|
|
Jemabi
14/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
La mort, la vie, la vie, la mort, c'est du cycle de la vie toujours recommencé dont il est question ici, sans emphase, avec des mots simples et néanmoins évocateurs, des images dans lesquelles chacun peut reconnaître son propre ressenti, cette expérience commune à tout être humain. Et comme s'enchaînent le jour et la nuit, espoir et désespoir alternent en permanence et rythment nos vies.
|
jeanphi
17/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
|
Bonjour,
Il me semble que vous parlez de la non assistance à personne en danger, de la passivité des témoins en lieu public, et de l'impunité des entraves commises à l'encontre des plus faibles. Je ne peux dire si je parvins à cette interprétation sans un récent fait divers à la une des médias concernant un SDF froidement étouffé par un militaire en dehors de ses fonctions dans le métro New-Yorkais. Cela est effectivement très grave. Il faudrait pouvoir enseigner aux gens à se défaire de l'effet de masse, tout du moins en de telles circonstances. Mais comment ? L'écriture me paraît un peu hachée. Le sens de ce poème ne parvient pas aussi clairement au lecteure que semble l'avoir voulu son auteur. Qui est ce "il" dans le vers "il n'a pu triompher" ? Je peux m'en faire une idée, mais grammaticalement, votre sujet se rapporte à linceul, ou à dueil. Ce poème gagnerait à être clarifié. La première strophe est très bien, il faut le souligner. Mais l'info se perd ensuite, cela peut-être dû à des vers et des phrases trop écourtés. Si j'étais vous, j'essayerais de coupler chaque vers et de retirer les points, pour remodeler la forme en prenant garde à ce que chaque parties soient explicites comme l'est la première, et remettre une ponctuation ensuite. |
Donaldo75
18/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Il y a dans ce poème une forme d'efficacité narrative, un peu comme un carrousel de photographies prises sur le vif. Ce qui est difficile dans ce genre, c'est de conserver un effet poétique, de ne pas tomber dans le narratif laconique ou trop minimaliste. Ici, la tonalité hausse l'effet poétique par des images envoyées sans chichis à la face du lecteur. Et c'est là que réside la force de cette poésie.
|
Cyrill
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour,
J’aime bien le côté abrupt de ce poème, qui prend à la gorge. La symétrie des vers est raccord avec la tonalité très sombre, le sentiment d’irrémédiable. J’apprécie aussi que vous restiez dans le flou. On ne saura pas de qui le sang s’est écoulé, ni pourquoi "peu ont cru" et à quoi mais peu importe. Le mal triomphe un jour, le lendemain est vaincu. Certes un peu manichéen mais ces vers semblent avoir été écrits dans l’émotion du moment, qui n’est pas le temps de la nuance. Une lecture bien sympathique, quoique principalement plombante ! |
Boutet
25/1/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
|
Une nuit sans espoir,
Le mal a triomphé. Quelques jours dans le noir, Mais un matin renaît. Une lumière éclatante, Un ange qui apparaît. Comme un coq qui chante, Vous êtes pardonnés. Après la vie la mort , après la mort la vie la lumière parait-il pour tous même pour ceux qui mériteraient l'enfer si tant est qu'on y croit a l 'enfer. J 'aime la force de cette poésie ,les mots et les vers courts en donnent une lecture haletante qui convient au thème exposé d une puissance qui me plait bien Boutet |
Marite
25/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
|
Si la première strophe a évoqué pour moi le cercueil et un deuil quelconque, la seconde et la troisième m'ont fait penser immédiatement à l'ensevelissement du Christ dans le tombeau scellé par une pierre, le désespoir de ses disciples et proches puis, au petit matin suivant, à la résurrection telle qu'elle est contée. Cette perception est sans doute le résultat de l'enseignement religieux suivi pendant mes jeunes années.
L'écriture est minimaliste, sans profonde émotion, un simple constat permettant de rester dans le "flou" ... |
papipoete
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
bonjour lucky
24 vers ici posés ; il n'en faudrait pas davantage, pour évoquer sans lasser, ce cycle de la vie que l'on voudrait sien. Naître, vivre et mourir au " bon âge " quand il est l'heure... non point enfant ni dans la " fleur de l'âge " Mais ici, l'histoire d'un condamné à mort, trahi par son meilleur ami ( un certain Judas ) mourir, et ne laisser de trace de lui qu'un linceul, et par le prix de sa mort, pardonner aux hommes, leurs péchés... NB peut-être m'égarai-je en écrivant le fruit de ma réflexion ? Mais c'est que vos vers m'inspirent. Je vois Jésus Christ passer de vie à trépas, mais ce supplicié put être un Jean Moulin, une Kalinka Bamberski... J'apprécie particulièrement la seconde strophe Le 3e vers avec son " quelques coups " me trouble, mais me fais-je une impure idée ? |
Edgard
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Je n'ai pu m'empêcher, arrivant au bout de votre poème, de penser à l'histoire du petit "Juju"...violence, crucifixion, douleur, renaissance. Mais l'histoire peut être celle de beaucoup d'autres, morts injustement et réhabilités par l'histoire.
J'aime bien cette confusion... L'écriture est forte. |
Gaston
6/6/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
À la vue du titre, je m'attendais à un poème niais, car franchement le thème de l'espoir est très basique et a été maintes fois revisité.
Quelle surprise lors de la lecture ! Je l'ai relu 2 fois,3 fois même tellement c'est agréable de lire un texte sur la passion et la résurrection de notre Seigneur. Ce texte est bouffi d'euphémismes, mais en même temps les descriptions sont plutôt exact. Bravo monsieur, cela ce voit que vous avez écrit avec votre cœur. |
lucky63
9/11/2023
|
Merci à tous pour vos commentaires. Avec beaucoup de retard, j'en suis désolé. Ce texte m'est précieux, qui parle de ma foi, je suis heureux que certains aient pu s'y retrouver et tout aussi heureux que cela parle autrement à d'autres.
|