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Anonyme
24/7/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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j'ai eu du mal à vraiment tout comprendre et analyser. Je n'ai pas vraiment accroché. Il m'a manqué quelque chose. Dans la dernière strophe j'ai bien aimé les deux premiers vers mais le troisième a changé la lecture.
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Anonyme
25/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bon, je suis partagé. Tout d'abord je trouve que ce texte est un des plus "poétiques" que j'ai pu lire de cette série. Une explosion de couleurs, ça j'aime beaucoup. En revanche, la dernière strophe ne m'enchante guère. Je n'ai pas aimé le rapprochement entre "l'huile solaire" et "Comme une insulte à ceux qui sont sans mère". Même si je crois en saisir le sens. On peut comparer cela aux touristes qui venaient se faire bronzer sur les plages d'Asie du sud-est juste après le tsunami et qui s'étonnaient en sirotant une Bud de la désolation du paysage en étant persuadés qu'ils faisaient une bonne action, car l'argent du tourisme aiderait à la reconstruction du pays... Toutefois je trouve que cette dernière strophe tranche trop avec le reste, le contraste ne fonctonne pas pour ma part.
Ensuite je me demande si les répétitions de "sable", "soleil" et "temps" n'auraient pas pu être évitées...? Dans l'ensemble je salue tout de même l'effort évident fourni sur la forme pour ne pas délaisser l'aspect poétique... Bien sûr de ce fait, on perd en explication, en "vérité historique" et on prend le risque de ne pas être compris du tout... Pas évident tout cela... |
Melenea
25/7/2008
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j'aime beaucoup des trois premières strophes, beaucoup moins la dernière que je ne comprend pas vraiment, et qui me semble, à mon goût sans rapport avec les 3 premières, comme indépendante. Sans doute pour faire un contraste avec la poésie du début, mais comme je ne la comprends pas, le contraste pour moi se résume à l'éffet inverse...
Mél |
David
26/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Marogne,
Il n'y aurait pas un oubli d'accent dans ce vers : "Il surgit de la pourpre, silencieux" Je lirais plutôt - Il surgit de là - Il y a un mouvement du soleil qui se couche au cri qui remonte des profondeur, qui passe sur les ruines et finit sur les touristes. Il y a aussi l'image du corail qui se meurt comme les ruines, et la photo devrait arriver ? |
Bidis
28/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Les trois premières strophes m'ont ramenée à la poésie magique des "Soleil Levant". Mais les derniers vers, s'ils m'ont beaucoup touchée quant au sens, m'ont fait désagréablement retomber sur terre.
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