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BlaseSaintLuc
18/1/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Non ,ce n'est pas une évidence , les idées sont belles et parfois même dans les strophes 3et 4 compréhensible ,avec du sens .
Le reste ? Surement, de belles idées poétiques missent bout à bout. C'est là qu'il faut l'effort de plusieurs relectures, pour suivre le poète, dans une traversée tranquille et pleine de pensées, de la ville, de ses propres pensées ? On s'y trouve, on s'y perd, drôle de labyrinthe dur à envisagé. |
Corto
27/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce poème pose ses exigences: se laisser aller, s'imprégner, vagabonder dans l'espace et en esprit.
La démarche est audacieuse car très déroutante: on cherche une trame, un corps, une cohérence, là où l'on ne trouve que formulations exprimant des ressentis furtifs qui n'exigent pas d'axe commun. Après plusieurs lectures et essais de me mettre à l'unisson de l'auteur j'ai fini par m'immerger dans une sorte d'errance comme j'ai eu plaisir jadis à en fureter au milieu de dédales incertains, en ville nocturne ou en montagne. Avancer sans autre but que d'avancer et de regarder, de découvrir et de ressentir. L'auteur a joliment exprimé sa démarche dans la strophe centrale: "En marchant dans la lune ; peut-être au cœur des vents, les mains bien au chaud dans les poches, une rue a donné le ton au calme des songes, tel un voyage au bord du monde." Cette invite est décidément surprenante et séduisante. Merci. |
Anonyme
27/1/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Lulu,
Je perçois ce texte comme l'expression d'un ressenti introspectif et inspiré. Dugenou. |
Anonyme
28/1/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Des vers libres donc mais aussi sujet libre et devrais-je dire sujets au pluriel. Des adjectifs sont accolés à des noms pour l'entrechoc sans sortir d'une certaine cohérence. La pénombre du crépuscule, au contraire, nous replace dans un certain cliché de la poésie.
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Provencao
28/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Une évidence? "
J'ai bien aimé cette pensée de l'errance " Ai-je seulement rêvé ?" Qui n'est pas l'épeurée pensée de l'évasion mais celle de nos conversions non prétendue d'avance par quoi nous nous réfugions des entités de l'humain aux changements des rumeurs, des souvenirs, du silence et de la liberté de vivre... Au plaisir de vous lire Cordialement |
Robot
28/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau texte. Une poétique présente et imagée. J'aime beaucoup cette écriture qui sort de l'ordinaire.
"Un oiseau me regarde, ... A-t-il vu la lucarne pleine, cette lumière paisible où le secret est lent, à peine perceptible dans le jour qui avance ?" Mon passage préféré avec le quintil "En marchant dans la lune... La liberté de dire à sa manière des ressentis profonds. |
Pouet
28/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bjr,
j'ai fort apprécié l'ambiance de cette poésie, entre surréalisme, douceur et métaphysique. Il y a beaucoup à dire sur la "Liberté" et ses mirages... L'entame me plaît particulièrement. Par exemple "le contour hirsute des passants", "le secret est lent"... Bien d'autres passages sont à mon sens très évocateurs comme: "J'ai imaginé une barque ; un lieu où personne ne meurt." ou encore: "je revois le silence des traversées, tous ces instants creusés au fil des sens." Et enfin, le très beau dans sa simplicité: "J'aime tant aller, juste aller dans la liberté de vivre." J'ai peut-être été moins sensible à d'autres emplois qui me sont apparus plus convenus: "dans la pénombre du crépuscule", "vestiges du soir", "Dans la rumeur de la ville"... Ou ce "prosaïque" "les mains bien au chaud dans les poches" (dont je subodore toutefois la tentation du "contraste" avec l'onirisme du reste de la strophe); mais ce n'est bien évidemment que mon ressenti et cela n'aura pas altéré plus que de raison mon plaisir de lecture. Le dernier vers est-il utile? Au plaisir. |
inconnu1
28/1/2021
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Bonjour,
J'avoue avoir eu de la difficulté à me plonger dans le poème. Je l'ai lu, relu,mais finalement sans n'y voir rien de plus que ce que vous avez à en dire. il s'agit sans doute de l'expression de sentiments qui vous regardent mais que je ne peux m'approprier. Mais parfois, je me fiche de ce qui est dit, j'essaie seulement de me plonger dans la musicalité. Finalement, je ne comprends pas tout ce qui est dit dans un opéra mais il reste la musique. Là encore, dans la mesure où ne sommes pas dans un poème rimé ou rythmé, je n'ai pas pu en ressentir beaucoup de musicalité. Ceci dit, n'étant pas un spécialiste de la poésie libre, ne l'expérimentant pas personnellement et n'en connaissant donc pas les difficultés, je me garderai bien de noter votre travail car je risque de ne pas pouvoir en juger la réelle valeur et je ne veux donc pas vous handicaper d'une notation qui ne serait pas juste. j'ai la modestie de dire que je ne suis pas un bon juge pour votre travail et je laisse cela à des personnes plus compétentes que moi en la matière Bien à vous |
emilia
29/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une atmosphère propice à la rêverie, dans un espace-temps particulier où les contraires cohabitent pour mieux attirer l’attention de l’observatrice : avec l’obscurité de la « nuit » qui fait ressortir l’éclat de la lumière, cette « lucarne pleine » figurant le disque entier de la lune, opposée à ce « jour qui s’avance dans une lumière paisible… », le regard d’ « un oiseau » parmi les vestiges « nombreux » du soir (le singulier opposé au pluriel), le « silence » qui offre son contraste à la « rumeur », « l’extérieur » du cadre et « l’intérieur » de la pensée introspective « d’instants creusés au fil des sens » quand « la rue donne le ton au calme des songes », propice au « voyage » imaginaire entre le « passé » des souvenirs et le moment « présent », le « froid » de la salle confronté à la « chaleur » (des mains dans les poches), la « proximité » de ce « bord » opposée à l’infini du monde et son immensité « lointaine », enfin, l’évocation de la « mort » dans cette « barque » (où personne ne meurt), pour souligner l’aspiration de la narratrice « d’aller dans la liberté de vivre… », ce transport d’âme qui exalte son amour de la vie, de se sentir vivante, quand le paisible s’oppose à l’inquiétude évoquée au début (les silhouettes hirsutes des passants, le froid, le naufrage… témoignant d’une ambiance pesante et inquiétante, peut-être en lien avec la menace actuelle de la pandémie et ses conséquences, la nécessité d’un « confinement » qui renforce l’envie de cette « douce liberté » et l’interrogation finale impliquant aussi le lecteur dans le partage sensible de ces « traversées… » d’états d’âme… ; merci à vous pour ce tableau impressionniste si parlant…
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Anonyme
31/1/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ici, le poète se garde de toute enluminure. L’ostentation n’est pas son affaire. Il vise au cœur. Comme si son écriture avait éclairé une étrange compulsion de la projection de soi dans l’air, sans filet :
« J’aime tant aller, Juste dans la liberté de vivre ». Merci pour cette singulière lecture. dream (qui a failli passer à côté) |
sauvage
19/2/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lulu,
d'abord, ça se lit très plaisamment, comme une histoire dont on souhaite connaître la suite. La musique des mots me parle. Vous aurez compris que j'apprécie votre maîtrise de la langue. Sans rentrer trop dans la technique, votre poème m'a fait voyager intérieurement sans oublier le réel avec votre très bonne chute : J'aime tant aller, juste aller dans la liberté de vivre. Une évidence ? Oui, une évidence et un plaisir de le lire ici, de cette manière. Merci. Sauvage |
Lulu
20/2/2021
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papipoete
20/2/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonsoir Lulu
( j'ai vraiment du mal à me faire à votre pseudo ! ) J'étais passé sur votre texte, sans y faire la pause nécessaire, et je m'aperçois qu'il remporte un certain succès, alors à nouveau je le regarde...et vous vois songer - Je suis traversé par des sensations étranges, où je vois des bruits, où retentissent des images... J'ai pour compagnons des rais de Lune, éclairant ma nuit pour écrire des mots ; non, je ne rêve pas ! je l'ai vu le silence de la ville, qui montait en dessinant des partitions à la musique enivrante...non, je n'ai pas rêvé ; j'ai tout entendu ce que j'ai vu... - NB à part une histoire d'amour avec ses prétendants ; le récit d'un combat avec du sang... on raconte un début qui s'achève par la fin... " Une douce liberté " ne s'explique pas, mais se ressent ; avec des couleurs musicales et des sonorités soyeuses. Vous nous faites planer dans des nues, où le lecteur n'est qu'ingénu... la 3e strophe est un couplet qui fait du bien, du bien... |