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Vincent
25/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Férré disait
je n'irais pas en Chine car il faudrait qu'elle soit comme je l'imagine et moi je suis d'accord avec cette puissance de l'imaginaire dans votre texte ce sont les souvenirs qui alimentent votre imaginaire j'ai beaucoup aimé votre texte |
Lulu
28/6/2015
a aimé ce texte
Bien
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C'est un peu court... mais l'ensemble sonne comme un chant que l'on pourrait chanter à tue tête... quelque part à Paris, malgré la ville, où l'on voit Rome.
Je préconiserais de développer, de donner de l'épaisseur aux souvenirs en fournissant quelques détails, car là, ça manque un peu. On reste sur "les odeurs changent en moi" ou "le parfum des pins de Rome", mais c'est trop succin. On a envie d'en savoir un peu plus. |
lala
9/7/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Globalement, ça fonctionne, les sonorités sont là et rendent un effet de ritournelle. Cependant, c'est pour moi trop court, ou trop long, et de ce fait peu crédible. "L'été je suis en Italie En fermant les yeux sous Paris" ... Je ne sens pas du tout l'odeur de l'Italie ! |
Robot
20/7/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'idée est originale mais elle manque peut-être d'être développée pour nous donner par métaphore sans doute une idée de ce voyage en pensée.
Un vers m'amuse par son image maladroite: "En fermant les yeux sous Paris." Sous Paris je ne vois guère que le métro et les égouts, quant aux odeurs... Pourquoi pas "à Paris" ou "dans Paris" Il manque quelque chose, des relations d'images d'une ville à l'autre pays. Au choix: le jardin des plantes avec son exotisme et ses parfums, les arènes de Lutèce, les plages d'été sur les quais... Une bonne idée à retravailler. |
Marite
20/7/2015
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Le thème est très intéressant mais je trouve ce poème trop court, il gagnerait à être approfondi : les odeurs ... les couleurs ... le jour ... la nuit ... l'air ... les sonorités ambiantes ... etc certainement bien des choses à dire.
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Anonyme
20/7/2015
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Ce poème a du charme, à une condition, pour moi : supprimer les vers 3-6-9
Et mettre à la fin, en isolé et en conclusion, le dernier vers : "Alors pourquoi prendre la route". Et c'est vrai qu'il est fort court. Alors le tronquer de quelques vers le raccourcit d'autant ! |
Anonyme
20/7/2015
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Intéressante cette idée de voyage juste en impressions.
Mais je l'aurais aimé en croisière plutôt qu'en étoile filante... |
David
20/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour ManonLunalice,
La forme du poème avec la reprise du vers m'a rappelé une forme fixe, le triolet, qui peut se présenter ainsi : "Si j'étais le Zéphyr ailé, J'irais mourir sur votre bouche. Ces voiles, j'en aurais la clé Si j'étais le Zéphyr ailé. Près des seins pour qui je brûlai Je me glisserais dans la couche. Si j'étais le Zéphyr ailé, J'irais mourir sur votre bouche." https://fr.wikipedia.org/wiki/Triolet_%28po%C3%A9sie%29 Je lui trouve plus une facture classique qu'une autre à la Prévert, mais le propos colle bien à ce petit morceau triste et gai (pas de vacances mais content quand même grâce au miracle de l'imagination... ) |
sqark
21/7/2015
a aimé ce texte
Pas
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Si l'on fait le choix d'un texte court et bref, il faut que la musique qui s'en dégage soit d'une force suffisante pour pallier la brièveté du fond, et je ne pense pas que ce soit le cas ici. si nous avons inventé la ponctuation je crois qu'il est judicieux de s'en servir.
Sur neuf vers à la construction douteuse, nous avons deux vers qui reviennent, sans qu'ils ne portent en eux la musique nécessaire à cette redondance, et une répétiton de "Et", ce qui sonne mal sur un format aussi court. Si le poème était réussi, changer le moindre mot serait sacrilège — et ce n'est pas le cas. N'oubliez pas que l'écriture n'est qu'une affaire de style, et que le style ne souffre pas les fausses harmonies. |
MARIAJO
3/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé votre petite poésie qui parle long sur la capacité que l'on a d'être là où on souhaitait d'être. Dit avec des mots simples, j'aime. Cela prouve l'envie de communiquer et partager.
Merci pour cette lecture agréable! |
margueritec
9/8/2015
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J'aime le court et votre poème en ce sens me plaît bien, même si je reconnais que la première strophe pourrait être améliorée : "Même lorsque je n'y suis pas" est assez disharmonique. En revanche, j'apprécie particulièrement la troisième strophe, notamment "J'inspire le vent de mes doutes" vers qui m'emporte. Si le sens peut sembler incohérent, j'apprécie justement l'ambiguïté de votre présence. Qu'importe où vous vous trouvez, les sensations évoquées priment sur le réel.
Au plaisir d'autres rencontres. Marguerite C. |
in-flight
27/10/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Laconique;
Onirique; Assez Réussi. |