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Alfin
9/12/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Triste allégorie de notre monde consumériste
Le vide vertical est très bien intégré dans le texte, il est parfaitement approprié. Je n'ai pas le même plaisir concernant le "de toutes les couleurs" qui n'est pas amené fluidement. Connaissant la contrainte, on le sent poussé dans le dernier distique. Il aurait pu bénéficier d'un peu plus d'air. Pour le reste, le fond est clair et la forme enlevée par un refrain qui swing porté par des rime un peu pauvre par moment. La grande difficulté réside dans un poème qui décrit l'opposé de ce qui est poétique, et ça c'est une difficulté surmontée pour moi. Donc bravo et au plaisir de vous lire |
BeL13ver
12/12/2019
a aimé ce texte
Bien
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Ce poème, prenant la forme d'une comptine, me semble de bonne facture. Les mots s'enchaînent de façon trépidante et efficace. Cependant, je le trouve trop descriptif, pas assez évocateur.
Un refrain qui revient en boucle montre le côté répétitif et lassant de cette grande fête commerciale du Black Friday. Cela me semble difficile de réussir à faire une belle comptine. Ici, c'est tout de même assez réussi. J'aime assez peu "Ce portable trop bien". J'aime plus l'avant-dernière strophe. Bref, sans être un coup de cœur, ce texte me paraît tout de même poétique. |
Corto
13/12/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Belle idée que d'utiliser la poésie pour traiter ce problème de société.
L'auteur n'y va pas par 4 chemins avec ses descriptions et surtout le refrain avec les pantins et les requins. Mais le meilleur est bien sûr ces six derniers vers qui sonnent comme une claque, et un constat sans pitié. 'Consommateurs ouvrons les yeux' semble dire ce poème. Néanmoins je reste sur ma faim pour les envolées poétiques. Peut-être n'est-ce pas le moment... Merci à l'auteur. |
papipoete
26/12/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour concurrent ( e )
C'est le Black Friday ! courons vite profiter de ces affaires, dont nous n'avons nul besoin... NB tel moutons de Panurge, l'un plonge dans l'abîme de la consommation effrénée, et tout le troupeau emboîte le sabot... les requins de la tune rigolent ! Bonne idée que celle-ci de narrer la bêtise consumériste, qui pour du Nutela, qui pour ce robot électro-ménager, se rue au magasin ! Là, on peut en rire au début du récit, mais la conclusion si désespérante prêterait à pleurer ! le refrain est bien dans le ton de ce poème douçâtre ; le dernier faisant mal à notre conscience... Je connus quelqu'un comme cela, qui ne manquait aucun solde, et emplissait une caverne d'Ali Baba chez lui ; " pourquoi, t'achètes tout ça ? _ pour faire des affaires !!! " |
hersen
26/12/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les anaphores pressantes imagent bien la frénésie, des deux côtés.
Le black friday est né il y a très peu d'années et déjà semble être un mastodonte incontournable. Très black, ce friday nommé ainsi pour imager à quel point les vendeurs lâchent à perte. Très black, ce friday de la débauche de l'objet pour l'objet. Ce poème nous rappelle que nous n'avons réellement qu'un seul pouvoir : choisir à qui et comment nous donnons nos sous. Tous nos actes ont une répercussion, ils alimentent la masse. Et la masse est tellement plus manipulable que l'individu récalcitrant. à nous de pétrir cette masse dans le sens que nous voulons lui donner. Parce qu'on est dans le pétrin. Un poème qui interpelle, qui rebondit sur l'actualité. Un grand merci pour ça ! |
Anonyme
27/12/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Un poème "engagé" pour dénoncer le consumérisme actuel. Un rythme appréciable, bien "scandé". Le vocabulaire colle parfaitement au propos. Le respect de la consigne d'entame et de fin de poème me semble un peu surfait, pas trop naturel, dans l'ambiance générale du texte. J'ai bien aimé les paragraphes courts sans verbe ou presque. Globalement, j'avoue ne pas avoir été très sensible à ce poème mais que je l'imaginerai assez bien mis en musique pour devenir chanson. Merci du partage, Éclaircie |
Lulu
28/12/2019
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Le titre annonce la couleur et le thème du texte. On s'attend à une dénonciation, plus qu'à une frénésie sympathique, et effectivement, nous sommes sans surprise, mais cela m'a semblé intéressant de traiter ce sujet que tout le monde ne voit pas de la même façon. Le texte est engagé, mais j'ai trouvé dommage de n'y avoir pas décelé vraiment de poésie. Je crois que cela tient au vocabulaire "capital" ; "matraquage" ; "consumériste"... Tous ces mots cohabitent bien avec le sujet, un vrai champ lexical, mais le choix d'avoir glissé des rimes dans un poème aux vers de longueurs inégales ne mettent pas en valeur ces mots-clés. De fait, les rimes tombent à plat, dans ma lecture, comme si, forcées, elles desservaient l'intention ; celle d'une complicité - connivence - avec le lecteur. J'ai trouvé qu'il y avait trop d'explications, et pas suffisamment d'évocations, ce qui réduit l'effet - ou les effets - poétique(s). Le titre nous ayant alertés sur le thème, un peu plus d'originalité m'aurait sans doute fait sourire ou touchée… Le refrain m'a paru assez amusant, mais davantage après avoir relu le texte. Ainsi, est-ce surtout la forme de ce poème que j'ai trouvé peu poétique pour un thème qui aurait pu être perçu de façon plus singulière. Bonne continuation à l'auteur(e). |
Lebarde
28/12/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Sur le thème je suis totalement en accord avec l'idée que vous avez voulu faire passer et vous avez bien trouvé le ton et les mots pour le faire.
Acheter, acheter, acheter pour le seul plaisir d'acheter quelle horreur! Vendre, vendre, vendre à tout prix n'est-ce pas la raison d'être des marchands! C'est la fièvre de notre société actuelle où, à entendre dire, il y aurait pourtant toujours plus de malheureux. Paradoxal non? Bien loin l'époque où la grande masse des gens n'achetait ( ou ne troquait) que pour satisfaire les stricts besoins vitaux. Sur la forme vous avez voulu écrire des quatrains en hexasyllabes et des "refrains" distiques en dodécasyllabes qui auraient pu convenir au sujet. Dommage que certains vers bancals ( Cinq syllabes en v7, onze aux deuxièmes vers des distiques) viennent casser le rythme de la poésie. Dommage également que les contraintes du concours ( surtout dans le dernier vers ) s'intègrent mal au propos. J'ai pourtant trouvé ce poème intéressant, même si le distique de conclusion me parait un peu simpliste et j'ai pris plaisir à le lire . Merci et bonne chance. Lebarde |
plumette
28/12/2019
a aimé ce texte
Bien
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Un poème engagé, dont le rythme est en phase avec le sujet traité.
Le poème est avant tout descriptif , peut-être pas suffisemment suggestif. Il aurait peut-être eu plus de force dans la catégorie chanson. J'ai bien aimé les "courses dérisoires", et " quand même un dernier cri" |
STEPHANIE90
2/1/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
une poésie prometteuse à la lecture du titre. Pour moi la promo n'a pas tenu ses promesses. j'ai bien aimé le sujet et le refrain : "Elle court elle court, la masse des pantins ! Il rentre il rentre, l’argent chez les requins ! Entre : des vers trop descriptifs et la chute tombe avec un dernier vers vraiment pas poétique "Avant, oui, il était de toutes les couleurs..." Il aurait mieux valut remettre le refrain et ajouter une strophe finissant simplement par "De toutes les couleurs" au quatrième vers. De même je trouve la ponctuation un peu trop présente sur ce texte en libre. Mais ce n'est que mon avis personnel, un grand merci à vous pour la lecture, Stéphanie90 |
Lariviere
4/1/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
J'ai bien sur applaudi des trois mains le fond clairement anti-consumériste de ce texte ; il me semble que ce type d'élan se retrouve de plus en plus dans les rayonnages thématiques de la poésie d'aujourd’hui et je trouve ça non seulement très bien, mais extrêmement vivifiant (pas pour moi mais pour la poésie comme médium vivant et non comme un truc tout mort et inerte, malgré le faste de l'embaumement...). Sur la forme, je dirais que j'ai été touché par la construction et le traitement léger, qui a été pensé très justement pour être aussi entraînant qu'une chansonnette que l'on reprend en rengaine, avec son refrain assez sympathique, plutôt bien mené dans une forme proche des chansonniers donc, et plutôt bien trouvé dans le style satirique moderne... Sur le rendu, j'avoue que je trouve parfois le résultat un peu lourd ou bien un brin maladroit. Bien sur le sens "original" de la caricature n'est certes pas de tailler au micro-crochet ses "critiques" ni de faire forcément dans la dentelle, mais de facto en terme de poème, il manque selon moi encore un peu de travail pour rendre plus d'impact poétique, peut être en creusant un peu plus les situations ou les constats, en étant aussi plus audacieux même dans le minimalisme des évocations et des vers en l'état très très très prosaïques, sans aucun signe extérieur de richesse (là dessus, l'auteur peut se rassurer, le FISC peut passer!) ce qui, je le conçois, aurait été quand même assez mal vu et pas très chic, un peu snob même, vu le sujet et la position assumée en question... Pour finir, la strophe et le vers de fin qui sont quand même un des critères d'évaluation sur la contrainte du concours, me paraissent très améliorable aussi ; cette fin en l'état a un petit côté "raccord" qu'il faudrait essayer de gommer, à mon avis, pour obtenir un bon résultat fond/forme/contrainte... En conclusion, j'ai aimé le fond et le choix du traitement assez libre et sans fioriture qui correspond très bien au poème dans les intentions, mais j'ai été déçu sur le rendu de ne pas voir plus de poésie et d'impact dans la satire et un peu plus de profondeur acerbe dans la critique sociale ; parfois, pour nous autres poètes, il faut savoir être plus féroce que les loups (ou les requins) qui nous entourent, quand nous les dénonçons... ;) En tous cas, merci à l'auteur pour cette lecture et bonne chance pour le concours ! |
Robot
12/1/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte dont le rythme libéré se lit comme un slam. C'est d'ailleurs sur une diction slamé qu'il prend tout son intérêt pour moi et devient frappant pour diffuser son message.
(Commentaire rédigé en publication anonyme) |