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Anonyme
14/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des ingrédients simples, la pluie, des pierres, de l'eau, des nuages, le temps qui passe (et 'nous surprend') et cela marche. J'aime beaucoup l'espèce de flottement que procure votre poème, ses douces ruptures.
'Où tu m'as rejointe' a heurté mon oreille. Merci à vous. |
Anonyme
18/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème agréable à lire.
Il y a dans ce texte de jolies trouvailles: "Comme l’horloge de la terre nous surprend Je sais que nos aveux dissèquent le temps" je trouve ces vers très beaux, légers et évocateurs. D'autres prties sont moins fluides, moins jolies aussi: "Livrés à nous-mêmes Je ne tergiverse plus Et t'emporte dans mon havre de sève" c'est lourd je trouve, et pas très évocateur pour moi. Dans l'ensemble je suis sensible à ce poème qui me semble parler d'amour, d'une rencontre amoureuse peut-être, dans des îles que je situe (sans raisons) en Bretagne. |
Robot
2/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte agréable, sans fioriture, c'est justement cette apparente simplicité que j'aime sans avoir toujours à se triturer les méninges. Mais bien sûr, comme ici, il faut que l'ensemble soit évocateur.
Un tout petit bémol, "au fil d'un frêle ponton" Je ne suis pas sûr de ce que peut suggérer le fil d'un ponton. En général "au fil" est plutôt utilisé pour des objets plus fluide, le temps, l'eau, les jours. Mais ça n'enlève rien à mon plaisir de lecture. |
Anonyme
2/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Petit poème sympathique où l'auteur se remémore un souvenir. Quelques belles images : Défendant la falaise nue De mes vêtements de fleurs Les vagues accueillent la lumière du monde Où chaque parcelle d’îles accroche ses nuages Ce que j'aime moins : Peut-être saurons-nous nous taire Toucher le cœur des grottes Voilà, pour moi ce que la poésie dite libérée devrait être, tout en simplicité, sans prise de tête et qui n'empêche pas les belles images. |
plumette
2/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour lulu
une très agréable lecture, en silence , puis à voix haute pour entendre le son des consonnes. De belles images à dominante d'eau et de paysages marins, c'est du moins les images qui persistent pour moi, et puis certains vers plus forts que d'autres: " comme l'horloge de la terre nous surprend je sais que nos aveux dissèquent le temps" je suis plus réservée pour les deux derniers vers comme si le mot "tergiverse" et le " havre de sève" nuisaient un peu à la simplicité de l'ensemble. Merci pour ce plaisir de lecture et cette évasion. Plumette |
Anonyme
2/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai lu, et reçu ce poème comme un souffle. C'est léger, tendre, sans prétention, on a envie d'être amoureux, tout simplement.
Il n'y a même pas à tergiverser, j'aime votre poème, et ai été sensible aux images émanant de ce dernier. Merci. |
Pouet
3/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bjr,
J'aime assez ce poème même si je le trouve parfois à la limite de la grandiloquence: "la lumière du monde" (majuscule à monde?) ou "chemins parsemés d'amour" par exemple. Je pense que la première partie est la plus réussie, jusqu'à "grotte", c'est vraiment bien vu, bon le mélange "corps-nature" n'est pas révolutionnaire mais c'est particulièrement bien réussi ici. Je suis un peu moins séduit par la suite puis franchement déçu par la fin. Le "je ne tergiverse plus" casse vraiment l'ensemble, trop prosaïque, un peu lourd, cela donne un coup d'arrêt à ma lecture. La fin est importante et là, elle ne me parle pas c'est dommage. De bonnes choses donc, un "souffle poétique" et de moins bonnes (pour moi). Bonne continuation, au plaisir de vous lire. edit: Je relis et me dis que ma notation est un peu sévère d'autant que j'aime bien ce passage que je n'avais pas cité: "Comme l’horloge de la terre nous surprend Je sais que nos aveux dissèquent le temps" Du coup j'enlève ma flèche vers le bas... :) Suis un imbécile qui change d'avis, non mais! ;) |
leni
3/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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excuse mon retard un texte simple qui dit la vie à sa façon c'est joliment écrit
Des vers qui me plaisent le plus simplement du monde Les vagues accueillent la lumière du monde Où chaque parcelle d’îles accroche ses nuages La mer offre ses flous de marées Au bras de chemins parsemés d’amour j'ai un doute pour interpréter le dernier vers merci pour cet agréable moment de lecture mon salut cordial LENI |
hersen
3/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Où tu me souris de nous savoir si seuls..."
Plein de choses magnifiques comme celles-ci dans votre poème, Lulu. J'aime beaucoup ce texte, j'en adore l'atmosphère. Et puis, quand on peut défendre une falaise nue de nos habits de fleurs, on peut tout. Une grande force se dégage de la dernière strophe qui vient comme une évidence. merci Lulu ! |
Anonyme
3/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lulu,
Quel plaisir de lire ces vers plein de lumière, de chaleur (malgré l'averse), d'eau, d'amour... La mer, les vagues, des îles au loin, invitation au voyage, au plaisir tendre, tout est sourire, échanges sensuels de gestes, de mots... J'ai particulièrement aimé: " Brillantes en-deçà de l’horizon Les vagues accueillent la lumière du monde Où chaque parcelle d’îles accroche ses nuages", cette image est magnifique, une photographie étincelante pour moi qui adore les bords de mer. Beau souvenir que vous nous donnez à croquer ! Un seul petit ( oh très petit) reproche, votre poème manque un peu de ce chant des vagues qui bercent les caresses et le rêve des amants. Merci tout de même pour ce dernier vers, un rien... mmh. A vous relire avec toujours autant de bonheur. |
Marite
3/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Lulu ! De très belles images se dessinent au fil de la lecture de ces vers libres. Ce qui m'a, un peu, arrêtée dans la découverte de ce souvenir c'est l'expression " vêtements de fleurs ". Mais après ... quel enchantement !
La dernière strophe enlève de la magie à ces instants précieux qui enchantent la mémoire. |
emilia
3/6/2016
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Un charmant souvenir joliment imagé et suggestif pour un rendez-vous amoureux vers lequel la narratrice s’empressait de se rendre, comme si la nature et le décor propice du lieu se rendaient complices en offrant leurs « chemins parsemés d’amour… / Près de nos îles… », avec ce pronom possessif qui traduit bien la familiarité du couple qui s’y retrouve, sans crainte de l’averse, sachant qu’un abri privilégié les attend, où ils seront seuls et libres de se livrer l’un à l’autre, enivrés des senteurs marines qui apportent leur souffle vivifiant et plein de fraîcheur, quand les vagues s’irisent « de la lumière du monde… » ; merci pour ce partage…
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Lulu
7/6/2016
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Vincente
10/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonsoir Lulu,
Vous animez votre poème d'une telle délicatesse que j'ai surtout vu la première fois un souvenir fort agréable se suffisant à lui-même pour sa narration, spontanée (vous la dites au présent), douce et nostalgique. Quelques mots et vers m'avaient cependant séduit : "Mêlant mon corps à l'averse" "Toucher le cœur des grottes" "Où tu me souris de nous savoir si seuls" "Mon havre de sève". Séduit justement et intrigué, puisque que dès mon incursion suivante, j'ai découvert que la plupart des vers étaient chargés de la finesse d'un sens second et de la discrétion de son expression, et j'ai savouré "Défendant la falaise nue - De mes vêtements de fleurs". J'avais lu "saurons-nous nous terre" dans un lapsus doux fruit de votre piège tendu, au lieu de "nous taire - Toucher le cœur des grottes"... Je ne vais pas réécrire chaque vers pour les ré-entendre, mais j'en serais tenté, comme pour "Au fil d'un frêle ponton de bois" qui mène et amène votre rencontre jusqu'à ce dernier vers extatique ! Merci pour ce radieux partage. |
Lylah
13/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé ce poème... jusqu'à "Où tu me souris de nous savoir si seuls". Pour moi, il aurait été plus "subtil" d'en rester là. Tout était suggéré et laissait le lecteur vagabonder à sa guise pour la suite. Trop d'explicite tue la poésie, parfois. C'est en tous cas ce qui s'est passé pour moi avec cette dernière strophe... Mais le moment de lecture reste agréable ! |
Jean_Meneault
23/6/2016
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Avec ce poème vous nous faîtes vivre un moment de votre histoire.
La poétique de votre écrit a le pouvoir de faire ressentir, mêlant la finesse descriptive et le flou, indispensable pour laisser au lecteur le soin de se perde autant qu'il se retrouve. L'entremêlement sentiments/paysage est un classique. Ce n'est toutefois pas un reproche que je fais au texte, étant moi-même sensible au fort potentiel d'évocation des lieux. Ce poème à figure d'instantané est pour moi une jolie réussite. |
Anonyme
24/6/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Aprés lecture et relecture, je ne trouve rien ....,mais alors rien...
Pas d'émotion à lire ces "vers" (qui n'en sont pas d'ailleurs) Même pas désolé ! |
LJB
26/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Il y a dans ce poème ce que je recherche dans la poésie : la vie.
J'aime cette peinture délicate d'un instant, ce léger souffle de romantisme qui se faufile sur nos côtes jusqu'à remonter sur nos joues. Le paysage s'anime avec ces personnages et je me suis laissé emporter par le flot des mots. |
Kvalcade
12/7/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Lulu
Avec un tel titre je m'attendais à déménager et à m'installer direct sous le cocotier à attendre qu'une noix en tombe. C'est joli et bien écrit mais ça ne me parle pas, ne remue rien en moi. Il y a de jolies choses mais c'est trop... lourd. Au bras de chemin parsemé d'amour... je vois pas. Par contre "Je sais que nos aveux dissèquent le temps" ça c'est magnifique et tellement vrai. Merci |
Paul777
10/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime définitivement votre poésie
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Leverbal
12/12/2016
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Le style est maîtrisé, même si je trouve que l'usage de certains mots dissonants fonctionne moins bien que dans Nuances. Peut-être à cause de la thématique plus convenue?
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