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Robot
25/2/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un texte virevoltant qui appelle à l'optimisme pour débuter une journée.
"Bonjour le jour" et ses petits plaisirs, et ses douces sensations. Un vrai poème libre, léger et enchanteur. |
Gemini
27/2/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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La métaphore maritime filée du calme après la tempête : (sur le pont, nuages, cap au large, ciel enfin bleu –ça sent la Bretagne -, tempêtes, grand voile - qui se hisse en non se monte - océan), laisse entendre que la veille a été agitée.
Le "bonjour mon amour !" final est censé effacer toutes les tensions passées (à moins que la nuit fût érotiquement ourangantesque, autre possibilité, mais moindre…) Version renouvelée de : À chaque jour suffit sa peine, la nuit porte conseil, après la pluie le beau temps, etc. Le titre fait référence au carpe diem épicurien. On ressent toute la joie du narrateur pour cette remise à zéro des compteurs. Le présent est la seule valeur de l'homme, alors valorisons-le. Texte peu original, mais sincère et plutôt bien traité. La fraîcheur de la pensée m'a paru naturelle. |
Ornicar
5/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Les nuages amoncelés, métaphore de la météo intime du couple ?
Je ne suis pas emballé par ce texte court, trop court à mon goût, un peu simpliste dans son développement, passablement mièvre dans sa conclusion. "Bonjour le jour et bonjour mon amour !"... Bienvenue chez les ravis de la crêche qui ont gros à se faire pardonner. Désolé, je n'ai pas aimé. Sans doute parce que l'amour et ses péripéties nous rend tous un peu sot. Une chose est sûre au moins. On ne peut guère reprocher à son narrateur ou sa narratrice, un manque de volontarisme (vers 1 "Il est temps de se lever ! Sur le pont les nuages !"). Hauts les coeurs ! On y croit ! Puisse-t-il ou puisse-t-elle trouver le bon cap et les alizés sur la rose des vents. Dans cette métaphore marine, le "large" apparaît comme l'avenir radieux qui attend les malheureux tourtereaux. Mais que viennent donc faire ces satanés "merles" au vers 2 dont la présence me semble anachronique et incongrue ? Quant à la "grand-voile" au vers 6, ce n'est pas une étagère en kit ou un meuble "ikéa" qu'il s'agit de"monter", mais bien de la "toile" qu'il s'agit de "hisser" ou "d'envoyer". En tant que passager volontaire, je n'ai guère confiance en cet équipage inexpérimenté... En revanche, l'image des "arbres dans le parc (qui) ont battu des branches toute la nuit" me paraît particulièrement parlante et convaincante. Ce vers traduit bien la longue nuit blanche à remuer les plus sombres pensées. Rompre ou ne pas rompre, telle est la question. Au matin, le vieux chêne a tenu. L'appareillage est imminent. Bon vent ! |
papipoete
9/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Mariel
" il est l'heure ; tout l'monde sur le pont ! - voyez le bleu du ciel - écoutez le merle siffler - les arbres ont rangé leurs branches-tambour...bienvenue le Jour ! " NB vous avez choisi de " faire court ", ce qui peut être gageure risquée ; mais vous vous en sortez de jolie façon, avec cet équipage en branle-bas d'attaque pacifique. j'aime bien la ligne " les arbres dans le parc... " |
Marite
9/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Comme l'impression qu'un trop plein de ressentis de l'auteur se risque à émerger et je ne peux que l'encourager à déployer ses ailes ... de l'optimisme, du dynamisme et de l'entrain dans ces métaphores. Quelques images et expressions laissent présager une écriture poétique sympathique à venir.
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Provencao
9/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour Marie L et bienvenue
J'aime cette candeur en vos vers libres. Une fraîcheur, une vérité qui fait un bien fou. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Damy
10/3/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Carpe diem. Il suffit de 2 mots.
Mais la sobriété de votre poème apporte la couleur de l'expérience humaine. Il ne m'en faut pas plus pour m'émouvoir profondément, me laisser librement imaginer ce que fut la nuit. Merci beaucoup. |
Evelit
13/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ah ! Voilà enfin un texte qui fait dans la simplicité (dans le sens positif du terme)... Bravo pour ce bonjour ensoleillé et ces belles trouvailles : "Sur le pont, les nuages, les arbres qui montent la grand voile, la journée au parfum d'océan"... Voilà un texte qui donne envie de vivre !
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wancyrs
13/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour MarieL,
C'est léger comme un bon petit déjeuner qu'on prend en fredonnant "la vie est belle !" Le soleil s'invite pour promettre le bonheur, les merles chantent, le ciel bleu qui annonce la fin de la tempête (j'imagine les angoisses pendant celle-ci)... Bref, que du bonheur ! pour un premier texte sur Oniris c'est frais et léger. Attendons de voir la suite ! Merci pour ce partage ! Wan. |
EtienneNorvins
24/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Votre texte rayonne d'une fraîcheur éclatante. Dès les premiers vers, on est enveloppé par une atmosphère lumineuse, où chaque mot semble vibrer d'énergie positive.
Vous réussissez à capturer la magie des premières lueurs du jour, par des mots simples mais formant des images saisissantes qui éveillent les sens ! Les métaphores invitent à une contemplation profonde, transformant ces moments ordinaires en instants extraordinaires. On ressent qu'une véritable communion avec la nature est possible, comme si chaque rayon de soleil apportait une promesse de renouveau et d'espoir. La musicalité des vers, le rythme entraînant, tout cela contribue à créer une ambiance joyeuse et légère. C'est un hymne à la vie qui incite à accueillir chaque jour avec optimisme et gratitude. Cela fait autant de bien au cœur qu'à l'esprit, un véritable souffle d'air frais qui nous rappelle la beauté du quotidien ! Merci ! |
Eskisse
24/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour MarieL,
La métaphore filée du navire symbolisant l'aventure m'a surprise car elle est mêlée au champ lexical de la campagne, ( merles, arbres, parc) mais pourquoi pas, cela crée en surimpression une image un peu surréaliste... Je ne peux que louer cette sincérité esthétisée qui émane de votre poème. J'aurais peut-être mis un terme au poème à " au parfum d'océan" . |