, j'ai eu l'impression au fil de ma lecture, d'entendre ce personnage typique s'exprimer, déjà sans musique, les mots ont leur tempo, leur rythme, sa composition a une belle fluidité.
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