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Johannes
20/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai fort apprécié la lecture de cette poésie au style soigné qui développe de belles idées, telles que : "La pluie aux fins pinceaux dessine l'aquarelle / Du spleen", ou le second tercet.
Je vous remercie pour ce partage. |
David
21/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Alors j'ai adoré, à la limite du fétichisme pour ces diérèse à miaulement et insomniaque, dont le simple accouplement dans un même poème est en soi une trouvaille aussi heureuse qu'une bonne rime alliant le son au sens avec brio. Un "miaulement insomniaque" peut d'ailleurs résumer parfaitement le poème. J'aime aussi l'exergue du spleen, fin d'une phrase mais début d'un vers. Cette première strophe est étrange, et heureuse au final, par ces enjambements "audacieux" ou "brutaux", j'ai un peu oublié ma première impression, mais en tout les cas le reste du poème sera bien plus sage en comparaison, mais pas moins riche puisque pour moi il dévoilera un poème très délicat. Il est même épique par certains côtés (bon épique et délicat, c'est un couple improbable... ) par ces personnages : le bec de gaz, les deux chats, le remorqueur, la lune. Le dernier tercet me rappelle le célèbre vers d'Hugo "L’œil était dans la tombe... " qu'il semble illustrer et renouveler, toujours dans une métaphore de la conscience, plutôt ici dans un regard contemplatif qui se rendrait compte soudain que c'est lui-même qui est regardé. Bravo ! |
Proseuse
25/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poème très agréable à lire et relire !
Et sous l' oeil écarquillé de le lune toute la mélancolie de vos mots font un très beau croquis ! merci beaucoup pour ce partage |
Annick
26/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Un très joli tableau où chaque phrase ciselée est comme un coup de pinceau sur la toile.
On regarde, on écoute le croquis avec délectation. Voilà un poème comme je les aime ! |
papipoete
1/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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néo-classique
La nuit tranquillement, passe sur la ville, efface de ses pinceaux de pluie, la marelle tracée à la craie . Sur le fleuve, un remorqueur remonte le courant, qu'éclaire la lune insomniaque derrière le bandeau d'un nuage qui fuit . NB on ressent ces moments choisis, que l'on regarde à travers un kaléidoscope au ralenti |
Anonyme
2/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Oui, je trouve que les alexandrins coulent bien, naturellement, dessinent leur tableau avec assurance et délicatesse. J'ai un doute sur la rime "pâle"/"opale", bien qu'on la trouve chez Baudelaire.
Quelques belles expressions, pour moi : le sommeil de ciment, le paradis crayeux de la marelle qui s'efface sous la pluie, le remorqueur trapu. Quelques facilités, aussi : les fins pinceaux de la pluie, la lueur blafarde, les griffes dehors des chats et leurs longs miaulements, le fleuve enveloppé de brume, le silence noir et profond de la nuit... C'est l'écueil de composer des vers sur un sujet tant et tant rebattu, il est difficile d'éviter au lecteur l'impression de déjà mille fois lu. Vous n'y parvenez pas toujours, selon moi. |
Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Oui, Verlaine est bien présent dans ce sonnet. Toujours de très belles images chez l'auteur : Le premier quatrain est de toute beauté avec cette marelle qui s'efface sous les pinceaux de la pluie. Le second quatrain me semble plus convenu. Idem pour les tercets, j'aime bien le premier mais le second en nous rapportant la lune ne fait plus oeuvre d'imagination même si c'est joliment écrit. Finalement, un beau sonnet classique bien que l'auteur n'atteigne pas le niveau de ses deux dernièrs textes proposés. EDIT : je vois que le poème a été déclassé, c'est exact que pâle et opale ne riment pas en classique. Du même genre que âme et flamme. Pour les pluriels, je crois qu'ils sont maintenant acceptés du genre sonnets baudelèriens. |
Vincendix
14/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un sonnet bien construit et plaisant à lire, seulement je découvre une nuit ordinaire et d’un autre âge avec ses chats, ses becs de gaz et sa lune. Une nuit qu’une marelle et un remorqueur plaintif tentent de sublimer mais ce n’est pas suffisant.
Je sais qu’un sonnet ne peut « en faire un plat » sauf avec un angle original, mais une certaine platitude émane du vôtre. |
MissNeko
14/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Vraiment très beau sonnet ! Les images sont belles et délicates. La plume magnifique. Bravo !
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Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour luciole ! Un croquis nocturne finement ciselé avec quelques très belles images comme...
Le paradis crayeux d’une marelle Sur le trottoir mouillé s’efface doucement. J'ai vraiment apprécié cette lecture matinale à laquelle, si vous permettez, je mettrai un bémol concernant les rimes pâle/opale et le passage singulier/pluriel des rimes en "ent" dans les quatrains. C'est vrai que Baudelaire emploie ces deux artifices dans Tristesses de la lune. Disons que c'est du classique irrégulier. Si les correcteurs l'ont admis je ne puis que les suivre d'autant que, si ça remet éventuellement en cause la catégorie, ça n'enlève rien à la qualité de ce poème. Bravo et merci pour cette balade/ballade nocturne. |
leni
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sonnet remarquablement écrit et fignolé en belles sonorités Tout coule de source à la lecture
Voici mon passage préféré Quelquefois, sur le fleuve enveloppé de brume, Un remorqueur trapu jette un cri d’amertume Dans le silence noir et profond de la nuit Merci pour ce joli moment!! Salut cordial LENI |
Cristale
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour un sonnet publié en classique, je relève deux grosses erreurs de prosodie :
Les rimes "pâle" et "opale" dont le "a" n'a pas le même son. Les rimes masculines au singulier du premier quatrain se retrouvent au pluriel dans le deuxième quatrain. Deux fautes pour un sonnet classique, qu'il soit régulier ou irrégulier, chaque rime doit être du même genre que les rimes qui lui font écho et chaque rime doit produire le même son que celles qui lui font écho. Je n'irai pas plus loin dans mon commentaire pour l'instant et c'est dommage. Le problème de catégorie étant réglé, je relève l'accord des rimes "pâle-opale", bien que je ne me l'accorde pas à moi-même, mais c'est mon problème, et je peux maintenant émettre un avis sur ce sonnet, un peu monotone, mais vu que nous sommes en automne, le tableau décrit s'accorde bien au paysage. Je ne comprends pas trop "le paradis" dans l'évocation d'une marelle dessinée à la craie mais bon, la poésie permet bien des choses et je trouve ce premier quatrain fortement bien imagé. Les deux vers décrivant la scène des chats est craquante ! La personnification des objets est particulière tel le bec de gaz qui grelotte parce qu'il est frileux, le remorqueur trapu qui jette un cri, c'est un peu poussé mais c'est surtout donner du mouvement à l'écriture en employant une figure de style originale. Le tableau semble animé dans toutes les nuances de ...gris (tiens, ça me dit quelque chose) Le sixième vers est marquant de réalisme, il me plaît beaucoup : "Diffuse une lueur blafarde qui chancelle" dont je retiens : "une lueur blafarde chancelle" pour la poésie. Ah si l'on pouvait éradiquer tous les "que" "qui" "comme" "car" "quand", j'en serais la première satisfaite, surtout dans un sonnet où il est parfois, souvent, impossible de s'en passer. L'alternance des noms-verbes-adjectifs etc...si complexe à appliquer à la rime n'est pas très probante, en néo-classique c’est correct mais c'est dommage de faire l'impasse, j'avoue ne pas toujours réussir, malgré tout l'exercice est intéressant. Je regrette de trouver quelques expressions d'une grande banalité : " le fleuve enveloppé de brume," " le silence noir et profond de la nuit" "tons nacrés d’opale." On ne peut pas perpétuellement innover n'est-ce pas ? Pour moi, les quatrains sont plus forts en images, en rythme, que les tercets. Mais je sais le travail qu'un tel écrit représente alors je ne vais pas chipoter plus longtemps. Je trouve ce poème agréable à lire, je ressens l'investissement de l'auteur dans son écriture, pour tout cela je le félicite. Cristale |
plumette
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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je trouve votre croquis réussi.
parce que l'agencement des mots suscite aussitôt des images. une brume délicate recouvre ce joli tableau, cette brume qui " floute" ( que ce mot est vilain!) les images du passé. En lisant les commentaires, je me suis aperçue de "l'exigence" de la poésie classique, dont vous n'êtes pas dupe avec ce clin d'oeil à Verlaine dont vous reprenez la rime pâle/opale! il n'empêche, voici un bien joli sonnet. Plumette |
Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Ce très subtil sonnet demande une autre classification. -Paradis/crayeux- et -Diffuse une lueur blafarde qui chancelle- puis -fleuve/enveloppé enfin le second adjectif -profond- vers XI.: Séparer par l'émistiche le subtantif de son adjectif est prohibé. Bien sûr pâle et opale peuvent rimer, singulier et pluriel aussi du moment que la classification est rectifiée. Tout cela n'ôte rien à votre plume, très fine, que j'ai apprécié. |
Pouet
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bjr,
Vraiment bien aimé l'atmosphère qui se dégage de ce poème. Je ne parlerais pas de la prosodie n'étant pas qualifié pour le faire, seulement de mon impression, et j'ai aimé lire, surtout le premier quatrain, vraiment sympa et bien écrit. Si je devais parler des "moins", "Un bec de gaz frileux, pris de grelottements" fait un peu heurté, n'est pas très mélodieux et le "silence noir et profond de la nuit" ou la "lune pâle" font un peu ressassés par exemple mais qui n'écrit jamais de banalités? Pas moi en tout cas (les "trottoirs édentés" en étant l'illustration parfaite...) Sincèrement, un poème que j'ai lu avec plaisir. Un réussite pour ce qui me concerne. |
Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Qu'il est agréable à 'regarder' ce " croquis nocturne ". Plus qu'une poésie, un tabeau expressif.
De fort belles images enluminent ce texte. |
Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Luciole
Toujours ces tableaux quelque peu mélancoliques qui ne sont point pour me déplaire. Le premier vers m’intrigue un peu : dormir son sommeil, « dormir d’un sommeil « me semblerait plus convenu pour le qualifier. Plus haut, je lis des règles que je ne partage pas. Le rejet interdit dans un sonnet pour les puristes me plaît beaucoup. Rimbaud avait bousculé ce principe, et vous avez fait de même. Ensuite, le nom et son adjectif à la césure sont suivis d’un complément, idem pour le fleuve enveloppé de brume. J’aurais écrit de même sans hésiter, rappelons Victor Hugo « Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées ». Lueur blafarde et la lune insomniaque et pâle sont un peu plus contestables en classique. Les diérèses amplifient joliment l’atmosphère de ce sommeil Je vois votre sonnet comme une belle toile néo-classique, ce qui n’enlève rien à son charme d’autant plus que les règles sont tellement contestables sur certains points. Ceci a été démontré maintes par des profs de lettres classiques. Quand la peinture et la musique vont de concert, j’oublie le reste. Bravo ! |
Anonyme
14/10/2016
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Je pense que j'aurais pu mieux apprécier ce poème en une autre époque, mais habitant celle-ci, je dois bien dire que je me lasse de ces poèmes où tout est personnifié. Là, c'est beaucoup trop pour moi ! Il me semble que toute figure de style devrait servir une focalisation, un point de vue, ou un effet singulier ; et là, je ne sais pas. Hugo m'agace avec ses arbres qui chuchotent toujours au brin d'herbe frissonnant, et ce croquis nocturne fait un petit peu la même chose.
La pluie peintre, pourquoi pas, je ne sais trop, mais « La pluie aux fins pinceaux » me semble une image tout à fait fausse ! et « l'aquarelle / Du spleen » me déplaît parfaitement. C'est une histoire de préjugés, forcément, mais il s'agit soit de se servir des lieux communs, soit de les déconstruire, pas de les ignorer pour ignorer. Le spleen me paraît plutôt frère de la peinture à l'huile, grave et longue, que de l'aquarelle peinte « aux fins pinceaux ». Évidemment, le croquis est talentueux et porte ses effets, mais je trouve qu'il manque de contrastes, parce que tout fait silhouette sur tout, et je trouve que ce poème ne parvient pas à la modernité dont je crois voir la recherche. |
Marite
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce croquis nocturne m'a séduite. A chaque vers arrive une image qui ajoute un détail supplémentaire et ce, jusqu'au dernier vers
- le ciment de la ville ... - les fins pinceaux de la pluie ... - le dessin à la craie de la marelle ... - le trottoir mouillé ... - le bec de gaz frileux ... ... etc Impossible de choisir un vers ou une strophe qui me plaît le mieux car ils m'apparaissent indissociables et en harmonie. Le résultat final me laisse contemplative ... Je regrette mes lacunes en esquisse ou dessin car ces mots simples et choisis doivent guider l'imagination du peintre. |
Anonyme
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli sonnet avec une atmosphère bien rendue.
Bon évidemment nous sommes ici transportés à une autre époque, peut-être fin 19e et généralement les alexandrins qui sentent la naphtaline m'ennuient profondément mais vous, vous savez rendre vos vers intéressants avec de belles images comme ce "sommeil de ciment", ce "paradis crayeux d'une marelle", le sabbat des deux chats ou encore ce "remorqueur trapu". On ne ressent par ailleurs jamais la rime forcée. J'aime donc ce "clin d’œil à Verlaine", comme vous le mentionnez en incipit. Je pense d'ailleurs que vous faites plus ou moins référence à son Croquis parisien. |
Vincente
14/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Luciole,
Quelle délicatesse ! Elle irrigue vos vers. J'ai beaucoup apprécié votre façon de dire ces images, votre façon de colorer ce qui se présente à vous, de faire transparaître votre réalité. Je parle là d'émotion, mais ce n'est pas parce que la forme doit être oubliée, elle a su vraisemblablement être efficace (l'adjectif est un peu prosaïque, un peu en décalage pour tout dire par rapport à l'état d'esprit dans lequel je me trouve...). Merci pour ce beau tableau. |
jfmoods
14/10/2016
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Voici un sonnet à rimes embrassées, suivies et croisées, suffisantes ou riches, majoritairement féminines. C'est le glissement assonantique de la rime (vers 12 et 14) qui illustre peut-être le plus explicitement le "clin d'oeil à Verlaine" de l'entête. Le rejet du vers 3 suscite un effet d'attente bienvenu. Un jeu subtil de couleurs baigne une évocation conçue comme la toile d'un peintre. La dernière phrase, étirée sur les deux tercets, jouant sur l'opposition et la complémentarité entre le bas et le haut, entre l'ouïe et la vue, présente un caractère assez virtuose. L'allitération en "s", sans être trop marquée (19 occurrences), habille agréablement le poème.
Merci pour ce partage ! |
mina
17/10/2016
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J' ai beaucoup aime le côté très visuel du poème avec de belles trouvailles, certes le croquis mqnque un peu e modernité mais de ce fait il renvoie à des images qui peuvent nous sembler familières et il en émane une certaine mélancolie .
Bravo et merci ! |
archibald
20/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Le dernier tercet de Baudelaire, le bec de gaz et les chats qui miaulent de Verlaine… Le paradis de la marelle qui s’estompe en aquarelle, c’est très joli. Une culture évidente, de la sensibilité et une technique patiemment élaborée. Avec ce bagage, pourquoi ne pas tenter de dépasser le XIXème siècle ? La forme fixe au service d’une écriture plus novatrice ?
Je ne me sens pas très à l’aise avec ces évaluations ; je me fais l’effet d’un professeur. Cette flèche vers le bas signifie que j’attends de ta plume ce que je recherche sur Oniris. Allez Luciole, je compte sur toi pour le deuxième trimestre. |
Akos
21/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour, j'ai bien apprécié cette poésie. L'ambiance froide que m'a donné était un vrai plaisir pour moi.
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Anonyme
21/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce poème, dans sa formulation et dans son inspiration, ne trahit pas l'esprit de Verlaine. Du bec de gaz frileux à la brume, le décor est bien là.
La lune insomniaque... Que c'est joli ! |
Anonyme
7/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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C'est une belle poésie, au niveau des bons points je crois que tout a été dit et je la trouve moi-même très agréable.
Un petit point négatif pour moi: le "Cependant que" tranche de manière trop sèche avec le reste qui lui coule aussi simplement que la pluie des mots. |