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Anonyme
6/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Des mots simples, mais peut-être trop simples, à l'image de la troisième strophe que je trouve anodine et prosaïque. Hormis 'Février et ses cruautés' rien ne se détache vraiment des mots dont l'agencement m'apparaît inconsistant. Je ne doute pas que vous ayez vécu ce moment comme 'un instant de bonheur' mais votre manière de le faire partager ne me convainc que très timidement.
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StayinOliv
9/3/2016
a aimé ce texte
Pas
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La poésie libre a parfois le mérite de dire ou de suggérer beaucoup en peu de mots, mais je trouve votre texte vraiment trop bref. Les images utilisées sont pour ma part trop simples et ne m'ont pas procuré l'émotion attendu. J'aurais bien aimé lire les pensées intimes du narrateur plutot qu'une simple description.
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Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
C'est simple mais j'aime bien la simplicité dans la poésie libérée. J'aurais peut-être supprimé le le du je le cherche dans ce vers. Un instant de bonheur comme le dit l'auteur, c'est ainsi que j'ai ressenti ce texte. |
Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est vrai que le propos est simple, mais je ne vais pas le critiquer vu que c'est aussi mon style. J'ai davantage été perturbé par l'irruption du mot "février" dans un ensemble qui évoque la saison estivale. Il arrive d'une manière tellement incongrue qu'un instant on se demande à quelle époque on est exactement.
Une poésie qui aurait demandé peut-être plus de longueur pour marquer davantage l'esprit. |
Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai rien trouvé de bien original dans ce texte." Les enfants jouent
Le sable entre les doigts " " Où est mon amour M’aime-t-il encore " " Je le cherche du regard " " J’ai si peur des vagues Que j’oublie Vincent " il en faut peu !? Bien entendu, ce n'est que ma perception. |
Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'ai vraiment apprécié cet instant de bonheur en toute simplicité. Et oui, l'été, dans un autre hémisphère, se situe souvent entre décembre et février, et parfois même dure six mois (saison sèche/saison des pluies)... C'est ce qu'on appelle un climat tropical... Un poème vraiment très délicat. Des choses simples et vraies. Et cette interrogation sur cet amour (perdu ou non)... Très beau... Wall-E |
lala
28/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Lulu,
Simple, court, efficace. J'aurais aimé que plus d'images m'emportent dans cet instantané qui sent le bonheur mais aussi le doute. La poésie, je la lis tout fort dans ma tête ! Quelques accrochages m'ont gênée : - « … des vagues Que... »… peut-être remplacer « que j'oublie Vincent » par « J'en oublie Vincent ». - je n'imagine pas un bosquet de palmiers sur la plage, et des enfants jouant autour… Plutôt l'inverse, par exemple « Au coeur des palmiers » ou « Sous la palmeraie »... - Les palmiers, la plage, février, j'imaginais les Antilles… mais nous voilà « Dans la lenteur de l'été » ? - Derniers vers : la répétition de la syllabe « me » n'est pas agréable. |
Vincendix
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des mots simples, mais pour évoquer un instant de bonheur, à quoi sert la complication.
Des images apaisantes, et plaisantes. Février, des palmiers, l’été ! Serions-nous dans l’hémisphère Sud ? |
phoebus
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Qui pourra dire après ce partage poétique que l'idée du bonheur ce n'est pas quelque chose de singulier ?
Là où Jano voit une incongruité, j'y vois la marque de la singularité. Le bonheur, lorsqu'il existe, est un élément du réel. Or il n'existe pas de contrepoint au réel pour l'observer, le décrire puisque tout ce qui existe en fait partie : la seule chose que l'on puisse faire c'est le vivre. Lorsque certains reconnaissent leur propre bonheur, dans cette poésie, en la qualifiant de simple c'est justement que la simplicité c'est ce qui se rapproche le plus du réel quand on veut en parler : elle s'approche le plus de la tautologie : ce qui est, est : d'ailleurs c'est magnifiquement dit dans le poème : "je suis" (je suis un moment de bonheur ?). Et conscient de l'intensité, et de la fugacité de tels moments exceptionnels de la vie, la seule crainte qui puisse survenir au narrateur, c'est qu'il s'estompe et on imagine alors tout ce qui pourrait le faire vaciller : "Où est mon amour...Je le cherche...". En quelque sorte le bonheur c'est le bonheur et chacun de nous voudra se l'expliquer en le rattachant à tel détail ou tel autre mais il reste que ce sera toujours un moment singulier à la personne qui le vit. Et je crois que la force exceptionnelle de ce poème c'est de faire ressortir la singularité d'un moment de bonheur. |
Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Février a toute sa sève
Son goût de fraîcheur Et ses cruautés" cette strophe a elle seule m'a fait tomber amoureux de votre texte! Bon j’exagère un peu, mais j'ai vraiment apprécié ce texte court, très doux, très vivant. je me rends compte que mon commentaire ne va pas vous être des plus utiles, mais tant pis, ce devait être dit! Bravo! |
hersen
28/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Texte sur le bonheur simple que l'on peut perdre ...si simplement.
J'aime beaucoup dans vos vers ce bonheur sans sérénité. Car le propre du bonheur est sa fugacité. Le propre du bonheur est de savoir qu'on peut le perdre. Février au soleil; l'éloignement. Ce qui induit la peur des vagues, de ce long chemin entre la locutrice et l'être aimé. "Je t'aime, me souffle-t-il" Trop fort, me dis-je. merci, Lulu. j'aimerais tellement savoir dire tant en si peu. |
emilia
28/3/2016
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Songeuse sur un banc, la narratrice confie au lecteur ce moment singulier dont on sait qu’il se déroule en février, entre « fraîcheur » et « cruauté », à affronter la « peur des vagues », à regarder les enfants jouer autour des palmiers, les doigts dans le sable, à en oublier son amour pour Vincent puis à le chercher du regard pour qu’il lui délivre ce message d’amour rassurant : « Je t’aime »… Des mots simples mais essentiels et qui font tout le sel de la vie…
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Anonyme
28/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup vos première et troisième strophes ! La légèreté est effectivement présente, et c'est bien. Mais à mon goût un tout petit peu trop simple pour m'émouvoir réellement ! Cela dit, c'est agréable, j'aime particulièrement le "je suis" en fin de strophe 1. Merci pour la lecture. Bonne continuation ! |
Teneris
28/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème pour le moins énigmatique, naviguant habilement entre rêve et réalité, ressenti et vécu. L'absence de ponctuation a très légèrement gêné ma lecture, mais rien de bien grave.
J'aime beaucoup la fraîcheur et la légèreté formelle de ces vers, comme si les mots eux-mêmes s'effaçaient pour ne laisser que l'émotion, sous une forme très pure, presque violente. La force des images ainsi que l'oscillation continue entre ici et ailleurs, ciel et terre, crainte et sérénité dont chaque strophe révèle un nouvel aspect, insuffle au poème une vie rayonnante et tangible. En outre, ces vers regorgent d'une belle musicalité et de charmants jeux de contrastes. Seul (tout petit) bémol : je trouve que le dernier vers casse un peu trop l’atmosphère délicieusement lente de ce qui précède. J'ai eu un peu l'impression d'un soudain décrochage, brusque retour au quotidien alors que je me laissais porter par votre si belle envolée lyrique. Cela est peut-être dû à l'absence de ponctuation : une ou deux virgules bien placées pourraient peut-être rendre cet atterrissage un peu plus doux. |
Pouet
28/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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"Février a toute sa sève
Son goût de fraîcheur Et ses cruautés" Cela est vraiment très beau. J'ai pensé aux Antilles. Un poème très simple, lapidaire. On reste en dehors de l'eau pour mieux se noyer dans les yeux de son amour. |
Anonyme
30/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir
Il est vrai que le bonheur est simple à raconter et c'est ce qui en fait sa particularité et sa richesse ! mais dans ce texte il m'a tout de même manqué ce petit quelque chose qui m'aurait fait frissonner au goût du bonheur ! ceci dit le texte dresse un joli tableau où on peut imaginer la narratrice dans ce moment serein ! |
Sofi
31/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Peu de mots mais beaucoup d'émotions. J'ei cru l'étendre aussi ce souffle de bonheur.
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Lulu
1/4/2016
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Anonyme
4/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Bonheur ? Peur ? Heure passive pleine d'angoisse ? Voici pour moi les mots ponctués de ces points d'interrogations qui viennent nommer les impressions que m'ont laissé votre poème. Je ne sais pas s'il s'agit vraiment d'un instant de bonheur. Aller nulle part assise sur un banc quand l'esprit turbine à cent à l'heure et observe tout, peur des vagues, oublier Vincent, oh juste un instant, le ciel est moite, les enfants jouent, et ce sable sur leurs doigts, et ces palmiers qui les cachent parfois; et puis où est mon amour, m'aime t'il encore, pourquoi voici encore Février et ses cruautés, en plein été. J'ai ressenti de l'émotion, certes, mais beaucoup d'appréhensions à vivre cet instant. Une mère, une femme doutant de l'amour de son amour, et l'été malgré tout qui ne peut faire oublier Février, ce symbole de l'hiver au fond de soi quand on ne peut réellement se détacher de ces peurs. Peut-être est-ce là la vraie beauté de ce poème ? Ce contrôle permanent, juste apparent, sur son entourage. Par ces simples mots, pour moi ces sentiments sont parfaitement rendus. Dites-moi si je me suis trompé. A vous relire avec grand plaisir. |
Kodiak
1/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lulu,
Je découvre ce premier texte de votre plume et je trouve le style coulant, d'une simplicité limpide. Ce poème dresse un joli tableau qui dit et évoque pas mal de choses en peu de mots, ça me plait bien, mais malgré tout je reste un peu sur ma faim, sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi. |
Sofi
1/5/2016
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On aimerait en vivre souvent de moments comme celui-ci. Un joli moment de lecture.
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Vincent
28/7/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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cet instant est décrit
comme un instant d'éternité je dirais au risque de vous déplaire qu'il n'y a que les femmes qui peuvent reproduire cet instant comme une renaissance j'ai adoré votre texte |
Alcyon
29/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour
balancée entre l'instant présent et les souvenirs, les interrogations avec une simple et belle lucidité j'aime cet équilibre fragile que l'amour demeure |
Leverbal
12/12/2016
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Ce texte m'a rappelé Paul et Virginie! Rien que pour ça, Lulu, merci.
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