|
|
Robot
17/8/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Des haikus de qualités variables qui forment un ensemble poétique cohérent et intéressant.
De belles images qui sont un hommage à la nature. Mes préférés: Les 2 - 5 - 7 -11 - 12 |
Lebarde
17/8/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Classique pas classique? qu’importe et je n’ai de toutes les façons aucune compétence en haïkus pour juger.
En revanche je trouve ces tercets follement poétiques. Tous décrivent avec beaucoup de charme, de délicatesse et de légèreté, ce petit monde si particulier « du marais », avec ses eaux stagnantes « aux rives incertaines » bordées « de frênes têtards », de « saules », « d’aulnes »(dommage pour les quelques redites au fil du poème) et sa faune caractéristique et discrète: « cygne, canard, martin-pêcheur, carpe d’or » et aussi « papillons et mouches d’automne » qui animent le décor. Les scènes bucoliques sont magnifiquement observées et décrites et l’écriture est tellement apaisante…j’en redemande! Merci c’est superbe et je suis sous le charme, Bravo En EL Lebarde |
Cornelius
3/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour,
Très agréable cette promenade poétique dans le marais à la découverte de l'atmosphère et de la faune de ce milieu naturel si particulier. Laissons aller notre barque au fil de l'eau et profitons de ce paisible moment. Merci pour ces haïkus qui nous bercent et nous enchantent. |
papipoete
3/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
bonjour luz
Traditionnellement, le haïku ne se lit pas ; il se dit, sur un ton lancinant sans tonalité même, comme psalmodié part quelque bonze, en quête de sérénité... NB les vôtres se lisent, se susurrent se peignent sur la toile d'un peintre-poète, et tant pis si ceux-ci forment souvent ici, comme une phrase latine... samouraï sans sabre ni armure, Maître papipoète se régale à travers ces jolies lignes en 5/7/5, particulièrement dans la 4e et la dernière strophe. de la belle ouvrage ! je ne sais en quelle catégorie, se classe le haïku ? |
Hiraeth
3/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
L'art du haïku, contrairement aux apparences, est très difficile à maîtriser. Aucun vers ne doit être faible, aucune syllabe ne doit être superflue, il faut dire ou suggérer beaucoup en peu de mots.
Je trouve que l'auteur(e) s'en sort plutôt très bien. Difficile d'isoler une pépite préférée parmi ces haïkus de grande qualité. Mon coeur penche tout de même naturellement vers "les papillons ivres", et vers "l'odeur d'eau et d'ombre". Bravo |
Rosaura
3/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Merci pour cette promenade au fil de l’eau tout en transparence et légèreté. Les nuances défilent sous nos yeux tout au long du jour. On entend, on respire les odeurs, on s’émerveille… et l’on traverse les images vers une nuit pleine de promesses…
|
Eskisse
3/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour Luz,
Du grand art. Chaque mot est pesé, chaque haïku provoque une surprise, un émerveillement comme cette mer dans les yeux des canards sauvages. L'infiniment petit surgit dans les mots : "perce" , "étincelle" , "tétards" , "murmures".... pour nous inviter à voir le monde autrement. Merci. |
Provencao
3/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour Luz,
Une force des mots qui permet un émerveillement sans demi-mesure ... J'ai adoré. Mon préféré "le courant clapote étincelle entre les aulnes murmures humides" Au plaisir de vous lire Cordialement |
Dian
4/9/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
|
Jolie suite de haikus dans la lignée des haikus japonais mais quelque peu conventionnelle. Sans doute à cause d'une volonté de conformité au style japonais.
|
Yannblev
6/9/2024
|
Bonjour Luz,
On reste toujours un peu intrigué, parfois en panne, en s’essayant à l’écriture comme à la lecture des haïkus. Ça vient de si loin. D’abord la forme exigeante, obligatoire, du 7/5/7 sans qu’on sache trop pourquoi. Ensuite il y a l’ambiance qui émane du petit poème et les sensations qu’elle doit susciter. Souvent inscrite dans une évocation naturelle, souvent saisonnière. Mais surtout il y a le dernier vers (si on peut utiliser ce terme en l’occurrence, c’est pas sûr) qui doit offrir une quasi rupture, au moins une surprise, avec les premiers tout en renforçant, élargissant, les sensations qu’ils ont mis en scène. Bref encore une fois, ça vient de loin. Disons qu’en général les haïkus « occidentaux » retiennent certains codes de la pratique mais il leur manque souvent l’âme réelle du loin d’où ils viennent. Mais en général aussi ils offrent quand même un instant de partage intéressant. Les vôtres ne dérogent pas, on prend vraiment plaisir à lire ces mini tableaux. Alors ? pas vraiment l’art nippon stricto sensu mais on se sent bien sous leur latitude et on apprécie. Merci du partage. |
Eki
11/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Beau livre d'images légères, la plume à fleur d'encre dévoile sa traversée onirique.
Poétique, joli, bucolique ! |