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David
20/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Lineas,
Le courroux n'affadie pas les vers, j'ai bien aimé. |
Anonyme
20/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai appris qu'on ne mettait pas de "s" aux noms propres.
A cette restriction près, j'aime bien le fond de ce poème (sans doute ironique) et son adéquation à la forme. Amusée par ce constat: "L'alexandrin est pan". Ah, tout fout l'camp, mon (ma?) brave Linéas, le sonnet est totalement suranné et le Grand Pan est mort... (je laisse les puristes du sonnet relever vos fautes de rimes). J'ai passé un bon moment! |
xuanvincent
20/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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J'ai apprécié lire ce poème, pour son thème et sa forme (qui fait un peu ancienne mais je l'ai appréciée).
Effectivement, il me semble bien que les noms de famille ne s'accordent pas en genre (et restent donc au singulier). |
orion2
20/12/2008
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Si l'auteur avait qualifié de « néo-classique » le sonnet, ce dernier aurait été honnête dans la forme choisie. Mais c'est la forme fixe qui a été préférée, et là, le sonnet classique, irrégulier, ne tolère aucun écart avec la prosodie.
1Q 1V : 13 syllabes (po/é/si/e), hiatus sonore « classiquO vers d'un... » ; 1Q 2V : pas de s aux noms propres, ce qui fait que Lamartine rimera avec famine ; 1Q 3V : 13 syllabes (o/ré/e) ; 1Q 4V : 14 syllabes, le mot « poésie » déjà employé, cri/ent : 2 syllabes (règle du e muet non appliquée) ; 2Q 1V : 13 syllabes (a/ttris/té/es) ; 2Q 3V : 13 syllabes (Ca/lli/o/pe) ; 2Q 4V : 13 syllabes; même remarque d'emploi de poésie ; le quatrain est tout en rimes féminines ; célestes/geste, dispersées/Orphée ne riment pas (pluriel avec singulier) 1T : tout en rimes masculines ; 2T : chien/anciens, enfers/lumière ne riment pas. |
Menvussa
20/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Ça ne m'a pas déplu, loin de là, car j'ai vu de l'ironie, une fausse nostalgie à travers cette grandiloquence, tant il est vrai que ces grands poètes ne manqueraient sûrement pas d'adapter leur style à l'air du temps.
Ceci dit, j'aime beaucoup Hugo et Lamartine. petit détail, il n'y a pas d' "s" à Lamartine, il n'y en un dans Alphonse, mais ce n'est pas une raison... |
mimich
20/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Agréable à lire,avec cette pointe que je trouve aussi ironique à la fin.
Comment voulez-vous, Lineas, que la poésie classique ne meure pas quand vous lisez, comme moi, des critiques aussi inutiles sur la forme de cette poésie. Le genre doit, comme tout ce qui n'est pas rangé dans un musée, évoluer et assouplir ses règles qui paraissent d'autant plus désuètes à nos contemporains qu'elles n'apportent rien du point de vue esthéthique et rythmique . |
Anonyme
21/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lineas. J'ai le c.. entre deux chaises. D'une part je pense qu'il eût été fort dommage que des correcteurs intransigeants nous privent de ce sonnet (pas très orthodoxe, convenons-en) pour le message qu'il véhicule... et d'autre part la défense de la poésie classique ne nous fait-elle pas obligation d'en respecter scrupuleusement les règles telles qu'elles sont définies ? Vaste débat... Cela dit, j'ai aimé. Amicalement. Alexandre
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Anonyme
22/12/2008
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Ironie ou pas? Suis un peu lent... Parce que moi le côté " Ah ma p'tite dame de mon temps..." Ca a tendance à m'exaspérer. La poésie doit évoluer pour exister. Plus de Lamartine ni de Hugo? Bah tant mieux... Sinon la forme colle au fond.
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FIACRE
15/1/2009
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On se sent un peu en retrait parmi ces reliures pleine peau, certes, mais qui manquent de présent.
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Anonyme
18/2/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
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"La poésie se meurt, la révolté a sonné", comme vous y allez.
"Poésie, art en perdition", mais non, voyons, ne soyez pas aussi négatif. La poésie a ses fervents admirateurs, défenseurs, j'en ai côtoyés ici même, et cela fait chaud au cœur, car pour autant il n'est pas nécessaire d'être un Victor HUGO, un HOMÈRE ou un LAMARTINE, is sont uniques, comme tout un chacun. Combien de fois, ai-je lu ce genre d'écrit "alarmiste", je trouve que vous en faîtes "des tonnes", promenez-vous sur les sites ou les forums poétiques, et vous verrez combien la poésie est bien vivante, sous toutes ses formes. Pour ma part, cela fait huit ans, et je suis toujours autant optimiste, car il y a de nombreuses créations en ce domaine, et qui ne manquent pas de talent. Je n'adhère pas à votre écrit, je trouve le sujet qui n'est que "rabâchage" banal. Pour la forme, votre écrit est à retravailler, il comporte des imperfections, un peu dommage de n'avoir pas offert un meilleur écrin, à cette poésie, ainsi elle aurait trouvé en vous en soutien sans faille. |