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brabant
4/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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I. La solitude de l'ivrogne.
J'acquiesce. Celui-ci n'est pas trop à plaindre, il a eu de la chance. - J'aurais mis "P't-êt'", l'ivrogne n'est pas capable de prononcer le "r". II. Le patron... A mon avis, il serait plutôt patient le patron. Surtout aujourd'hui ! La guerre. Toujours la même histoire, c'est un vieux votre ivrogne ? III. Un rabâcheur. Pas très intéressant votre ivrogne. Pas innovant. "Et c'est pour ça qu'on tue: Le pognon et le cul !" Il oublie le "Pouvoir". IV. Il est calculé le dernier verre, il ne prend pas par surprise, n'assomme pas par traîtrise, il ne fait rien voir du tout, il endort. Elle n'est pas mal votre chanson, mais elle présente un ivrogne trop conventionnel, stéréotypé. Le mien l'est aussi. C'est ça le malheur avec les ivrognes, ils se ressemblent tous. Une telle chanson exigeait l'originalité. P't-êtr' faut-il l'entendre ? (lol) |
tibullicarmina
9/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dans sa catégorie, je trouve cette chanson irrésistiblement drôle. Il n'y manque qu'une mélodie. J'admire la construction serrée, le rythme, cette verve...
Merci à l'auteur. |
framato
25/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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Entre deux rires ça tangue et ça tourne vers quelques petites demi-vérités plus graves... C'est suffisamment caustique pour faire sourire et réfléchir un peu. Sympa.
J'aime bien cette chanson, ça serait bien de l'entendre aussi. |
Marite
25/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé. Tout, et les mots et la présentation. Il m'a manqué des points de suspension après le dernier "Et ça tangue" du refrain car je crois qu'il y aurait là une phrase musicale... sans paroles.
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silene
25/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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Sur un thème cent fois rebattu, je trouve ce travail pas mal du tout, mais manquant surement d'une musique, qui emporte définitivement l'enthousiasme. A vous lire.
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Arielle
25/7/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Un bon rythme, ça chante, ça tourne et ça retombe bien sur ses pieds... Un peu trop bien justement, sans surprise. J'aurais aimé, j'attendais une rupture quelquepart, dans le ton, les propos, une fin qui m'étonne, quoi !
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Anonyme
25/7/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un petit côté Renaud que j'm, un rythme bien soutenu, de l'humour - noir - et un réalisme presque douloureux.
Souriant, caustique et clairsemé de questions existentielles, je verrais bien un air d'harmonica, accordéon, et viole, quelque chose de festif, un rien Brel d'Amsterdam. A l'ancienne. Une seule chose, les apostrophes sont p't-êtr' trop nombreuses, et pas forcément tout' nécessaires pour induir' un langage familier. Notamment en fin de ver où le "e" s'élide d'office. En tout cas, ça me semble manquer de constance au niveau de leur utilisation. |
MCboulette
27/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un côté Renaud un peu facile , résumer un homme qui peut-être aussi pilier de bar a ceci me semble bien réducteur ou au moins stéréotypé à mort.Maintenant pour la forme j'apprécie j'aimerais beaucoup l'entendre pour que la mélodie donne tort à ma première phrase.Merci
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karminator
27/7/2010
a aimé ce texte
Pas ↓
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Pas très parlant, à mon sens.
Bien écrit, ce n'est pas tant la forme qui m'a dérangée. Juste qu'on ne sent pas la merde du fond du coeur de l'ivrogne. Il a l'air de boire juste pour boire. Alors qu'un ivrogne, ça boit pour ne pas faire autre chose... Peut-être suis-je trop touché par le sujet pour en critiquer la poésie, mais vraiment : de beaux mots qui ne m'ont rien dit. |
Anonyme
29/7/2010
a aimé ce texte
Un peu
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"Quand tu bois
Tu sais tout" : réécriture de "In vino veritas", en bon françois. Dans son genre, cette complainte n'est pas mauvaise. Mais je lui reproche une chose : elle est sans surprise. Pourquoi, dans ces chansons d'ivrogne, l 'alcoolique en question vocifère-t-il toujours dans un bistrot : "Accroché au comptoir etc." ...parle-t-il toujours la langue verte : " Tu me prends pour un cav' Un taré Un paria ? Coco, j'en ai vu d'autr' Des plus costauds que toi Je les ai tous matés etc." ...et provient-il toujours d'un humble milieu - pour recourir à une périphrase politiquement correcte : "L'odeur de la misère La merde de la rue Je les connais par cœur !" Ne voit-on pas aussi des malades de l'alcool (autre genre de périphrase) qui s'expriment avec un accent bobo, emportent un flacon de whisky avant de se rendre au bureau tirer les cordons de la bourse, et qui s'enivrent chez eux, ou durant un dîner mondain ? Un Noé aristo', ça existe ! Mais, l'ivrogne que vous avez choisi de mettre en scène, c'est sans doute celui qu'on a le plus souvent l'occasion de rencontrer. Qui n'en connaît pas un semblable ? J'ai d'ailleurs eu l'impression, pendant cete lecture, de me voir, dans quelques décennies :-D Voilà donc mon reproche, qui ne m'autorise pas à m'enthousiasmer : l'impression de connaître déjà ce que j'allais lire, dès les premiers mots. |
Anonyme
8/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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C'est du déjà lu, c'est sans surprise avec cet "ivrogne" qui est très caricatural que l'on retrouve dans bon nombre d'écrits de ce genre que l'on peut lire, mais tout cela est bien loin du vrai "ivrogne", qui peu à peu sombre et perd bien des repères, de plus ce n'est pas dans un bar, ou un café qu'on le retrouve à boire, c'est bien plus insidieux que cela.
Je ne suis pas sûre que cela ferait une bonne chanson. |