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rosebud
6/3/2014
a aimé ce texte
Pas
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Trop mécanique, trop travaillé je trouve (ces désagréables rimes en "i" à répétition) pour évoquer la liberté dans cette maison bleue. Il est vrai aussi que je n'aime pas trop la chanson qui évoque un monde disparu pour de bon, dont il ne reste vraiment rien et que je ne regrette pas, même si on peut regretter de même celui dans lequel nous nous somme fourvoyés.
Il paraît que la maison est devenue une librairie, ou quelque chose comme ça - c'est Le Forestier lui-même qui le disait. Bon, la fée de la Haute Lande ne m'a pas enchanté. |
Anonyme
7/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli ! J'aime bien cette évocation de l'hôtesse de la maison bleue, partie (Dieu sait pourquoi, mais pourquoi pas ?) en Écosse. Le rythme dansant va très bien avec le sujet, je trouve. Une mention pour les "cheveux chenus" !
Je verrais bien d'ailleurs ce texte mis en musique... |
Ioledane
14/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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J’aime bien le rythme de ce texte chantant, et ses évocations imagées. Oui, on connaît la chanson, et elle est ici joliment poursuivie et complétée.
Mes passages préférés : « L’aube violette a ton sourire Et la brume, à temps, se déchire » « Tu as peint la maison d’azur, Par ta joie, fait d’une masure Un paradis. » « Mais tes yeux gris Disent combien tu restes libre, Et toujours les guitares vibrent » « Vous n’avez pas besoin de clefs Pour vivre ici » Quelques bémols : - la déplaisante sonorité de « jusQU’A CAstro » - le « car » de la dernière strophe dont je ne comprends pas la logique (je ne vois pas bien en quoi les trois derniers vers expliquent ceux qui précèdent). - le titre : j’aurais mieux vu « La fée de la Haute Lande » à la place de « Ressac », un peu trop bref et cassant à mon goût, par rapport à la tonalité du poème. |
Anonyme
19/3/2014
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Bonjour Lotier
La copine du narrateur a quitté les brumes de San Francisco pour celles de Haute-Ecosse, la terre des Pictes (nous le savons tous depuis le dernier Astérix) Elle a vieilli, mais sa maison est à nouveau bleue et elle n'a pas changé de philosophie. On est pile-poil dans le thème du concours. Les couplets sont plus ceux d'une chanson que d'un poème à lire. En l'occurrence, à mon goût c'est un plus. Reste à trouver une mélodie, celle de Le Forestier ne convenant pas ici. Ça donne envie d'aller faire un trip dans les Highlands Merci Lotier et grosses bises à fée de la Haute-Lande et à votre petite Lili |
Arielle
19/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un camaïeu de gris, de bleu, de violet pour repeindre cette maison bleue au pays picte des nostalgies. Le rythme 8/8/4 berce agréablement les souvenirs de cette fée de la haute lande qui a emporté dans ses bagages le San Francisco de sa jeunesse.
C'est tout à fait crédible et donne à la chanson originale une profondeur, une mélancolie qui ne la dénaturent pas. |
Bidis
20/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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J’ai trouvé ce poème empli de nostalgie et, par moments même, prenant. Mais, pour moi, plusieurs vers lui ôtent assez bien de son charme, dont :
- « Fûmes hippies » : Je n’aime pas tu tout le « fûmes ». Pourquoi pas n’écrire que « hippies » ? (« Nous, d’amour, plus que de raison, Hippies. ») - « des cieux toujours étoilés » : Je trouve que cela fait chromo. Et je trouve la cinquième strophe moins jolie que les autres (« Tu as peint la maison […] on entend l’écho. ») |
Myndie
20/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Lotier,
C'est bien vu : un travail d'écriture qui sied parfaitement au genre "chanson"; j'aimerais beaucoup entendre la version musicale de ce texte si jamais un jour les notes l'habillent. L'histoire est futée, mélancolique à souhait. Et puis surtout, j'aime l'évocation des 2 tableaux : le premier, inondé des couleurs éclatantes de la baie et en même temps plongé dans de violettes rêveries baba-cool; le second qui nous entraine dans les Highlands, terres des fées et des landes brumeuses, ô combien envoûtantes! Pour moi, l'exercice du "peintre-auteur" est réussi ! :-D A te lire, Lotier |
senglar
22/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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bonjour Lotier,
J'ai trouvé ça très beau, très bien écrit. Soigné. J'ai tout aimé : la géographie, la lande, l'héroïne (l'hôtesse de ces vers). Je suis allé me préciser le sens du mot "yuppie(s)" ; la hippie est superbe : "Bien sûr tes cheveux sont chenus Tu n'oses plus paraître nue" Ô que les cheveux blancs siéent aux femmes-fées des hautes landes ! TB (-) parce que je n'ai pas reconnu la chanson. En tout cas merci pour ce moment d'enchantement ! brabant |
Anonyme
23/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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La nostalgie qui plane et envahit ma lecture. Beaucoup de charme dans ce texte. Je me pose juste la question de savoir si s'imposer une métrique était vraiment nécessaire. Mais comme il s'agit d'une chanson...
En tout cas si l'on n'a pas besoin de clef, ce poème en est une qui nous ouvre la porte de ces paysages et d'une rencontre avec cette femme magnifique. |
Ninjavert
29/3/2014
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L'histoire contée ici est sympathique, et quelques très beaux vers brossent un tableau de ces magnifiques paysages.
L'alternance deux vers longs / un court m'a un peu perturbé, probablement car je n'ai pas trouvé d'air adéquat pour rythmer ma lecture. En tout cas l'ensemble est hamonieux, bravo. (Pas reconnu la chanson non plus, mais je ne suis pas un grand spécialiste de son auteur) Merci ! |
Lotier
21/4/2014
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Bonjour,
Quelques mots sur le forum dédié : http://www.oniris.be/forum/a-propos-de-ressac-t18812s0.html Bien cordialement, Lotier |
Eki
2/10/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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J'ai désherbé, arraché les ronces autour de la maison bleue...
Histoire de l'élever au grand jour... Car ce poème le mérite bien...beaucoup de délicatesse, de couleurs, un désir de liberté qui trône ici. |