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Anonyme
12/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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Je trouve le rythme de votre poème intéressant, on tourne autour des octosyllabes mais sans les épouser rigoureusement. L'effet, pour moi, est agréable, flottant.
Le dernier quatrain me surprend, on bascule dans le sadisme me semble-t-il, à cause de l'absence des astres témoins. J'aime bien cette image de la nuit obsidienne. Que représentent-ils, ces astres ? me demandé-je. Une force modératrice, mais je ne vois pas trop quoi. Je salue le rythme incertain, pourtant harmonieux, des vers (sauf au dernier quatrain, ce qui me paraît normal puisque à ce moment tout se dérègle, c'est le désastre quand il n'y a plus d'astres), mais finalement je ne saisis pas bien les enjeux du poème et cela me donne une impression de gratuité sans doute erronée. |
Gemini
18/3/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Les histoires d’amour finissent mal.
Si les deux premiers quatrains se veulent poétiques avec un mélange Amour/soleil/lune (et un étrange Sirocco), le dernier vire complètement de bord avec ce "Alors tu seras chienne" d'assez mauvais goût je trouve, vers qui tente d'amener au jeu de mots "désastre / des astres" qui sort du sens premier (et du titre). L'obligation de rime avec "obsidienne" (j'aurais mis d'obsidienne, ce n'est pas un adjectif) me semble coupable du mot "chienne". Très mauvais choix, alors que "mienne" (hors "démons" et "désastre") aurait remis les choses dans l'ordre. Mais peut-être l'auteur a-t-il cherché à mettre du relief sur une histoire trop lisse ? Il reste une sensation de raté, et je trouve que la formulation est teintée de puéril. |
Mintaka
18/3/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Un poème qui me fait presque penser à la transformation en mr Hyde ! On s'unit sous le soleil puis on s'aime sous la lune et les démons qui reviendront... comme une fatalité semble-t-il ? Par ailleurs les mots sont volontairement simples, presque sans aucune figure de style, où les phrases disent clairement ce qu'elles veulent dire, sans effet de manches. Une petite fable énigmatique quant à sa finalité, dans une région où souffle le sirocco. L'Auteur ne nous révèle rien de plus, je reste donc un peu sur ma "fin" Peut-être plus tard ? En E.L |
Anonyme
27/3/2022
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Le thème de votre micro poème sur la transformation bestiale a été maintes fois ressassé, que ça soit dans la littérature ou au cinéma, vous vous y frottez à votre tour. Mais sans rien apporter au propos, et le "tu seras chienne", bien macho, gâche l'ensemble. Je n'ai pas trouvé d'image originale ni même un petit bout de vers qui me fasse dresser l'imagination. Dommage. A vous lire sur autre chose Anna |
Miguel
27/3/2022
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Du vers de huit, du vers de cinq, du vers de six ... Tout cela fait un peu fourre-tout.
Sans vouloir tomber dans les excès d'un certain féminisme, le "tu seras chienne" (et pourquoi pas un partenaire masculin ne deviendrait-il pas chien ?) me choque. L'inversion désuète et très inesthétique du sujet et du COD ("ce désastre nous pleurerons" au lieu de "nous pleurerons ce désastre") vient comme un cheveu sur la soupe dans cette forme moderne. Il vaut mieux pas de rime que cette torsion de la grammaire. |
papipoete
27/3/2022
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Marc210
Demain, il fera jour... mais en attendant, quand nos démons nous prendront par la main, nous n'écouterons que nos instincts, et deviendrons des bêtes sauvages ! NB le thème ne m'emballe pas et dans la première strophe, je vous vois écouter le Soleil ? Ce serait plutôt la Lune, avec qui je converserais et je sais qu'elle m'écouterait. Malgré ses assonances, ce texte ne me tape pas dans l'oeil, mais je salue le défi " d'écrire court " |
Anonyme
27/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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theu theu theu ...Rien de désastreux et pas de quoi pleurer . Pensez à l 'expression "garder un chien de sa chienne" là ça vous fait une ouverture avec bien des possibles .
-- Le soleil symbolise la lumière , la conscience . Vous écoutez le soleil, vous écoutez votre conscience, classique -- La nuit symbolise l'inconscient , l'obscurité du moi profond sous la conscience . Vous avez l'inconscient chargé comme qui dirait . -- Parmi les symboles de la lune il y a le cycle . C'est le cas ici puisque les démons surgissent les nuits de pleine lune . Pleine elle symbolise aussi la féminité ( rondeur ) . Vous associez les deux , un hic ?l -- Les démons ici ne sont pas des diables ni des esprits mais bien évidemment des pulsions . On a tous des démons plus ou moins refoulés , en non dit etc . On peut aussi avoir le démon de la poésie pour pouvoir exprimer des non dits qui remontent de l'inconscient par le canal de l'inspiration ... Attention peut-être au double sens . Vous savez que vos démons surgiront en présence de la belle , vous vous connaissez bien . Par exemple ce pourrait être le démon de la jalousie . La voir en chienne ne serait pas la voir en bête de sexe , ce serait l'objétiver , la dévaloriser, la réduire à une animalité et donc elle aussi peut être a des pulsions pour la mettre à égalité avec vous : OK j ' ai des pulsions ( des démons ) mais toi aussi espèce de chienne . Et là OK vous sentez le désastre car impossible de rien construire . On pourrait rester longtemps sur votre texte car la lune est aussi ici la féminité (disque, donc rondeur ) elle est blanche ( clarté ) donc vous fait prendre conscience de quelque chose . Le blanc est virginal il vous conduit pourtant à l'impudeur ; Une virginité impudique, vous êtes vraiment trop compliqué ! Je vais me recoucher . Merci de ne pas rajouter " ça vaut mieux ! " |
Robot
27/3/2022
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Bonjour,
Il y avait tous les éléments pour un texte intéressant. Deux astres, le vent, deux amants. mais l'alchimie de l'écriture n'a pas vraiment pris. Plusieurs raisons: Des rimes plus que faibles, une absence de ponctuation qui gêne la compréhension (au second quatrain, est-ce le disque blanc qui est sans pudeur, ou les amants ? Comment faut-il le lire: - Ce disque blanc sans pudeur aucune ou sans pudeur aucune nous écrirons - des métaphores imprécises, (nuit obsidienne ? je vois mal la couleur vert-bouteille de l'obsidienne pour définir la nuit), un quatrain final qui tombe à plat notamment avec un dernier vers sans élan poétique. Un texte à reprendre, donc je ne mets pas d'appréciation. |
inconnu1
28/3/2022
a aimé ce texte
Pas
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Désolé mais j'avoue ne pas beaucoup accrocher. Sur la technique, l'absence de cohérence dans le nombre de pieds dans vos vers fait que je n'en ressens pas la musicalité. Certes il y a des rimes, mais on ne peut pas dire qu'elles aient fait l'objet d'une recherche technique.
Ensuite, si le thème vous semble sans doute clair et le message limpide, après plusieurs relectures, je n'ai pas trop vu où vous vouliez en venir. Du coup, je ne peux pas vraiment trouver un début d'approbation Désolé |
Lariviere
27/3/2022
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Marc210,
Sur le fond je n'ai pas bien compris ce "mariage" sous l'oeil notarier des astres, le fond me semble manquer de profondeur mais c'est peut être dû aussi au format court qui ne permet pas de déployer le propos de façon claire... Sur la forme j'ai trouvé ces images et ces vers assez pâlichon manquant d'impact et de sens profond ; ainsi les deux premiers quatrain sont bien sage et assez atone tant sur le rythme que sur le déploiement du thème... il se passe enfin quelque chose dans la nuit obsidienne (jolie image) du dernier quatrain mais si je visualise "les démons" je ne comprends pas bien l'apostrophe "alors tu seras chienne", enfin, je n'aime pas l'inversion du vers de fin qui lui aussi manque d'impact... Bonne continuation malgré tout ! |
Queribus
30/3/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
En ce qui concerne la forme, je ne sais pas trop comment classer votre écrit; en effet, on y trouve des vers de cinq, six ou huit syllabes, d'où l'impression de "néo-classique" bancal. Par contre j'ai bien aimé la forme courte. Le fonds, quant à lui, m'est apparu trop abstrait sans idée conductrice bien définie au départ. Malgré plusieurs lectures et quelques belles images poétiques, je n'ai pas très bien saisi le sens de votre poème. Je pense toutefois qu'en le reprenant et le simplifiant un peu, on pourrait avoir un texte très acceptable. Bien à vous. |