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Ioledane
11/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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J’aime bien la dérision de ce poème, et l’emploi d’un savoureux passé simple devenu rare à la deuxième personne du pluriel.
Un coup de cœur en particulier pour le deuxième verre, pardon, vers ;-), « Bacchus au pied du bar » et « grommelant un tercet ». Moins aimé en revanche la phrase « les rimes enlacées / Vous laissâtes filer » (inversion assez artificielle). Quant au second tercet, j’ai dû le lire plusieurs fois pour le comprendre et l’apprécier pleinement. Dommage pour la césure du vers 5 (même si c'est du néoclassique). Dans l’ensemble, j’ai eu plaisir à lire ce texte plein d’humour et plutôt bien ficelé. |
David
11/2/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Holà, le beau costard pour l'heureux élu :) mais je ne suis pas client de ce genre d'ironie à l'inconnu, rire d'un bouc émissaire, je l'ai fait et j'en garde un très mauvais souvenir. On peut rire de tout avec tous le monde en les menaçant d'une arme de destruction massive, sinon pour un humour du partage, chacun doit finir par connaitre le fin mot de la blague et en poésie plus particulièrement comme ici, ce n'est pas un sous-genre mais comme le "bon sentiment", l'émotion se répond à elle-même. |
Miguel
21/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Petit sonnet à la gouaille sympathique, qui rappelle "Le bon gros Saint Amant et son compère Farret", avec son atmosphère de taverne et sa tonalité épicurienne, et son passé simple qui ne se prend pas au sérieux. Les vers sont mélodieux, les images expressives, et le tout donne envie de trinquer, pas à l'eau ferrugineuse bien sûr. Seule la rime "tercet/ enlacées" chagrine le trop classique que je suis ; ça, je ne m'y fais pas.
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troupi
23/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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La lourdeur du texte (par ses conjugaisons surtout) est parfaite pour
emmener le lecteur dans des vapeurs avinées. En ce sens je trouve le texte fort bien écrit. Il faut s'amuser à le déclamer en mimant la situation : c'est franchement irrésistible. Je dis bravo pour ce moment de jubilation offert. |
leni
3/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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A lotier
L'art du dérisoire Vous les fîtes et beuglâtes...Oui la journée la plus perdue est celle où on a pas ri Quand vous vîtes l’issue, vidant le Picon bière. J'aime sans modération Bravo!!! Leni |
Anonyme
3/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lotier
Ce sonnet nous rappelle Verlaine derrière l'absynthe mais là s'arrête la comparaison quoique j'aime bien le fond du poème (pas le verre). Beaucoup d'humour même si personnellement les passés simples me lassent quelque peu. Bref, un bon sonnet où j'aurais quand même préféré une prosodie se rapprochant plus du classique. Bien à vous. Hananké |
Anonyme
3/3/2014
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Salut Lotier
C'est sans modération que j'applaudis à ce sonnet pas si simple. Vous optâtes fort pertinemment pour la forme contemporaine. Vous pûtes ainsi user des assonances. Mais mîtes un point d'honneur à ciseler des alexandrins dûment hémistichés. C'est d'autant plus louable que de votre propre aveu vous le composâtes en torchant des Picon bière. Boisson redoutable s'il faut en croire les protagonistes de l'inoubliable "Un singe en hiver" Merci donc cher Lotier et bravo pour ce sonnet aussi savoureux que bibinatoire. |
Arielle
3/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai apprécié sans modération ces 14 vers levés en l'honneur de Bacchus. Le passé simple, dans ce contexte, pétille d'une fraîcheur ironique de bon aloi.
Le sonnet marotique ne serait-il plus français après quelques tournées ? On ne le dira pas à Marot, cela l'attristerait ;-) |
Robot
3/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"vous hésitâtes tant" "beuglâtes" "naquit" rien que pour ce passé simple je suis fan de votre poème. Ah ce passé simple si décrié, surtout par ceux qui ne savent pas - plus - l'utiliser. Alors on le dit désuet et même suranné, ou prétentieux et artificiel... Pourtant, c'est un mode qui permet d'éviter toutes les affreuses répétitions des auxiliaires avoir et être du passé composé et du plus que parfait. Et c'est ce qui fit que sonnât votre sonnet.
Et sur le fond, j'ai apprécié la dérision de votre texte. |
Myndie
3/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lotier
et bravo pour ce texte qui réussit l'exploit de combiner un sonnet de fort belle facture avec le burlesque d'une situation. On est chez Rabelais, dans une univers de soiffard/braillard. Et quelle bonne idée de ciseler les phrases à l'ancienne grâce à l'emploi du passé simple, qui sonne comme la figuration des aspirations ratées de ce pauvre poète! Loin de s'en trouver plombée, cette poésie poivrote, par la gaieté que vous y instillez, s'envole, légère et pétillante. On en redemande une tournée! Bien à vous, |
senglar
3/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Lotier,
Pourquoi le (-) : - Quelque chose ne va pas avec le "en" superfétatoire des flûtes sifflées de 'Il ne peut en sortir..." - J'aurais préféré le '''dos''' d'un sous-bock (ou l'avers) et '''quelques''' minutes (mais il faut 12 syllabes) - Pourquoi une humeur guerrière alors que ce poète improvisé offre une tournée ? '''humeur pompière''' ? - Bon, le Picon bière aura malgré tout fait une petite B.A., la pratique du sonnet étant préférable à celle de la chicane... et un joli créneau. Merci :))) brabant |
AhmedElMarsao
3/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Sonnet superbe à lire et à déclamer sans modération avec ou sans verre à la main. Tout a été dit dans les commentaires de ceux qui ont précédé le mien.
Un petit bémol ou plutôt deux: - le titre:je ne vois pas le rapport avec le texte sinon le jeu de mot que je trouve par ailleurs gratuit. Tout compte fait j'aurais préféré "sans modération" - le verbe "faire" répété dans le poème deux fois (au début du premier quatrain et à la fin du premier hémistiche, premier vers, second quatrain). Je trouve qu'il détone par rapport au style enlevé du sonnet et me paraît par conséquent plutôt "prosaïque par rapport à l'ensemble. |
Damy
3/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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Oui, j'aime bien, c'est rigolo et il fallait le faire. Thème traité avec beaucoup d'originalité.
S'il fallait que je fasse une réserve (oui ? Il le faut ? Bon) ce serait la même que celle de Senglar sur l'adjectif "guerrière" et que celle de Ioledane sur la limpidité trouble du dernier tercet. Merci pour l'amusement, ça ne se refuse pas ;-) |
Anonyme
4/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah ! Que j'aime le passé simple. Peu employé, il est de suite précieux.
je ne suis pas du tout spécialiste de l'écriture classique. Aussi, je ne peux sans doute pas apprécier vraiment cette poésie "contemporaine" qui ressemble beaucoup pour moi à un sonnet. Est-ce de l'auto-dérision ? Une satire ? Ne goûtant pas le Picon bière, surtout dans des flûtes, je me suis laissée sobrement entraîner par la musique de votre œuvre et je vous dis bravo. |
Marite
4/3/2014
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Amusant et plaisant bien sûr. Mais ce poème est justement l'illustration parfaite de ce qui me met mal à l'aise avec la classification en "poésie contemporaine" : une facilité pour contourner les règles u classique. Bon, il est vrai qu'avec l'esprit embrumé par les vapeurs de l'estaminet, difficile de se concentrer sur la forme. Alors cela me laisse une impression de "vite fait" ... Dommage.
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Purana
4/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je suis ravie de voir mon temps préféré, le "passé simple", utilisé par un poète contemporain. Ici, ce temps sonne bien et le look est magnifique !
À mon cours de français, même si on nous apprend ce temps, les enseignants soulignent qu'il s'agit d'un temps qui est en train de mourir et que nous ne devrions pas nous inquiéter à ce sujet pour les examens. Dommage, car ce temps est facile à apprendre pour le non-francophones. De plus je le trouve tellement beau et passionnant. Eh bien ... pour moi: Vive le "passé simple" ! Au cours des derniers jours, j'ai étudié intensivement les règles de la poésie. À vrai dire, je ne vois pas encore pourquoi ce poème n'est pas classé dans la rubrique néoclassique. Mais peut-être devrais-je approfondir le sujet. Une chose est sûre : j'aime la forme ainsi que le fond, quel que soit le style ! |
Lotier
21/4/2014
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Bonjour,
Un petit mot dans le forum dédié : http://www.oniris.be/forum/a-propos-de-avec-moderation-t18811s0.html Bien cordialement, Lotier |