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Vincent
12/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Porte bleue,
Tu m’en veux, Je recule, Mais il pleut Dans le bleu Crépuscule. bonjour une petite chanson toute bête j'allais dire non pas si bête que ça avec des images rigolotes et un bon rythme dommage il n'y a pas la musique ce serait chouette j'ai beaucoup aimé |
Robot
14/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ce que j' ai apprécié dans ce texte c'est de ne pas savoir presque jusqu'à la fin si le narrateur est un homme ou une femme. Et après tout le "belle" pourrait être remplacé par "beau" en dernière strophe.
Finalement, j'aurais aimé que "l'immoralité" ne soit pas attribuée du tout, qu'elle reste asexuée, car la fin donne à l'homme une attitude de goujat : "Je sais, tu es très belle,Faut que je me dépêche," et ça rompt le charme de ce plaisir amoureux et charnel volé au temps que donnait jusque là la lecture. Après, le choix de narration était peut être celui là ! Il y a de superbes expressions dans ce poème Le temps d’une étincelle Qui allume la mèche. On n’a pas plus d’une heure Pour accorder nos sons. Le temps nous semble mou Le temps qui gomme tout, Qui nous a pris en traitre. |
Annick
28/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Le temps est compté ! On le voit, on le sent dans chaque strophe dont les vers se rapetissent au fur et à mesure. Le rythme devient plus rapide comme pour montrer aussi l'impatience de l'amant et le vertige de la passion :
"Le lit bleu, Rideau bleu, Préambule, Le mur bleu, Je te veux Majuscule." D'ailleurs la répétition des vers : "On n’a pas plus d’une heure", en début chaque strophe accentue ce vertige et le fait que le temps est compté. Un beau jeu de sonorité dans les rimes en eure/on donne un côté obsessionnel à cet amour qui doit être consommé très vite. Les rimes en "eu" reviennent en écho tout au long du poème, en fin de strophe comme un refrain, un leitmotiv pour prolonger le thème du "lit bleu" et qui rime avec ""yeux", "délicieux", "merveilleux". Rimes en "ule" également reprises, faisant écho à "Majuscule". Il y a de l'implicite dans ce poème qui évoque bien des choses : "Je vois dans tes prunelles Encore quelques flammèches, Le temps nous semble mou, Il faudrait se remettre. Ne bouge pas surtout, Que cette heure nous pénètre." J'aime beaucoup ! Tout ! |
Proseuse
28/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une bien belle balade amoureuse !
s' aimer vite, s' aimer fort, s' aimer bien, une heure seulement et tout prendre surtout le merveilleux et puis même au fond des yeux garder tous ces bleus ! Très beau poème, où le temps se décompte en instants d' amour ! Merci pour ce beau partage |
Pimpette
28/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Mada'
Un sujet précis envoyé direct et sans chichi dans un style limpide que je reconnais très vite maintenant... Le 'refrain, un peu travaillé, aurait pu être un peu plus percutant,non? 'Une heure vingt Le temps d’être infidèle,'...là c'est bon! simple mais fort! je suis d'accord avec cette poésie très fraîche et je repense à La Femme Adultère de Brassens |
plumette
28/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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plusieurs lectures m'ont été nécessaires pour ce texte alors que j'avais l'habitude de m'engouffrer direct dans vos chansons!
question de rythme ou de thème peut-être? j'aime bien la déclinaison de "on n'a pas plus d'une heure" et également les fins de strophe faites de petits mots très courts en eu et ule. Et ce qu'il y a entre les deux et bien non! pas vraiment expressifs pour moi. A quand la mise en musique? Plumette |
JulieM
28/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup apprécié ce moment indiscret passé dans la chambre des amants clandestins. Le rythme rapide mais fluide donne beaucoup de force au propos, de vitalité et de présence à la passion qui les animent.
C'est également un régal d'y lire subtilement à la fois l'urgence de vivre l'instant et les regrets d'y être soumis, tout cela dans un bleu de folie. Très belle réussite. |
MissNeko
28/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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C est très bien écrit et original. Avec la récurrence des mots "heure" et "bleu" j ai pensé au parfum de guerlain "l'heure bleue".
L heure bleue pourrait être un élégant sobriquet pour ce genre de rencontre A vous relire |
Anonyme
28/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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Sur la forme c’est bien ficelé, y'a pas à dire. Encore que…le couple qui va faire l’amour avec un chronomètre est-ce qu’il va vraiment transcender le temps jusqu’aux moments bleus…
Le nez des ancêtres aussi ne me semble pas très glamour…m’enfin, je sais pas, c’est mon sentiment… bien que l’érotisme et la mort sont jumeaux d’une façon compliquée. Sur le fond deux choses me chiffonnent, savoir, le ou les cocus…on n’y pense pas, on rigole, après tout, c’est la vie, et c’est con la vie des fois. Mais sûr ce n'est pas votre propos, du moins en filigrane de l’adultère, ou comme son ombre, malheureusement ils existent. Sur le fond du fond, présenter l’adultère de manière à chanson, je ne fais pas mon prude, mais en connaissance de cause, à plusieurs niveaux je sais que l’adultère est tellement souvent la cause de drames humains, que finalement on surmonte ou pas…en particulier il y a des gens qui sont nés d’adultère et qui ont une vie de chien, à cause du sceau de l’illégitimité dont ils sont marqués, du coup ça me gonfle un peu (en général, pas parce que c'est vous). Donc forme et fond confondu, je n’apprécie pas, c’est de l’à peu près de la vie, bon c’est une chanson, pourtant il y a une façon vraie de chanter les choses de la vie, une façon fausse, et de l’approximatif qui se prend pas la tête…je crois qu’ici on est là, y'a aussi un petit côté chanson à midinette (ou digne de Frédéric François (célèbre chanteur belge)) comme, par exemple : 'tout bascule tu es dieu dans tes yeux je me brûle' A une autre fois, sur un autre thème peut-être, sûrement… Cordialement Corbivan PS. en général, je ne suis pas fan des brassensseries non plus, même assez réussies. |
Anonyme
29/9/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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D'un point de vue technique c'est, je pense, un bon texte, c'est bien écrit, bien ficelé, fidèle à un certaine esprit de la chanson française.
sur le fond je suis beaucoup plus réservé. L'adultère n'est pas, à mon sens, quelque chose de sympa et de léger, et ça de tous les côtés où on se place. Parce que dans l'histoire il y a au moins deux personnes qui vont souffrir, peut être même trois. Bref, je dois avoir un côté rétrograde peut être, mais, si je respecte ici le travail, je n'aime pas l'idée. |
funambule
29/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Plus réaliste qu'amoral, réaliste mais très poétique, réaliste mais décalé sans doute, le cliché d'un jour, d'une fois, pas les autres même si l'habitude, une certaine routine point en arrière-plan. Tentatives pour aller sous la surface, pas trop loin. La force du récit est de ne pas chercher l'épaisseur des sentiments, chercher des raisons, donner des excuses; c'est juste normal et juste ce qui arrive... parfois. Pour le reste la construction est toujours un caviar à ne pas mettre en n'importe quelle main, il faut saisir, déposer, donner du souffle, comprendre et restituer. INDISPENSABLE !
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papipoete
29/9/2016
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bonjour madawaza,
Adultère trahison ou adultère raison ? Celui qui torture le trahis, ou celui qui règle le compte au goujat ? Le premier qui aime de toutes ses forces, le second qui lance << qui voudrait de toi, tu t'es regardée ? >> Adultère, ce mot qui ne devrait pas être, mais empire où tout est bleu, tout est doux ; ici le temps défile à toute allure, pas plus d'une heure mon Amour ... J'ai parlé d'ébats hétéros, mais homos est identique . NB de belles images pour décrire ce feu, mais d'autres moins, telle " le temps nous semble mou " |
Anonyme
29/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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"On n'a pas plus d'une heure", ce leitmotiv est déterminant, il accentue la notion de brièveté, d'intensité, de condensé.
C'est un sujet ici fort bien mené, avec subtilité, aisance, il s'en dégage de la douceur, de la fraîcheur, je palpe la réalité de ce moment vécu, j'entends presque ces deux cœurs battre à tout rompre. J'en oublie presque le pourquoi du comment, oserais-je dire qu'il y a "du beau" dans cette relation qui se veut éphémère "le temps d'une étincelle", enflammée. Je me suis longuement attardé sur cet écrit, il s'en dégage un côté émotionnel à fleur de peau troublant. J'en ai aimé le fond comme la forme, je vois l'aiguille du temps qui se déplace peu à peu, "une heure cinq, une heure vingt, c'est moins vingt, c'est moins cinq", comme tout cela est bien vu ... |
Anonyme
1/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
j'ai aimé mais juste qu'il manque de musicalité dans les paroles |
Ora
7/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Il y a la forme et le rythme bien sûr qui font la force de votre poème. Pour moi il y a aussi cette palette d'émotions qui se trament derrière la chair et qui tiraille les amants aux attentes inégales. Je n'oserais dire "ça sent le vécu"… ;)
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Asrya
23/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le rythme ordonne une certaine musicalité et des coupures haletantes pouvant rappeler l'ardeur des deux amants.
C'est bien mené, la forme est cohérente, limpide, claire. Concernant le fond, bon... "l'adultère" que vous imagez avec cette chanson est uniquement transcrit sur son "bon" jour, hormis le fait qu'à la fin elle "lui en veuille". Tous les tracas que pourraient engendrer leur acte sont éclipsés par la passion qu'ils mettent à l'oeuvre. L'oeil sur le chronomètre, pour quelle raison ? On ne sait pas. Une note là-dessus, au début, aurait probablement pu ajouter du piquant. Une chanson... sympathique, qui ne se prend pas la tête, il en faut, c'est bien, et en même temps, c'est mon bémol : ne pas traduire suffisamment l'ensemble des côtés de cet adultère. Le pourquoi du comment ayant entraîné les deux à agir de la sorte. Merci pour la lecture, Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |