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leni
16/7/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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je suis un bélitre du slam C'est bien rythmé bien tonique
j'aime pas la voir partir j'aime la voir s"en aller Manque :si tu me quittes je pars avec toi Je ne comprends pas la "mélodie inspirante" Mais je suis pas la pour pinailler Ce slam tient bien la route C'est mon baptême de l'air Bravissimo l'artiste c'était très chouette Salut l'artiste LENI Edit plusieurs Amis m'ont fait remarquer que ma note était excessive J'en conviens mais j'ai voulu souligner qu'il y avait un potentiel dans cette écriture qui une fois toilettée pourrait donner un superbe Slam A suivre la balle est dans le camp de l'auteur avec lequel je suis tout près à relire son texte |
Anonyme
15/7/2015
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Bonjour Lucas
On retrouve dans ce slam tous les marqueurs de ce nouveau genre poétique. Mais il n'est nul besoin d'en être fan (du genre) pour apprécier ce texte foisonnant et bien rythmé. Merci Lucas, tu as trouvé ta voie, et bravo pour cette prestation. |
Anonyme
15/7/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour
la femme objet par excellence, et en plus un petit air de top-modèle, ticket d’entrée dans la jet set garanti, Je trouve que “gente” dénote dans 'gente féminine' par rapport au reste du vocabulaire. « Et lorsqu’elle se dévergonde, sur terre c’est la huitième merveille. » là y'a un paradoxe que j’ai du mal à goûter, pourtant j’aime les paradoxes, c’est trop gros, pourtant je ne suis pas spécialement pour finasser. Je ne vais pas aller plus loin dans les citations de ce que je ne goûte pas dans votre texte. En fait j’ai l’impression de voir un tas de superlatifs plus ou moins imagés, mais rien de surprenant, vraiment. Et puis toutes les références au « star-system » me laisse pantois (me scient les pattes en fait). Bon vous aurez deviné que je n’aime pas, mais pas du tout, surtout le fond qui a un petit air de 'les Marseillais…' émission télévisuelle en vogue quelque part…et la forme est presque du même acabit. Ce qu'il a de bien avec ce texte c'est qu'on pourrait assez facilement remplacer 'ma femme' par 'ma bagnole' , non ? C’est mon ressenti. Cordialement. C. |
Anonyme
15/7/2015
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Texte dithyrambique s'il en est, qui n'a, à aucun moment, suscité mon intérêt. Je vois la femme d'une façon beaucoup plus ... élégante.
Côté musique, l'interprétation est tout à fait dans l'esprit du genre. |
Robot
15/7/2015
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Trop, excessif. Je ne suis pas emballé. J'ai presque l'impression d'une incontinence verbale volontairement poussé vers la dérision. L'admiration manque de mesure et me gêne en ce qu'elle vire à une exagération ridicule par trop de superlatifs.
Je me demande après plusieurs lecture, notamment avec l'emploi du futur par moment si le narrateur nous parle de "sa" femme (en tant que celle qui partage sa vie) ou de "son" type de femme et là franchement, c'est trop. Pas sûr qu'une femme ne se sente pas étouffée à la foi par les qualités qu'on lui voudrait et par cet excès d'adulation. |
Pussicat
18/7/2015
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ah non, non ! ce n'est pas "L'éloge à une femme" cela... désolée !
Le slam exige une écriture pointue, sans faille, qui ne laisse place à l'approximation, à l'exagération, à la défaillance stylistique... tout doit être au carré avec un jeu de ping pong et de références que je ne lis pas ici. "Ma femme c'est la gente féminine à sa quintessence" !!! "gente féminine" ??? vous abusez ! "Elle écrase toutes les plus belles, même la Première Dame." Ben voyons ! elle a des obus comme les Canons de Navarone ? "De tous les strapontins, ma femme est dangereuse et bonne." on s'assied dessus, c'est parti pour le Paradis, c'est cela ? "Et lorsqu'elle se dévergonde, sur terre c'est la huitième merveille." Je m'arrête là... le tout est à l'avenant... Un dernier, pour la route : "Ma femme est des bottes de pompier, enroulées dans du kevlar Derrière elle comme si elle le voulait, j'lui chuchot'rai ''qui v'là ?'" J'éteints les lumières de la caserne et vous vous retrouvez seul avec... J'attends mieux d'un slam, des inventions, un rythme, un souffle, un flow... mais ce n'est pas donné à tout le monde. à travailler... à bientôt de vous lire, EDITION : oui je reviens sur le banc prendre une petite leçon d'un auteur qui joue peut-être au mauvais garçon quand vous écrivez avec ce flow inimitable : "Ma femme est d'Europe, des States ou d'Papouasie, Peu importe : elle sera l'exemple type de la jalousie." de quelle "jalousie" parlez-vous dans ce vers en miroir de celle qu'éprouveront les autres filles en la regardant ou de celle des mecs qui s'diront : pourquoi c'est pas ma meuf ? ou de la votre de la voir se faire regarder sans cesse, avec envie, Henri, Bobby et toute la bande de Tintigny ? ça c'est une question, la jalousie dans le couple... |
Vincent
16/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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quoiqu'il en soit
je serais très heureux d'avoir autant de succès il est vrai que vous devez avoir un public beaucoup plus jeune que nous et que l'appréciation d'Oniris ne changera pas votre carrière je salue votre fougue et votre jeunesse |
Anonyme
17/7/2015
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Commentaire modéré
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funambule
17/7/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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J'aime l'intention... et ça s'arrête là ! Ne voyez aucune barrière générationnelle, face à ce panégyrique sans aucune finesse, ce flux d'assonances à dessein et "idéalisant", je ne me sens simplement pas embarqué. Je ne conseillerais pas "moins de mots" (puisqu'il s'agit d'un slam) mais une salutaire épure qui suggèrerais plus et permettrait au lecteur quidam le minimum d’identification attendu pour le genre. Cependant, la richesse du texte me semble être un promesse à tenir pour l'avenir.
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Anonyme
13/1/2016
a aimé ce texte
Pas
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Un texte qui pêche par son excès de mots, c'est dommage car il y a une intention très louable, c'est sans doute le caractère exceptionnel de cette femme, qui a fait éclater cette profusion de mots.
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