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Vincent
4/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Comme tu m'aimeras
Comme je t'aimerai Nous partirons peut-être un jour Sous la forêt et Comme tu m'oublieras Comme je rêverai Je partirai peut-être un jour Vers les cyprès Comme tu m'oublieras Comme je rêverai Je partirai peut-être un jour Vers les cyprès je n'ai pas été très emballé par votre texte qui ne décolle pas du tout cela reste très simple pour une poésie cela ne me convient peut-être pas |
Lulu
5/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème ne présente rien d'extraordinaire, mais il me plaît. Le jeu des pronoms "je" et "tu" est bien rendu, de même que l'anaphore "Comme" qui aurait pu être lassante (mais il n'en est rien, car le poème n'est pas trop long) qui donne le ton.
On se prend à jouer avec l'auteur ou à ressasser des souvenirs où l'on aurait pu se dire ces choses. J'aime particulièrement la première et la dernière strophe. |
Robot
8/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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C'est court, simplissime, peut-être un peu plat. On songe moins à un poème qu'au refrain d'une chanson qui aurait pu être un peu étoffée.
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margueritec
10/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Poème fondé arithmétiquement (?) 4 vers/4 strophes ainsi que sur la répétition introduisant de fugaces variations mais qui alourdissent le texte au lieu de lui donner du souffle. Ainsi l'évocation de la mort (le cyprès ?) de l’absence (tu partiras peut-être ?) bref d'un départ, ne me touchent pas.
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LeopoldPartisan
11/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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difficile de se rendre compte en si peu de mots et avec tant de repetitions. contine naïve certes, mais hormi les cyprès c'est un peu court pour y envisage la Toscane.
Désolé |
Anonyme
30/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Clichés: je t'aime, tu m'aimes, on part. Le balai ?? les sorcières... Tu t'ennuies, tu pars, je pleure. Le cyprès, la mort, la Toscane... Des clichés mais de balade poétique, point, de rêves, point... Ces photos sans lumière donnent pour moi une poésie sans émotion, plutôt fade. Désolé. |
Automnale
31/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème est mignon comme tout…
La poétesse a vingt ans… Elle peut donc se permettre d’imaginer une belle histoire d’amour… Ils s’aimeront, partiront dans la forêt… Ils rêveront, partiront sur un balai… Il s’ennuiera, partira… Elle pleurera… Il l’oubliera (pense-t-elle). Alors, peut-être partira-t-elle vers les cyprès… Ceux de Toscana… Eh bien ce genre de petit poème me touche. Manon, du haut de ses vingt printemps, a déjà compris beaucoup de choses quant à l’amour… Mais je suis rassurée car, quoi qu’il adviendra dans la vie de Manon, l’Italie, elle, l’aimera toujours (et vice versa). J’ai juste un peu tiqué en lisant « Sous la forêt »… Je préfèrerais : Dans la forêt… Continuez à écrire, Manon... Vous avez une nouvelle lectrice toute prête à vous suivre, au gré de vos mots, vers San Gimignano… |
lala
30/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour ManonLunalice,
Si court et si banal, osant même des répétitions, ce texte me rend triste tant il ne contient rien. Il n'est pas simple, il est simpliste, il n'est pas épuré, il est creux. L'inspiration n'est pas au rendez-vous tous les jours, il faut savoir aussi se taire, ou n'écrire que pour soi, avant de proposer un texte pour le plaisir, ou au moins pour la réaction de lecteurs gourmands et gourmets de mots et d'images. |
cervantes
30/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Eh bien je ne déteste pas du tout. Évidement qu'il y a peu d'image mais l'émotion dans ce cas pour moi réside dans la brièveté et la simplicité du texte.
Cette simplicité permet au moins de communiquer avec une émotion que l'on partage ou non. Ôtez moi un doute, vous évoquez les cyprès de Toscane pas ceux des cimetières? Pou moi , oui, il s'agit de poésie, de celle votre âme. Continuez, votre chemin d'Italie se hume très agréablement, cela n'est déjà pas si mal! |
Pimpette
30/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Mériterait une petite audace:
-jouer avec les ais et les as pour créer un déséquilibre voulu... -Comme tu m'aimerais... - Comme tu rêverais - Comme tu t'ennuierais... -etc le côté comptine en gagnerait en charme et naïveté,non? |
Anonyme
30/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh, ne partez pas... mais rêvez, oui, rêvez ! Non pas pour partir un jour vers les cyprès, mais plutôt sous la forêt, et pourquoi pas sur un balai...
Un petit texte délicat, tout en douceur et en subtilité. Bravo à vous, Wall-E |
Blacksad
30/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Poème touchant c'est vrai mais comme je l'écrivais dans un autre commentaire, trop de simplicité tue la simplicité.
C'est probablement regrettable mais j'attends d'un poème plus d'images, de rêves, d'émotions et d'envolées. Quel que soit le thème. Ca pourrait faire une jolie chanson "sucrée" à la mode pour jeunes filles en fleur mais ça manque de corps. De fantaisie. Il y a bien le balai... et surtout les cyprès qui donnent une teinte douce-amère à la fin mais ça fait peu. Cependant, vous avez sûrement raison quelque part. On oublie trop vite les vertus de la naïveté et de la simplicité. En amour, en poésie, comme ailleurs. |
Anonyme
30/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Petit poème sans prétention mais agréable à lire.
Court, mais assez de mots pour définir un des cheminements de la vie. Je n'ai pas aimé " Je partirai peut-être un jour Vers les cyprès ". |
wancyrs
31/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Les balbutiements de l'amour... Pour quelqu'un qui a vécu des choses compliquées en amour, ce texte me rappelle que je ne suis pas seul... Aimer c'est tellement bon, mais ce n'est pas toujours facile avec tous les questionnements que vivre en relation suscite. Pas besoin d'expressions doctes pour exprimer cela !
Merci Manon ! |
papipoete
31/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour ManonLunalice; 2 parties de vie à 2;
Au temps des amoures folles, " on fera tout ensemble " on partira vers le même Eden. Au temps où meurent les amoures ( de ta part ), je t'aimerai, verserai des larmes. Et tu partiras loin de mes rêves, et mon coeur s'éteindra peut-être sous les cyprès? Ce poème que certaines " plumes " piétineraient de colère, m'apparait comme un " billet-doux " qui j'espère, touchera le " Roméo "; Continuez d'écrire, continuez! |
in-flight
27/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une relation homme/femme (ou homo, ici ça ne change rien) dans toute sa synthèse.
Beaucoup aimé la similitude des verbes au début et qui se mettent à changer au gré de l'avancée des vers, au gré de l'avancée de ce couple qui n'est plus sur la même longueur d'onde. Une chute qui mène droit à l'ombre des cyprès: amour unilatéral et mortifère. L'Italie semble omniprésente dans vos écrits mais là je ne saisis pas le rapport. |