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Anonyme
13/6/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Ben je regrette quelques expressions comme "chape de plomb", "morne plaine"... Les deux premiers vers ne m'accrochent pas du tout. Je trouve que l'ensemble manque d'originalité... L'oiseau et la liberté, le miel acide, la voix pure...
Pas franchement convaincu par ce poème, je préfère et de loin tes impressions de voyage. |
Anonyme
13/6/2008
a aimé ce texte
Pas
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Non moi non plus, pas convaincu du tout !
"Sombre et noir le ciel," : si c'est noir c'est presque sombre non ?! (ça commence mal) et parce que ça commence mal, on n'a pas envie de lire la suite. Mais j'ai fait cet effort, et je me suis retrouvé dans une sorte de platitude royale ! Un problème de syntaxe m'empêche d'apprécier un poème qui a pourtant un fond d'espor plus large que lui-même ! hélas, je me jette dans le douves ! |
Anonyme
13/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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j'adore la structure même si quelques rimes ne m'ont pas fait offert du plaisir comme "sait" et "laid" ou idiot qui n'a pas vraiment de rime en fin de compte...
Par contre ce qui est raconté est très rêveur et même fantastique cet enfant sauvé par des oiseaux. A part ça j'aime bien la construction... |
David
13/6/2008
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Bonjour Marogne,
ça a un petit air de fable chantée de troubadour, mais parfois il y a de petits compromis avec la régularité, comme: "Au-dessus de la morne plaine un château se dresse" à d'autre endroit avec le sens pour préserver la régularité: "Son don le sauva, chantant il devint leur roi" (avec "chantant" pour dire - en chantant -) |
ANCELLY
27/6/2008
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Idiot rimant avec roi, pour des vers réguliers... Me choque pas mal.
Ce texte me laisse une impression bizarre. |
Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un écrit qui me laisse mitigé, il a un côté intéressant, le fait d'énoncer cette grande différence entre pauvre et riche, mais aussi "l'espoir" de peut-être un jour sortir de sa condition de pauvre, lorsque la vie vous dote d'un don.
C'est la rédaction du récit qui me pose problème, je ne la trouve fluide, celui-ci est figé par le classicisme des phrases pour respect le nombre de pieds, en particulier dans cette strophe-ci : " L’amour d’une fille au village l’attira Inconnu et sauvage, innocent il osa Mais étranger on le montrait du doigt, idiot Son don le sauva, chantant il devint leur roi. " |