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troupi
26/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Luz.
Certains poèmes demandent plusieurs lectures pour en apprécier toute l'intensité mais cet écrit dévoile tout d'emblée. On se demande comment de telles situations ont pu exister et perdurer aussi longtemps. Simplement l'imaginer est insoutenable et renvoie l'homme (certains bien sûr) à une bestialité indescriptible. Il faut savoir que l'esclavage existe encore dans de nombreux pays et l'un des plus terribles est sûrement représenté par les enfants soldats. Ce genre d'écrit est indispensable ; merci de l'avoir fait. |
Anonyme
26/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Des vers véristes racontant froidement le calvaire de cette Eva.
De nombreuses strophes comme autant de souffrances qui lui sont infligées. L’empathie l'emporte étouffant tous les autres sentiments. C'est le reproche que je ferais à ce type de poème malgré la sollicitude réelle et certaine de l'auteur. (Je vois plus cela en vérité comme un récit (terrible) qu'un poème) Comme le souligne Troupi, un écrit malheureusement d'actualité. Merci. |
papipoete
26/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Luz,
Eva, quatre ans ; c'était il y a longtemps, c'est aujourd'hui ! On lui donne à manger juste ce qu'il faut ( moins que le chien, il faut qu'il puisse lui courir après au cas où ) Au marché des esclaves, d'hier et d'aujourd'hui, << ne laissez pas passer cette affaire ! toutes ses dents et dix doigts ! combien en demandez-vous ? >> NB votre récit nous montre ce dont l'homme est capable, alors qu'il sait donner de l'amour, vibrer d'empathie ... Comme ça fait mal ce calvaire d'Eva, qui ne doit pas pleurer, pour ne pas gâter son image face à ce beau monsieur qui l'achètera, l'usera, la violera, la tuera par train interposé ...Le dernier vers brûle le coeur plus encore qu'un fer rouge ! |
Anonyme
26/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Le rail vibre sur mon dos " préférer la mort à une vie de violences et d'humiliations, peu importe l'âge.
Je n'aurais jamais imaginé que de telles pratiques pussent exister en France à l'époque citée. Comme quoi nous n'avons rien à ... envier à quiconque, nous, les donneurs de leçons. Un récit éloquent... |
Anonyme
27/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Le titre m'a interpellé "Le froid au fond du corps".
C'est texte dès plus bouleversant, il n'y a pas assez de mots pour qualifier, les errances de l'être humain, ces monstruosités à l'égard de ces semblables demeurent, pour moi, complètement incompréhensibles. Les textes n'en finissent pas de pointer du doigté cette barbarie, que par grande chose n'arrête, l'actualité nous le montre, on vend des êtres humains (hommes, femmes, enfants), et nous sommes au 21ème siècle ... Un poème très bien écrit, sans ambages, juste des mots vrais, qui vont vous chercher ... |
Papillon26
28/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Terrible. Dire que cela existe encore, même parfois chez nous en France...
Très beau texte. |
Lylah
3/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une écriture au scalpel pour un sujet grave, ce qui lui donne une puissance d'évocation loin de tout pathos.
Le meilleur exemple : " J’ai des bleus sur les reins, Je ne crie Plus Quand il me force Derrière les stalles des bœufs. Je ne prie Plus." Bouleversant de simplicité. Bravo |