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Proseuse
20/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour!
Comment vous dire ? Dès qu' un dieu apparait dans un poème, je ne peux m' empêcher de lire le texte comme une légende ! Je crois, que j' ai la foi d' un enfant qui un jour a cru au père noël ! Alors, votre texte en appelle souvent à ces dieux et du coup j' ai du mal à le lire .. religieusement parlant ! Le poème est tout à fait bien composé à mon goût et j' en aime sa forme et puis, ... j' ai écouté l' histoire ! Merci pour ce partage |
Anonyme
9/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Je n'ai pas tout compris mais cela m'a plu, finalement. Je pense que ce texte fait référence à la mythologie grecque et ses différents dieux. Cette "âme d'en bas" - pour reprendre vos propres termes - est celle d'un homme ("Ou l'homme eût si mal", sic dans le texte). Bien à vous, Wall-E |
Anonyme
20/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je crois comprendre que les dieux racontent l'histoire de ce simple humain qui a osé défier la mort " Qui arrêta la faux d’une seule main La fureur délivrée de la dame " ; " Prit le cœur par la main, simple geste
Puis s’en fut en riant des lambeaux et des restes." Métaphore de l'âme qui abandonne le corps ? " Puis lassés s’en allaient laissant place à la Dame " Symbolisent-ils le destin qui joue avec les humains ? Puis arrive un jour la Dame à la faux et fait son ouvrage. C'est ma façon de percevoir ce texte. |
Ora
20/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé le rythme de votre poème, son esprit, sa cadence, son thème aussi et ces "dieux qui content tout bas…". Je le trouve très réussi! Merci |
MissNeko
21/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Votre poème est agréable à lire. La répétition de "les dieux quelquefois" donne un rythme agreable. J y ai lu un humain qui défié la mort. Merci Pour ce partage |
leni
21/10/2016
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j'ai un peu de difficultés à comprendreDevant l'homme dont l'amour
prit le coeur par la main.....puiss'en fut...eT là mon interprétation s'arrète Légende ou histoire grotesque je suivrai les con MERCI à VOUS Et salut cordial LENI |
Marite
21/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Séduite par le rythme et les mots de ce poème, surtout les premiers de tous les quatrains " Les dieux quelquefois ... Les dieux autrefois ..." sauf l'avant dernier qui me laisse très perplexe au niveau de la compréhension du fond :
" Mais l’éther prit corps, se fit masse puis bloc, lentement se figea Quand la courbe cruelle se leva par trois fois, Et qu’après la seconde l’instrument se brisa, Les dieux, dit-on, se signèrent ce jour-là." "la courbe cruelle" : la faux je pense mais elle se brise la seconde fois qu'elle se lève ... cela laisse-t-il supposer que la mort a été vaincue et donc n'existait plus ? Pourquoi les dieux se signèrent-ils ce jour là ? Enfin ce sont les questions que je me pose car je ne trouve en ma mémoire aucune référence à une quelconque légende déjà lue. J'aimerais beaucoup savoir ... par curiosité. |
Anonyme
22/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'aime le rythme, la cadence. Sans regard religieux pour moi les dieux et les destins se tiennent la main.
Merci de ce partage. |