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nico84
11/10/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'ai apprecié ton poème marcelovic, les répétitions de "ombre" ne me génant pas. Mais, j'aurais aimé plus d'intensité dans les mots. Aprés, je ne maitrise que trés peu cet art mais en tant que lecteur, j'aurais voulu ressentir plus de choses.
"Modére le travail", j'ai compris l'idée mais peut être la forme est à revoir. Peut être sous forme d'histoire, avec le "il" et "elle". Merci de ta participation et bravo tout de même pour ce poéme. |
FORTUNETTE
13/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai apprécié la répétition sur le temps qui court. En le lisant j'ai eu l'impression d'une course. Tous s'enchaîne très vite, avec une fin qui donne a réfléchir. J'aime bien l'idée générale. Je ne m'y connaît pas trop en poésie, mais j'ai pris plaisir a le lire.
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Bidis
19/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dans ce texte, j’ai trouvé de vraies perles poétiques comme « Quand te sourit le soir avec des dents dorées » » et des petites choses simples mais charmantes (« L’heure est aux couleurs. »)
Et le temps pris comme personnage qui ne se dépossèderait de lui-même dès qu’il se met à courir, ce n’est pas mal du tout comme thème. Je me permets une petite critique : « Las de m’être épris de l’ombre de ton ombre Las d’être à l’ombre quand tu brûles au soleil » « l’ombre de ton ombre », depuis Brel est un peu banal. Et trois fois « ombre », c’est un de trop… |
Melenea
22/10/2008
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J'ai aimé le message, la nostalgie qui imprègne le texte. J'aurai aimé plus de force dans le choix des mots et des images. Mais le tout me parle, comme un murmure qui me dirait, travaille, mais profite aussi de la vie...
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David
25/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Marcelovic,
Je crois que "guillochure" désigne un genre d'arabesque, enfin c'est une décoration, sauf qu'arabesque par exemple revient fréquemment en poésie, c'est un joli mot qui désigne une jolie chose alors que "guillochure" est un mot moche, à mon goût, mais qui désigne également une jolie chose. Il y a une certaine violence dans cette troisième strophe, les "galions" servent à la guerre mais à ramener des trésors aussi, ces guillochures oscille entre la cicatrice et la rivière de diamant. Le poème semble décrire une douleur, un cruel écartèlement, malgré un effort de modèration justement, d'apaisement comme dans le début du poème, mais elle ressort en de nombreux endroits, il y a ce vers : "Las je pâlis, ce soir il est tant." Tant point ! Il est tant quoi ? une confusion avec - il est temps - ça parle d'heures et de durée tout autours, ou alors une façon de dire presque - ce soir il est trop tard - je soupçonne une tension dramatique à ce moment-là, il y a comme un suspens. Avec un peu d'humour si je peux me permettre, ça pourrait être un poème poignant de femme de marin abandonnée de long mois, et c'est fait avec brio quand même je trouve. |