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Anonyme
14/7/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour, votre présentation du poème en dit trop ou trop peu.
Ces mots imposés, comment avait-il été choisis ? venaient-ils d'un poésie célèbre ? Puis , vous nous informez que ce texte est un exercice et le lecteur n'est pas placé dans des conditions "neutres" pour l'appréhender. Alors que l'ensemble est harmonieux et se suffit sans l'exergue, je trouve. Je ne sais pas dire si votre poème sera classique au sens d'Oniris, pas spécialiste, mais je vous dis juste qu'il est harmonieux évocateur et suffit à mon bonheur. Merci du partage, Éclaircie |
Anje
17/7/2018
a aimé ce texte
Bien
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Le dixième vers ne compte que onze syllabes à cause de féerique (cf Littré). Ce sonnet ne peut pas être accepté en catégorie classique bien que le reste de sa construction soit de très bonne facture.
"Fragrantes senteurs", outre cette suite de "r" qui râclent un peu à la gorge en enlevant le plaisir parfumé de la fôret, me paraît être un pléonasme. La rime masculine à l'hémistiche des six et septième vers tend à atténuer la rime féminine, cela me parait dommage. Un joli poème qui demanderait à retourner un peu au métier. |
papipoete
20/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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classique
Savoir regarder n'est pas donné à tout le monde, et la nuit constellée d'étoile peut provoquer des " bof ! " . L'auteur voit ce dais resplendissant, le contemple et savoure son plaisir enivré des senteurs, que la forêt exhale . Et, tendant l'oreille il entendra même la muse des buissons, l'inviter à la rejoindre ! NB rassurant de voir que la nature inspire poésie et admiration, au milieu de l'immensité de la nuit où d'autres ne verraient rien ! j'aime particulièrement le second tercet . J'étais intrigué par la mer / étale ; mais je viens de lire que cela évoque le moment entre 2 marées ! je ne voudrais pas m'avancer, mais je crois que " féerique " ne compte que 3 pieds " fé/ri/que " placé dans un coeur de vers ( on me trouva cette faute dernièrement ) alors que j'avais compté " fé/e/ri/que " magnifiques alexandrins classiques ! papipoète |
Donaldo75
30/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Marite,
Très pictural, ce poème est un modèle du genre, dans ma lecture, en termes de sonnet, au-delà de la simple métrique. J'ai aimé le lire et le relire, parce qu'il coule naturellement sur les neurones, les colorie de mille volutes parfumées et rend la poésie magique. Bravo ! Donald |
Anonyme
30/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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De fort belles images enluminent cette " Magie nocturne."
Je me suis laissé séduire par ce " spectacle fascinant, charme de la nature ". Avec une touche de sensualité pour le dernier tercet. Si l'on tient compte des rectifications orthogaphiques de 1990, féérique comporte bien quatre syllabes. |
Anonyme
31/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Dommage que le vers 10 ne contienne que 11 syllabes ( oui, féerique n'en compte que 3 ) . Autrement, il eût mérité la catégorie classique. Féerique ne possèdant pas d'accent sur son second e, il n'y a donc pas de hiatus intérieur, donc également 3 syllabes. Mais qu'importe le flacon, comme disait je ne sais plus qui, ce texte est bien joli par endroit même s'il ne brille guère de nouveautés, mais peut-on encore en montrer des nouveautés avec un tel sujet ? J'aime bien les quatrains, mais les tercets ne sont pas mal non plus lême si le premier m'apparaît plus faiblard dans sa construction. Oui, un bon texte finalement qui se lit avec plaisir même sans l'attrait de la nouveauté. |
Cristale
30/7/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Et bien ! moi qui prononce "fé-é-ri-que" je me serais accordée la même erreur en 4 syllabes.
Mais cette "Magie nocturne" nous offre un bien joli poème. Je regrette un peu "Les fragrantes senteurs", la redondance des assonances "an" (6 dans le premier quatrain sans compter celles des rimes bien entendu), la petite rime interne "eaux" "ruisseaux", l'écho de la rime à l'hémistiche du premier vers et celui du quatrième. J'aime beaucoup le dernier tercet. L'ensemble diffuse une agréable quiétude parfumée, une musique douce et des couleurs adamantines. Merci Marité. Cristale |
Mokhtar
30/7/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Réussir un poème avec des mots imposés à la rime doit être particulièrement délicat, tant il faut combiner l’inspiration poétique et l’astuce dans la forme.
Je trouve qu’ici l’auteure se sort fort bien du défi, même si au premier quatrain on peut ajouter au pléonasme déjà relevé des senteurs …silencieuses dont on n’attendait pas moins. La suite est digne d’intérêt, surtout les tercets qui sont bien « gouleyants ». Je m’insurge contre le fait que l’on inflige à « féerique » une amputation de syllabe à contre usage, transformant de la peinture enchanteresse en publicité pour le minium. Sans militer pour l’autodafé du Littré, qui commence quand même à dater, on pourrait esquisser quelques modernisations des règles prosodiques. Cela s’imposerait pour le cas précis, comme pour quelques diérèses vicieuses au son anachronique. Ce que j’en dis… |
Robot
30/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau texte visuel, sonore et parfumé.
Le 1er vers n'est pas des plus originaux pour une entrée mais la suite relève brillamment l'ensemble dont j'ai apprécié la fluidité. Même ce féerique devenu souvent fé-é-ri-que dans l'usage courant ne m'a pas troublé puisque je fais la même faute que la plupart. Il est vrai que l'on dit une fée et non une fé-é. Mais aprés tout, l'essentiel n'est pas dans la catégorie si le texte est agréable à lire et à dire. |
Lulu
31/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Marite,
Bravo pour ce travail d'écriture à contraintes… J'admire, vraiment, car je ne suis pas sûre de savoir cette rigueur, et pourtant je suis rigoureuse… Le poème, au final est assez simple, mais en sachant qu'il a été guidé par des rimes imposées, cela le fait voir autrement. J'aime assez que tu aies pu faire un chouette sonnet avec ces rimes… Ensuite, pour le fond, j'aime la simplicité de ce qui est évoqué. La nuit et ses étoiles n'ont pas fini de nous inspirer. C'est simple et beau. Ma seule réserve, c'est peut-être l'expression "camaïeu de couleurs", trop commune, trop ordinaire… Mais j'aime infiniment le vers suivant, lequel innove dans le poème, ta façon d'écrire… : "La muse des buissons qui lui murmure "viens". Cet impératif exprimé en fin de vers dénote une action, quelque chose de plus vivant encore que dans tout le reste du poème. Bravo pour cette performance… Cela me donne envie de participer à des jeux d'écriture du genre… Bien amicalement. |
emilia
1/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magie nocturne des reflets de lune d’un poète chanceux à qui la muse dévoile ses secrets…, un essai réussi d’un rythme harmonieux dont la magie opère, même si, pour le puriste, certains points signalés restent perfectibles, mais sans déparer d’un certain charme qualifié de « féérique » comme je l’ai moi aussi toujours prononcé et pourquoi pas puisque j’ai lu également que les deux orthographes du mot sont autorisées… ! Merci à vous pour cet agréable partage…
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Marite
4/8/2018
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