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Miguel
24/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un tableau de maître. Cette image de la grandeur passée, cette leçon d'avenir pour chacun de nous se dresse haute en couleurs et en traits acérés. Une intertextualité comme une sorte de "private joke" avec les admirateurs de sir Conan Doyle. Avec ça, un sonnet parfait ; on se régale.
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Queribus
25/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup le travail affiné de ce poème avec ce sonnet qui atteint quasi la perfection. J'ai cependant noté quelques sixièmes syllabes qui riment entre elles, ce qui est à éviter même si ça ne constitue pas une véritable faute:
-Le bon Sherlock, coiffé, -D'un doigt long et ridé -Torche sans rechigner, -Plus loyal que jamais ou de sixième syllabe qui rime avec le douzième: -Le bon Sherlock, coiffé du deerstalker mité Ces petits détails corrigés, le poème pourrait atteindre la perfection, à mon humble avis bien entendu. |
Anonyme
27/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un sonnet dont le propos est maîtrisé de bout en bout. Cette peinture pathétique et inattendue du détective le plus célèbre du monde, ne manque pas de sel. Elle amuse le lecteur. La fin tombe juste. Quand c'est bien fait, inutile d'en faire des tartines : on goûte la chose et puis c'est tout. A. |
Michel64
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un sonnet dans les règles de l'art (il me semble) plein d'humour (y compris le titre). Il y a aussi ce côté "grandeur et décadence" qui fait moins rire finalement.
Dans ce vers "S’est en vieux colporteur de bibles déguisé" ne faudrait t'il pas deux virgules après "S'est" et après "bibles" ? Un texte sympa, une petite friandise. Merci pour le partage |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour luciole...Merci à cette "chère loque" et surtout à son créateur de m'avoir fait sourire de si bonne heure.
Un exemple de plus, si besoin était, que la forme classique n'est pas obligatoirement emphatique et compassée... Bravo pour la forme, le fond et l'humour qui l'accompagne ! |
papipoete
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour luciole,
Grandeur et décadence est la même destinée pour qui est né, roi ou manant ! Tôt ou tard, le dernier montera sur le trône par habitude, quand le premier y restera attendant qu'un valet, de son noble derrière s'occupe ... NB la fidélité n'est pas un vain mot dans ce tableau où le serviteur collaborateur sera toujours là pour servir son maître, jusque dans les plus " sales " besognes . le second quatrain de ce tableau est savoureux avec " ce vil malfaiteur déguisé en colporteur de bibles " qui parvient à voler le grand Sherlock devenu avec le grand âge " chère loque " ! |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comme quoi la vieillesse fait fi de la gloire ou la notoriété passées.
" Pauvre birbe, les jours heureux de sa splendeur Sont bien loin ! À présent, apathique et boudeur, Il bave et fait sous lui, grommelle et soliloque… " En plus de l'humour, beaucoup de finesse dans ce sonnet. |
plumette
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Luciole
le contraste entre le sujet et sa forme est un des charmes de ce poème. Une forme contraignante mais dont vous vous sortez à merveille, les images sont précises et sonnent très justes. De la dérision, une description du grand âge mise à distance grâce à l'évocation de cette figure de fiction. Bravo! |
JMCO
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
En décadence, "feu qui toussote, deerstalker mité" et même les "dé_limiers". Belles images des rimes en "loque" Merci |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Apprécier ce sonnet dans les règles de l'Art, n'est pas à ma hauteur, of course ! Par contre l'humour et la finesse ne m'échappent pas.
Un bon moment passé en compagnie d'un Watson toujours dévoué "plus loyal que jamais envers sa chère loque" Truculent. Voilà le mot qui convient ici Merci Luciole Cat |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sonnet amusant et (très) bien écrit... On visualise le célèbre détective, et son état de délabrement avancé...
Merci pour ce partage ! |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Pas
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Matson dans le titre et Watson dans le poème (voir le dernier tercet), c'est à n'y rien comprendre, ma chère luciole ! Je n'ai point aimé le "deerstalker", et voir ce pauvre vieux sherlock dans cet état pour le moins larvaire a heurté ma sensibilité. J'ose espérer qu'il ait gardé tout son cerveau. Pour tout dire, je n'ai pas vraiment aimé, car je pense que le format du sonnet ne se prête pas au propos évoqué, voire même à l'évocation du propos.
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archibald
14/4/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un poème qui n’est pas sans rappeler le fameux sonnet de Maurice Scève : “Ma vessie pour une lanterne”, dans lequel le grand poète de la Pléiade décrit les problèmes de cystite de Miss Marple. Mais ici, l’auteur a su apporter une tonalité moderne, notamment par l’usage du calembour et du contrepet. Le propos scatologique est mis à distance par l'élégance de l’écrin du classicisme le plus pur. Il fallait la sensibilité d’une plume féminine pour réaliser une telle gageure.
Ça c’est de la poésie ! |
jfmoods
14/4/2017
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Ce sonnet grinçant, en alexandrins, est à rimes suffisantes et riches, embrassées et suivies, majoritairement masculines.
Un jeu antithétique ("Le bon Sherlock" / "Le vil Moriarty") dénonce une visée morale caricaturale véhiculée par le roman policier. L'aspect figé du récit est renforcé par le détournement ironique du titre ("Et les waters... mon cher Matson"), par les attributs incontournables du héros ("deerstalker", "pipe en terre au fourneau culotté") et par la présence de son inoxydable adjuvant ("le docteur Watson, homme de dévouement", comparatif de supériorité : "plus loyal que jamais"). Une périphrase laudative ("l'as des limiers") cache mal la décrépitude générale et avancée du personnage central du récit (participes passés : "mité", "ridé", subordonnée relative : "qu'agite la tremblote", groupes nominaux et noms : "ses trois dents", "birbe", "loque", rejet : "les jours heureux de sa splendeur / Sont bien loin", adjectifs qualificatifs dépréciatifs : "apathique et boudeur", accumulation passablement dévalorisante : "Il bave et fait sous lui, grommelle et soliloque"). L'aspect crépusculaire de la description gagne le décor lui-même (personnification : "le feu de bûches qui toussote"). Le poète renforce encore le caractère sarcastique, provocateur, du propos par le recours à une tonalité burlesque (complément circonstanciel de but soulignant l'infantilisme du comportement : "Pour lui voler son plaid, ses pulls et sa bouillotte", effet de décalage entre trivial et sérieux : "Torche sans rechigner le noble fondement"). Merci pour ce partage ! |
Anonyme
14/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore !
Remarque (juste pour le plaisir de pinailler) : on ne culotte pas une pipe en terre et selon toute vraisemblance Sherlock usait d'une pipe de bruyère qui elle se culotte obligatoirement pour permettre au bois de résister aux variations de chaleur ce qui n'est pas nécessaire dans le cas d'une pipe en terre (argile) Voilà un argument littéraire de haute tenue comme on peut le constater ;-) |
Vincendix
15/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Si j’avais lu ce sonnet en EL j’aurais subodoré que l’auteur était Alexandre, notre spécialiste du genre, dans la forme et pour un tel sujet ! Peut-être aurait-il encore mieux fait, c’est possible, mais ce texte est une réussite.
Le seul bémol pour moi c’est le ton moqueur et irrespectueux employé pour évoquer une imaginaire déchéance de ce célèbre Sherlock Holmes, les « héros » ne meurent jamais ! |
Arielle
15/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un vrai bonheur ce sonnet italien qui allie une forme parfaite (pour ce que je suis capable d'en juger) à une malicieuse mise en scène qui m'a réjouie de bout en bout.
Si "la vieillesse est un naufrage" comme disait Charles, il n'est pas interdit d'en rire. Dédramatiser la chose par une forme d'autodérision (puisque nous sommes tous appelés à la vivre dans le meilleur ou le pire des cas) voilà une oeuvre d'utilité publique ;-) |
troupi
15/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un sonnet très agréable où l'humour côtoie l'image désespérante du futur même des plus illustres personnages.
Aucune pitié pour le passé flamboyant. Très drôle dans l'écriture mais en même temps inquiétant par la réflexion suscitée. Le feu de buches ainsi que le chapeau ont aussi subi les outrages du temps. Nul n'en réchappera. Quelle aventure ! |
David
15/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Luciole,
Le titre partait sur une galéjade mais le poème n'est pas du tout au rabais. Je l'ai trouvé beau, équilibré, chantant, et même dans sa composition au plus près du propos qui se dévoile : le jeu de rimes est contrasté, elles sont plus délicates au début et plus convenus à la fin, comme ces vers qui vont de l'illustre personnage à la laborieuse réalité de son quotidien. "Moriarty" dans sa synérèse prend toute son ampleur contre le jeu de mot d'une "chère loque", c'est un jeu du changement de paradigme, la statue qu'on déboulonne, sans fureur, pour révéler un œil de poète toujours naïf mais jamais complaisant ! |
luciole
15/4/2017
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Bonjour. Je vous répondrai dans quelques jours
Je suis sans internet. Une chose est sûre : vos commentaires me ravissent : je suis vraiment contente. It's tea time for now. |
Proseuse
17/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Luciole,
Ha! comment vous cassez la baraque du héros !!! :-) Bon, je ne vous en veux pas parce que c' est quand même joliment fait ! mais c' est vrai que "les héros" on les imagine toujours éternels et jamais ni décadents, ni vieillissants ... comme les poètes d' ailleurs non ? :-) Merci pour ce partage plein d' humour |
Donaldo75
22/4/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Luciole,
J'ai bien aimé ce poème, de par sa forme de sonnet et aussi par le jeu des adjectifs qui rendent la scène hilarante. Revisiter le mythe de Sherlock Holmes de cette façon n'est pas sans me rappeler ce que John Huston et d'autres réalisateurs avaient fait de celui de James Bond dans le film "Casino Royale". Les jeux de mots, en particulier le dernier, sont dans la même veine, celle du burlesque. C'est un joli tour de force. Bravo ! Donaldo |
JeanMarc
8/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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une poésie pleine d'humour avec un titre qui sonne très bien...
L'humour mêlé à la poésie donne une note très positive à ce texte un grand bravo |
Anonyme
28/5/2017
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Premier vers incorrect à changer par :
Assis devant le feu/ dont la bûche toussote, par exemple. S’est en vieux colporteur de bibles déguisé : incorrect Les jours / heureux... incorrect aussi. La fable est acide jusqu'à l'irrespect. Humour, sans doute. Les vieillards apprécieront. Le style est celui de quelqu'un d'appliqué (on sent l'effort), mais un tour sur le site de Poésie "Les Draps Froissés", vous aiderait dans votre travail. |
Terri_Peirton
7/8/2017
a aimé ce texte
Bien
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c'est au fon des vielles marmites que se cache la dure réalité !
j'ai ri de bonne humeur en lisant ce texte (très ) original. on s'interroge sur les mobiles, mais en même temps la poésie n'a pas de compte à rendre... sympa |
virgo34
10/6/2018
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Modéré: commentaire trop peu argumenté
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