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Ora
27/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Votre poème m'évoque des mains tendues pour attraper le vent, en vain. Qui le savent mais qui recommencent encore, pour tromper le chagrin. C'est très beau, merci.
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Lulu
28/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
j'ai beaucoup aimé lire ce poème pour sa délicatesse, son fil ténu qui dit tout de même beaucoup. La seule strophe qui m'échappe relativement au sens global du texte est la suivante : "Paradoxe imposé devoir ne plus jamais mettre la vie en doute" Mais c'est un moindre mal, car l'ensemble me plaît beaucoup. J'aime particulièrement la dernière partie, plus fine, plus directe aussi par rapport à l'autre. Bonne continuation. |
Proseuse
29/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour!
Comment commenter et "argumenter" un tel texte ! En mots, pas un de trop, pas un de moins, si bien choisis et placés, vous lire, entendre ce silence et puis après ... surtout se taire ! j' ai beaucoup aimé ! 0 vous relire bientôt |
hersen
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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A mon avis une très grande maîtrise du libre.
Il y a les mots qu'il faut, mais seulement ceux-là. Les retours à la ligne qui nous assomment d'une idée si douloureuse par ex : j'écris pour toi et moi et qui, donc, dispensent complètement de ponctuation. Les mots et leur disposition sonnent leur glas par eux-mêmes et portent sans qu'il soit besoin d'autre chose le message douloureux, mais comme un souffle dont pourtant un sentiment poignant m'atteint. Donc j'aime beaucoup la forme. Avec une petite réserve cependant pour "devoir ne plus..." Je laisse le fond à l'auteur car je devine, à l'incipit, que Rayne est bien présente dans ces vers. merci de cette lecture. hersen |
Annick
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un poème où le fait d'analyser pourrait déranger les mots : surtout ne rien changer, ni le sens, ni la place.
Une dualité, comme un rebond perpétuel entre l'ombre et la lumière et puis ce silence qu'il ne faut surtout pas briser. On entre dans ce poème comme on entre dans un sanctuaire. Surtout ne pas désacraliser... Merci pour ce beau texte. |
Blacksad
15/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Texte très émouvant et plein de beauté. Cependant, d'un point de vue purement formel, et au-delà de l'aspect personnel voire intime que ce texte représente, je retirerais la dernière partie qui concerne surtout l'auteur mais vient à mon sens affaiblir le texte (sur la forme encore une fois). En effet, la poésie se suffit en elle-même sans sa justification, d'autant plus que suffisamment d'éléments sont présents pour en indiquer la nature. Si la troisième partie fait partie intégrante du poème, alors elle n'est pas au niveau (sur la forme). |
Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lylah... Poème difficile à commenter tant il touche à l'intime car je ne crois pas que ça soit une fiction...
Je retiendrai ces trois vers qui m'ont particulièrement touché... Opposer la lumière d’une orchidée muette au poids du marbre noir... Merci... |
Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je reviens sur ce texte qui m'avait beaucoup plu en espace lecture. Comment dire l'indicible quand ça fait mal. Avec un langage épuré le pari est réussi. C'est très beau et très fort. Et les vers libres montrent tout leur impact !
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Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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C'est beau et fluide, c'est poétique et délicat cette évocation de la disparition.
C'est exactement ce que j'aime en poésie. |
Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un chagrin exprimé avec sobriété et délicatesse.
" au soleil de ta mort " bel oxymore qui vient corroborer le titre. " Opposer la lumière d’une orchidée muette au poids du marbre noir " une image au sens profond. " et moi qui ne sais pas j’écris pour te revivre " ce passage ne me paraît pas essentiel ; mais c'est un ressenti très personnel. |
Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Très beau texte comme une larme de cristal qui figerait la tristesse. Comme un cri silencieux à la face du ciel. Qui dit la peine mais aussi s’oppose au désespoir. Qui aime encore après la mort et aimera toujours.
Et je n’ai absolument aucun bémol à émettre quant à la forme choisie, une remarque peut-être ; c’est que la forme, le rythme, les mots me semblent particulièrement bien adaptés à ce qui se dit là. Je ne précise pas qu’il y a des images très denses, c’est évident. Comme ce paradoxe imposé de vivre plus encore du fait de la perte d’un être aimé… Car dans ces moments on prend parfois la mesure de notre négligence de la vie…alors, oui, ces morts nous somment de vivre ! Et la vérité de : « j’écris pour toi et moi » À vous relire Lylah. |
Pouet
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je me régale toujours d'avance quand je vois un texte de Lylah en attente... Car je sais qu'il y aura forcément du "beau", pourquoi pas du "vrai", certainement du "juste". Toujours cette incroyable faculté d'évocation en peu de mots.
Je crois que pour celui-ci je vais retenir plus particulièrement: "Opposer la lumière d’une orchidée muette au poids du marbre noir" Il est beaucoup question de silence dans ce texte, de non-dits "obligatoires", de murmures à soi-même et à l'autre être au devenir suspendu. De vie et de mort, d'opposition évidemment. "La mort avant de vivre", Un sujet douloureux. Voilà encore un moment de réflexion, de beauté dans le chagrin, d'évidence, de poésie quoi. Encore un... Au plaisir, avec tout mon respect. |
plumette
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lylah,
Comment ne pas être touchée par ces mots pudiques et forts qui disent la douleur de la perte? les mots "imposé" et "devoir" m'ont un peu gênée, j'aurais bien lu quelque chose de moins "contraint". Je trouve que La mort d'êtres jeunes peut avoir cet effet paradoxal de nous insufler de la vie... mais pour moi, cela se passe sans qu'il y ait une démarche de type volontariste (perso et subjectif!) N'empêche! C'est magnifique!! Jusqu'à la troisième partie qui crée une rupture avec ce "je" qui met la poétesse au centre.Nécessaire peut-être mais pouvant entraîner un peu de recul du lecteur qui n'a pas forcément envie d'entrer plus avant dans cette intimité douloureuse. A vous relire Plumette |
papipoete
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Lylah,
Rayne n'est plus, et pourtant le silence de son absence fait un bruit assourdissant ! Sous le soleil, la lumière bute et s'oppose au marbre noir ; aux tréfonds de la nuit, un être s'éveille en sursaut, revoit " l'eau tendre de ces yeux ", ces yeux à jamais éteints . Douleur insupportable retranscrite en quelques lignes si fortes, que la mère sans doute évoque à travers " ses larmes en terre secrète " ! Que la poésie libre est un art difficile, pour parvenir à un tel résultat ! " le silence qui gèle l'eau tendre de tes yeux " par exemple . |
MissNeko
15/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Beaucoup d émotions et de délicatesse dans ce poeme. On ressent de la tristesse à sa lecture.
Merci pour ce partage |
Marite
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La vérité et la sincérité des émotions ont guidé la plume de l'auteur pour le choix des mots ainsi que la mise en forme de ce poème en vers libres. Lorsque le ressenti est très fort, nul besoin de canaliser l'expression qui s'extériorise le plus souvent de manière instinctive.
Bien sûr ... il faut continuer à vivre quelle que soit l'impact de la douleur et : " Opposer la lumière d’une orchidée muette au poids du marbre noir " |
Anonyme
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce poème transpire la poésie dans ses moindres mots. Le thème de la mort est évoqué avec brio, et le fait d'opposer la lumière à cette souffrance, cette noirceur, avec autant de délicatesse, est une porte ouverte sur la vie...
Bravo à vous, Wall-E |
Damy
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je suis bien embarrassé pour mettre un commentaire. Ce poème m'a profondément touché, j'en ai la poitrine serrée. C'est bien tout ce que je peux dire pour l'instant. J'approfondirai si nécessaire.
Bien à vous. |
fugace
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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A la première lecture, j'ai eu un "flash" identique à celui de Corbivan: C'est un cri silencieux!
Si simple, si lumineux, ce poème est bouleversant. "J'écris pour te revivre" me semble être à la fois le déni de la perte et la volonté de tout conserver de cette perte. Il y a tout au long cette ambivalence, cette contradiction qui pétri l'être humain. En fait, je ne sais s'il faut commenter. Il faut surtout humblement ressentir et partager. |
Luz
15/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Lylah,
Poème poignant, plein de délicatesse. Tout est très fort, en particulier : "Me réveiller la nuit brisée à la pensée du silence qui gèle l’eau tendre de tes yeux" Vraiment, beaucoup de poésie dans ces mots. Merci. Luz |
OiseauLyre
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Lylah, votre poème m'a touché.
j'ai été pris dans son rythme à la fois saccadé et harmonieux, par sa mélancolie. Les images sont belles et simples, poignantes. J'aime particulièrement la dernière partie qui met en perspective les autres, comme une espèce de "retour à la réalité". Merci. |
Brume
15/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Lylah
J'aime le rythme, chacun de vos vers murmurent le chagrin, exposent son souffle, le découpage donne sens de ce qui se dit en silence. Ce beau passage est fort en émotion: "Me réveiller la nuit brisée à la pensée du silence qui gèle l’eau tendre de tes yeux" Je pense que vous auriez dû vous arrêter à: "et moi qui ne sait pas" pour garder la résonance de cette fragilité qui resterait en suspend. Poème sensible tout en retenue, très beau. |
emilia
15/11/2016
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Très sensible à vos images qui expriment en si peu de mots mais avec une grande force de conviction le douloureux cheminement du deuil qui peut se résumer dans ce seul et magnifique tercet rempli d’espérance : « opposer la lumière/ d’une orchidée muette/ au poids du marbre noir…, avec cette vision si singulière et paradoxale de la mort évoquant un soleil quand l’écriture joue ce rôle salvateur de survivance, lieu de mémoire où se grave le plus profond du cœur…
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Noran
17/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Poème fort, qui me touche profondément à la fois dans sa délicate simplicité mais dans son immense profondeur pourtant.
Merci pour ce pétale de temps, ce murmure d'entre les nuits de solitudes. Bien à toi, Noran |
HadrienM
20/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le poète, chancelier des lettres et des âmes, se confronte à la mort dans ce poème.
Le temps ne fait rien à la déception poétique. Le lecteur est confronté à la brutalité de la mort d'un proche. Le marbre noir semble nous crier que la mort, la mort, la mort est notre gouffre. C'est séduisant et terriblement efficace. Compliments. Bien à toi, |
troupi
22/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Lylah dans sa sobriété est toujours aussi touchante.
Chacun de ses textes me plait. "Lien gravé en mémoire plus fort qu’en cette pierre qui murmure ton ombre sans briser le silence" mais surtout : "Opposer la lumière d’une orchidée muette au poids du marbre noir" ou encore : "brisée à la pensée du silence qui gèle l’eau tendre de tes yeux" Bravo et merci pour de tels poèmes. |
Yavanna
1/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très touchée par la pudeur de cette douleur qui se crie sans dissonance, à travers des mots rares et choisis.
Le mélange grave et lumineux à la fois, et parfois si impossible à vivre entre les opposés, les deux faces de la vie... l'amour au travers de ce lien si secret, si viscéral... tout est magnifiquement rendu, sans aucune fausse note, et parle directement à l'intime. Je vous remercie pour ce poème qui me bouleverse. |